- HRP1:
Quand cessera tu de paraître invisible à mon regard ? Quand reverait-je doucement ton allure balancée, mettant mon coeur en désir de te retrouver encore, en sueur, étrangler par une nouvelle dose d'effort, sous les sureaux en fleurs. Tu va disparaitre, n'est-ce pas ? Doucement, au creux d'Amon, un creu se creusa au fond de lui, puis disparu rapidement dans l'ombre. Il jeta encore un regard, doux, aveuglé par les larmes sur le fleuves qui lui, n'avait pas fait disparaitre rien de sa présence. Mais c'est là qu'il l'avait vu disparaitre, elle c'était enfoncer tellement loin, qu'il n'avait pas pu l'aider à sortir. Parfois, pendant quelque seconde, dans les tilleuils asséchés, il lui sembla voir, entre deux passages de rayons lumineux et froid, un chemin tumultueux avec sa silhouette. Et son corps en entier avait envie de se glisser avec elle, mais il ne pouvait pas disparaitre, pas encore. Pas maintenant. Il ferma les yeux .
***
Une seconde, l'égyptien s'arrêta et jeta un long regard sur la grande map du monde qui dansait au dessus de ses yeux. Le sable caressait doucement, agrémenter de feuille morte, ses pattes meurtrie, de vieillesse et de blessure. Il se sentit un peu obscène et présomptueux de marcher ainsi sous le ciel étoilé, mais ne pouvait pas détacher le regard. Un pincement au coeur et une débalancement lui ramena à la réalité. D'où venait donc cette état d'esprit, cette vision ? Amon avait trop vécu d'illusion, dans sa vie pour réaliser que cette apparation soudaine, dans son esprit, était du, par saveur de sens au pouvoir permis par Kiro. Il l'avait longtemps considéré comme morte, puisque que dans l'ailleurs, Kiro n'avait aucune effet, elle ne faisait plus que briller très faiblement, mais elle avait continuer à veiller sur lui, peut-être plus pour s'assurer qu'il n'utiliserait pas sa bienveillance à mauvaise essaim. Mais qu'aurait-elle pu faire, sur des terres qui ne lui appartenait même pas ? Sur des terres où les gens n'avaient jamais prononcer son nom ? Amon soupira, refermant doucement ses yeux sur son coup dénudé de l'écharpe de son père, qu'il avait léguer à sa nièce. Nòtt. Il déposa sa patte sur l'ancien vestige de son paternel, en s'excusant. Il n'avait pas fait attention, il avait tenter de le faire disparaitre. Cette enveloppe, avait été scellée pendant si longtemps, qu'il tenait à peine à tenter de l'ouvrir, sans verser des larmes. Il avait trop vécu et avait perdu beaucoup, en revenant ici. Il avala avec avidité son air, puis l'expulsa rapidement. Amon continua d'avancer vers le point qu'ils avaient toujours pris le temps de regarder ensemble. Il fit attention à ne pas trop oublier quelque chose, de crainte d'en faner les couleurs et d'en dissiper les parfums. Un baume subtile se dissipais quelque fois, avec son parfum à elle, mais Amon ne pu s'en rendre totalement compte, une effluve sembla différente. Dissiper une impression, une anxiété, un chagrin, une crainte, des inquiétudes, un malaise; dissiper un songe, un rêve, une chimère, des illusions. Le brouillard, les nuages et les ombres se dissipèrent, comme évanouie, épuiser d'avoir essayer de chercher à l'arrêter. L'après-midi avait décliner depuis longtemps, mais l'espace blanchâtre continuait tout de même de s'élever, à hauteur de ventre, rendant à l'air, une transparence merveilleuse. Amon esquissa un sourire et repensa à cette longue nuit, alors qu'il n' était que des enfants ou ils avaient jouer, en famille, en amis, amoncelés en accord dans la forêt, ne comprenant jamais d'où venait réellement cette brûme qui cachait toutes les odeurs du monde. Seul l'inquiétait cette odeur qui ne se dissipait pas. De la couche entière, monta un corps qui semblait tiède, une odeur de chair, mêlée à l'odeur de lilas. Amon ferma les yeux, l'anxiété prenant violement le dessus sur ses sens. Un accord sembla jouer dans l'air, puis se dissipa, et se répéta encore. Ces oimbres ennemies se dissipèrent bientôt en grande nués, l'accablant. Des formes, des objets matériel, des temps rapprochers le