Depuis ce jour, il n'avait eu de cesse.
Il n'avait eu de cesse de se tuer à la tâche pour essayer de penser à autre chose.
Essayer d'aller mieux.
Sans succès.

Tout ce qu'il avait réussit à faire, c'était se blesser les pattes à cause des pages tranchante qu'il avait faite, il y a quelques mois de ça. Les pages pour le livre de Kerguelen.
Il n'arrive plus à manipuler correctement, fonctionne même au ralentis. La faim s'en était aller, comme le sommeil car l'esprit ne cesse de penser, de répété en boucle cette phrase qui à tuer l'âme de Cheza.

Qui à pétrifié son cœur.

D'ailleurs il n'arrive plus à l'entendre.
C'était une sensation qu'il ne saurait expliquer, parce que c'était bien la première fois qu'il ressentait ça. Il avait tellement pleuré, à force ses yeux ne produisait plus de larme, juste les yeux rougis à force d'avoir couler. Des pattes avec bandage et pansement, il soupire, souffle, ne trouve pas le calme face à cette explosion de sentiment qui s'entremêle en lui. Ne sait pas comment calmer.

Il n'y arrive clairement pas.

N'étant pas en état, il préférait rester un peu loin de Grimalk, mais en tant que tuteur restait à sa disposition. La voix est morne, ne traduit plus aucun signe de joie voir de vie, réponds systématiquement comme le ferais une machine. Sur le territoire, il n'était qu'âme qui rôde, erre sans but.
C'était en faite de manière complètement aléatoire qu'il se retrouve devant l'église de la Corneille. L'envie de tourner les talons était forte, pourtant quand il regarde la bâtisse, il lui semblait ressentir la peine de la Déesse. Après tout elle avait perdu son Oracle et lui son Père, donc la douleur était probablement la même il pense.
Alors il soupire doucement, et se décide à entrée.

Toujours cette odeur de madeleine qui flotte.
Cette sensation d'être en sécurité et toujours accueillis.
Il s'approche de la statue de la Corneille dont la luminosité semblait être la même que la dernière fois ? Il ne sait pas si elle à bel et bien changer, où alors que sa vue se brouillait encore.

« _ Dame Yurai...»

Dit-il dans une voix cassé, à force d'avoir crier.
D'avoir hurler.

« _ J'ai mal Dame Yurai. J'ai mal et je sais pas comment calmer mon Mal.»
J'ai essayer.
« _ Il me manque Dame Yurai. Il avait dit qu'il essaierai de revenir.»
Il l'avait dit.
« _ Je sais que c'était important pour lui qu'il aide. Mais...j'y arrive pas Dame Yurai. Je comprends pas.
Je comprends pas.

Le regard d'or se lève pour regarder la statue.
Il ne la quitte plus des yeux.

« _ Vous aussi vous avez mal Dame Yurai.»
Bien sûr.
« _ Il vous manque aussi Dame Yurai.»
Vous l'avez connu bien plus que moi après tout.
« _ Vous voulez bien m'aider Dame Yurai ? Je vous aiderai aussi en retour, de la manière que vous voulez...»
Tout ce que vous voudrez.

Sans qu'il ne s'en rende compte, les larmes perlent encore, quand la voix se casse totalement.
Il ne cherche pas à les retenir ces larmes.
C'est trop dur.
Petit poussin pleure donc dans le temple de la Déesse, ne saurait si elle lui répondrait, mais ici il se sentait à l'abri de pleuré tout son soul. Inconsciemment espérait soulager son âme quand l'esprit lui répétait sans cesse qu'il ne reviendrait jamais, qu'il devrait vivre avec ça, s'adapter pour avancer.
C'était tellement dur.
Il avait lut l'épreuve de la Déesse dragonne, et pour le coup aurait aimer passer l'épreuve avant de subir ça, parce qu'il se disait, qu'il n'aurait pas été dans cette état.

