A la bourre pour le labour ➼ Carcajou & Fenouil [Refuge]

Régler comme l'horloge depuis son enfance, Carcajou était déjà réveillé voir déjà debout. Il bâille à s'en décrocher la mâchoire avant de commencer sa routine quotidienne qui ne l'avait pas quitté et s'en doute ne le quitterai jamais, alors le voici qui se dirige vers le Gouffre aux rapaces – bien sûr il ne connaissait pas le nom mais le demanderai à la louve brune ou l'autre loup qui leurs tiendraient compagnie aujourd'hui – mange un bout et s'abreuve sur le chemin avant que les grottes inhabité ne se dressent dans le champs d'or rose.
Arrivé sur les lieux il n'y avait personne, ce n'était pas grave parce que c'était sa séance de méditation et ainsi s'assit-il laissant les énormes perles de taï-chi se détaché pour faire un cercle autour de lui, un dragon les retenant en suspension dans le vide, faisant onduler son corps autour d'elles. Vide donc son esprit et inspirer l'énergie qui se trouvait tout autour de lui, qu'il sent s'infiltrer dans sa respiration emplit ses poumons et le cœur battant dans la poitrine. Si concentré, une voix parviendra à ses oreilles ainsi qu'une odeur, odeur qu'il avait pris soin de mémoriser.

Les yeux s'ouvrent coupant court à la méditation, des perles qui reprennent aisément leurs place au cou du loup blanc.

«_ Nihao Mademoiselle.» Salutation en plus d'un hochement de tête avant de reprendre «_  Il n'y a pas de soucis.»

Non aucun et puis il n'était pas du genre à demander des comptes et surtout pas à des gens qu'il ne connaissait pas. Il se lève pour s'approcher de la louve.

«_  Avant de commencer avez-vous déjà labourer la terre ? Si ce n'est pas le cas je vous montrerai les mouvements en premier lieu. Ce serait dommage qu'une si belle louve comme vous se foule une patte à cause d'un mauvais mouvement.»

Et une personne blesser devient inapte au travail. Un sourire se peint sur le visage, montrant à la louve qu'elle n'avait pas à stressé ni avoir honte de dire la vérité parce qu'il préférait le savoir d'entré de jeu que plutôt le voir par lui même, plus tard il demanderait aussi la même chose à l'autre loup aussi.

«_Je ne crois rien du tout.»

Dit-il simplement, d'une voix calme. Parce que vrai, il ne la croyait pas faite en sucre ni en pierre. Comme lui, elle était née avec des organes qui se déchirent et des os qui se brisent, regarde donc de son or rose la brune, qui lui disait qu'elle n'avait jamais labouré, semer, planter, arroser. Attendait donc qu'il lui montre, ce qu'il ferait du coup.
Question qui se loge dans ses oreilles, est-ce que ça tuait les verres de terres. Active donc son don pour essayer de voir le flux vitale de ces invertébrés, il y en avaient en effet, mais sous une bonne profondeur. Alors il relève les yeux vers la solitaire brune, puis lui dit :

«_ Aucune chance. Les sillons du laboure son peu profonde.»

Est-ce que cette réponse suffirait à la brune ? Peut-être. Il ignorait pourquoi elle lui avait posé la question mais sans doute, avait-elle ces propres raisons qui ne le regardaient aucunement pour le moment. Une salutation qui est proféré, l'or rose qui voient donc un animal brun avec des cornes, ne saurait identifié de quel animal, il hoche de la tête en sortant un petit Nihao, puis une question qui leur fût posé à tout deux.

«_ Carcajou. Et vous ? » Demanda-il, avant de reposé la même question au brun. «_ Et vous ? Avez-vous déjà labouré la terre ?»

Ainsi donc, l'autre loup cornu se nommait Fenouil. Fort bien.
Agathe et Fenouil. Il hoche la tête en signe d'acquisition, n'aurait donc aucun mal à retenir les noms, mais bon maintenant fallait se mettre au boulot alors la masse blanche se lève et zieute un peu aux alentour.

«_ Bon nous allons partir d'ici.» Avec un bout de bois qui traîne par là, fait la limitation de la zone de plantation et bientôt ils pourraient voir un jolie carré, avant que le bâton soit mis plus loin. «_ Nous allons retourner la terre en ce qui s'appelle «  en rangées » en partant du coin de la parcelle. »

Une patte qui montre le début, puis l'or rose qui se pose sur les bruns.

«_ Il faut donc creusé à quelques centimètres du sol. » Geste qui joint la parole, voici une patte qui se fourre dans le sol pour tracé un sillon en retournant la terre dans un mouvement de patte parfaitement maîtrisé. «_  Il faut retourner la terre pour qu'elle reste arable, sera donc plus riche, plus douce et plus sombre que la terre d'en dessous. »

Il espère ne pas les avoir perdu, mais vu qu'il montre en continuant la rangée, ça devrait aller non ?
Ayant donc l'habitude du travail manuel et rude, celle-ci fut terminer dans l'efficacité en prenant le temps qu'il fallait, donc ni trop rapide ni trop lent, mais restait à voir si ces camarades de fortune étaient endurant. Il s'arrête.

«_ Il faut donc répété le processus tout en rajoutant un peu plus vers la fin de la rangée. Il faut laisser les rangées tournée avec un espace de 30 cm ou 60 cm, mais si vous trouvez cela trop grand on peut changer. »

Bon visiblement, il avait été clair vu qu'il n'y avait pas eu de question. L'espace ne semblaient pas non plus les dérangés, mais peut-être qu'ils ne savaient pas trop ce que cela signifiait ? Ce n'était pas grave de toute façon c'était juste à titre indicatif que lui prendrais en compte, et puis au besoin il n'aura cas le faire constater à ses deux disciple d'un jour. Donc ce fut le loup brun à corne qui se leva en premier pour faire une rangée, le loup montagnard le suit un peu restant à une distance raisonnable pour ne pas le déranger, le regarde faire.

Il savait y faire c'était indéniable.
Parfait !

Maintenant ce fût vers la brune aux cristaux qu'il se tourna à présent, lui donnant un drôle de surnom. Senpai ?
Ce n'était pas dans sa langue ce mot, ignore donc ce que cela veut dire, tant pis se sera pour une prochaine fois la question ! Agathe se lève et si Fenouil utilisait sa corne, elle restait fidèle à la technique en utilisant une patte. Elle aussi, se débrouille très bien, eh bien à ce rythme ils finiront vite ces rangées, avant la fin de la journée il pensait ! Hoche simplement de la tête pour lui même, se dire que tout était bon et qu'il pouvait se remettre au travail, restait quand même attentif au cas où.

On était jamais loin d'un accident après tout.

«_ Nous avons déjà trois rangées. Il en faut cinq de plus.»

Avait-il simplement dit. Comme ça chacun auraient les indications, puis le loup montagnard se remet au travail quand une oreille tique, entends ce que propose Agathe.

«_ C'est une mauvaise idée. Si vous faites un mauvais mouvement, vous vous casserez une patte.»

Et il n'était pas sûr que la brune voulait se retrouver avec une patte en moins, de même pour le brun. En tout les cas, lui s'y refusait, parce que labourer demandait une certaine concentration, une endurance et une manœuvre mesurée. Que tout soient en coordination.