persécutait et lui murmurait à l'oreille qu'il n'avait rien pu faire, qu'il était temps de se rapprocher du temps. On lui disait que quelque chose l'attendait dans l'Ailleurs. Les visions homogène continuèrent de se dissiper en boucle, et disparaissait, sans raison d'avoir au préalable exister. La respiration d'Amon était exténuer, il ne comprenait pas. Ses pupilles dilatés dançait en mouvement à mesure que les ombres traversait le brouillard en riant. Il avait entendu des choses, vu des anciens, mais à mesure qu'il avança, tout cessa progressivement. Toute fatigue s'en allant, toute mélancolie, superviser par une colère immense, fondit dans l'ambiance. Amon se voyait perdu et sa peur devint si forte, qu'il se mit à siffler, pour s'imposer un peu de réalité. Et comme s'il avait tenu un fusil, Amon poussa un grondement sourd. Réaction simple, face à un danger, une menace comparable à la réaction ou à un comportement désabusé. Il éprouva de l;a peur. Il avait le g osier serré par la peur d'avaler une seconde fois cette efluve qui lui rappelait ce qu'elle était pour lui.
-Cette peur n'est pas plus honorable, après tout, qu'une autre peur. Il faut savoir risquer la peur comme on risque la mort, le vrai courage est dans ce risque.
Amon jeta un second regard, lancer de nouveau vers les étoiles. Pleins de doute, ce message s'adressait majoritairement à Phtolémé, qui lui avait donner cette malédiction. Pleins de doute, de rêve et de peur, Amon cacha son humeur noires, gardant le secret de sa honte et continua d'avancer, la brume tourbillonant autour de lui. Il n'y avait plus rien de pareil. Tremblant et livide, l'oeil d'Amon fuyait de regarder au sol. Ses pattes ne tournait plus comme il fallait. Une peur sourde qui chantait à l'oreille, qu'il était arriver trop tard. Il grelottait, mais n'osait pas bouger, de peur de trébucher sur elle. Il blémit, frissona et s'arrêta lorsque ses longues pattes frolèrent de nouveau un corps encore humide. Toute l'air dans son corps s'expulsa, un violent coup lui déchira l'estomac. Il sembla mourir là, assez vite, entre les mains d'un destin qu'il n'avait jamais demander. Claquant des dents et suant de peur, Amon enjamba la masse sombre qui s'illuminait doucement, dans la brume. Un merle frissonnait éperdument, les plumes ébouriffées, la tête molle, les yeux hagards. Un vertige fantastique semblait le dominer, une peur indescriptible tourbillonnait dans ses yeux. Amon tenta de lui parler, mais l'oiseau bleu était partie à tire d'aile, le laissant seul.
Entends tu cette voix, au milieu de la nuit, te dire «Ça va aller, je serai là, moi.» Ressent tu cette patte, te guidant le long du chemin, quand le chemin semble faux ? Au soleil et à la lune, dans la terre et la mère, dans les luciolles et les étoiles, dans tes larmes de rire, regarde bien autour de toi, ce sera moi.
Amon était lié. Lié par des chaînes de fer, creusant sa peau pâle. Il se racla la gorge, hurla et cria, mais la seule chose qui revint à lui, fût l'écho de sa propre voix, elle n'était pas là, il fit donc face à un mur inconnu. Amon chercha longtemps dans son esprit, s'aggripant sur une raison. Où est-elle ? Qui est-ce ? Pourquoi est-elle encore ici ? Amon ne reconnait plus, l'espace d'un instant, ce monde autour de lui, sombre et froid et plein de crainte. Tout est dans un silence invariable, assourdissant. Mais malgré tout, il sent quelque chose de différent. Une démangeaison invisible. Le malaise remplissa son corps et il la vit. Le regard fixe, transpercé, sans un mot et il se déplaca à son niveau en grondant, sans s'arrêter. Que faire maintenant ? Il se retourna, pour lui faire face. Son regard était briser, silencieux, fixe et sans vie. Il la regarda fixament et il ne vit que des yeux comme les siens. Propre, incertain. Amon se rendit compte que ses magnifiques yeux, brillant, n'était plus les mêmes. Il n'y avait plus de coeur, plus d'esprit. Elle était libre, il était prisonnier. Attaché à errer dans ce monde, ou les besoins étaient maintenant sans intension, Amon s'effondra.
**
Noir, pourquoi fait-il si noir ? Pourquoi ne puis-je pas voir ? Je sens le pincement de la froideur sur ma peau. La pluie. C'est tout ce que je vois quand j'ouvre mes yeux. Amon ressentit quelque chose tirer sur les cordes de son coeur, qui à l'habitude n'était pas tendu. L'abîme infinis des promesses sembla le noyer alors qu'il s'accrochait sur son corps sans vie. Son corps était encore chaud, elle était morte il y peu. Il lui murmura longtemps des choses à l'oreille. En pleurant. La vrai violence, celle qu'Amon réalisa qui était impardonable était celle que l'on sinflige à sois-même. Et elle serait toujours là. Toujours là à le chercher à attendre, à le faire souffrir. Amon avait besoin que tout s'arrête. Tout. Absolument tout. Pourquoi hier, Amon sembla si enclin et concercné à savoir comment tout irait aujourd'hui, sans savoir ce qu'il ressentirais demain.
-Fait un dernier miracle, pour moi. Don't...be...dead. La voix d'Amon se brisa, comme la fin d'une chanson d'amour.
Le brun ne savait pas quoi dire et il sembla longtemps hanté, percher sur un corps sans vie, qui n'avait plus rien de sa beauté d'état d'être vivant. Mais il savait. Il savait qu'à la fin, lorsqu'on perdait quelque, il le ressentait encore, aucune chandelle, aucune prière n'allait compenser la seule chose qu'il lui restait...était un trou dans sa vie que la personne pour qui il se souciait, était supposer être. Il n'y plus rien, absolument rien. Tous ses membres tremblèrent de honte.
-It was the first time that I saw you. I had never seen anythinng so perfect with so much imperfection. I had to have you or I'd die, and then I was gone. But when I came back and you were still alive, I was so relieved, feeled so fine. Why ? Why would you do that ?! cria Amon. You let me let you in AND THEN YOU DIE RIGHT IN MY ARMS !? HOW CAN Y-you...
La mâchoire d'Amon le paralysa pendant une seconde. Les larmes coulaient si fort, elles étaient si constante, qu'elle finire par le drainer de son énergie. Sa peau, rudimentairement sèche, par les températures craquait sous les hoquets. Mais il n'en avait rien à faire, il continua de pleurer la mort de sa meilleure amie. Et il la détesta, pendant longtemps. Comment avait-elle pu le laisser seule, ici. Au bout d'un moment, Amon écouta longuement cette longue plainte jouer dans ses oreilles et tira le corps sans vie, meurtrie, de sa meilleure amie dans la rivière qui elle, était toujours vivante. Il s'y glissa doucement, aggripant avec ardeur le corps de sa défunte, celle qui avait pris une place si importante dans sa vie, et tourna longtemps, dans le reflet du ciel étoilé, sur laquelle la brume avait finis par repartir, les laissant enfin complètement seul, parmi les étoiles, laissant sa voix rauque, tremblante et déchiré par les larmes, la chanson que son oncle Anthem avait chanter lui-même, au funérail de Deucalion, son frère. Et il se fit la promesse de retourner voir les étoiles et de nommer une étoile en son honneur. Il ne la laissera pas tomber, jamais. Il voulait la garder pour toujours, dans son corps, dans ses yeux.
- HRP:
Ce Rp Servira notamment à metre en naissance le seul enfant encore vivant D'Amon. J'attends une confirmation de la part du joueur pour voir si tout va bien. Je vous annonce aussi que Faesgar meurt, avec l'autorisation de Elle.