Il aurait simplement accepté en ayant simplement une pointe au cœur.
Il renifle de manière pas très élégant l'enfant de l'Oracle.
Il n'arrive plus à penser correctement, n'a pas trop l'envie de faire l'effort en vérité.
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Alors qu'il pleure toujours autant, les larmes qui n'avaient de cessent de perler sur ses joues, la statue de la Corneille bouge et s'illumine. Il peut le voir même de sa vue brouiller par l'eau, qui pique et qui n'est pas agréable, bien vite la voix de la Déesse s'élève dans les airs dans un écho quand le visage de celle-ci est aussi brisé que fût le siens.
Elle lui parle alors des origines de son père, de la meute d'où il venait et la sœur étant devenu capitaine. Cheza sait parce qu'Ajani lui avait compter l'histoire de leur famille et pourquoi il voulait aller aider les Readers.

Il avait compris.
Et pourtant, il n'avait rien compris.

C'était très étrange comme sentiment, mais de ça il n'avait besoin d'en faire part à la Déesse qui comprenait déjà son trouble. D'ailleurs elle continue à parler et jamais le loup ailé ne chercha à l'interrompre, préfère écouter tout en ce calmant petit à petit. Dans la tradition il était du devoir de la Corneille de choisir le futur Oracle à chaque nouvelle génération, mais pour celle-ci le prédécesseur avait rêvé, dévoilant donc un loup des mers. Alors deux choix, une seul réponse ; Le Changement.
Le changement qui était signe de renouveau, l'envie d'unir les meutes et d'éloigner la violence. Faire un monde tous ensemble où chacun pourrait vivre en paix, au plus profond de lui Cheza voulait aussi faire un monde de paix et d'abondance seulement, ne voyait pas comment s'y prendre pour l'instant.
La voix cesse, l'aura de Yurai qui s'emplifie, une trace de rage et quand, Cheza ferme les yeux il perçoit la lumière violacé qui vibre sous la rage et la peine. La peine de ne pas pouvoir récupéré le corps de son défunt Oracle emprisonné derrière cette immense porte, en cette instant les sentiments de Cheza se mêle à ceux de la Déesse dans un cocktail presque explosif. Mais tout deux n'aspiraient pas à la violence ni à la haine et puis, à quoi cela servirait-il en fin de compte ?

Il rouvre ses yeux, pour ne plus quitter de vu la silhouette de la Déesse qui reprends. Lui explique qu'il a toujours eu envie d'aider les Reader à ce défaire de Ceto, le fait qu'il soit devenu Oracle Nakhus n'avait en rien changer à ses origines. N'avait en rien changer, ses véritables attaches, et ça il se devait de l'accepter Cheza car le contraire le mènerait probablement au désastre.
Yurai baisse la tête et l'enfant du lion blanc baisse les yeux pour mieux regarder le carrelage, écoute toujours ce que disait la Corneille. Lui explique encore qu'il était normal qu'il ait aussi mal, parce qu'il Aime les autres comme son père aimait, comme Yurai Aime ; Profondément, à n'en point douter.

Les oreilles lourdes se baissent encore, quand il perçoit la silhouette massive de son père. Il voit une image sereine aux traits doux, comme peint il avait l'impression, marche tranquillement sur le sable avant qu'il ne disparaisse à travers un voile. Le cœur tambourine dans la poitrine et chaque fois ravive la douleur, quand il croit qu'elle à disparut, même de manière éphémère.
Un soupire inaudible s'échappe de sa gorge malgré les crocs serrés, elle conte pour lui ce qu'elle avait dit autrefois à Kerguelen ;

La douleur tapisse le chemin du deuil, elle reviendra sûrement.
Mais le secret pour le traverser est simple : il est éclairé des nombreuses lumières de ta famille, tes amis, de ta meute et de tes actions.
La réponse se trouve dans l'amour, toujours. Et aimer, tu le fais déjà.

Le regard d'or aux coins rougis se posent sur la silhouette de la Déesse, il reste silencieux. Analyse ce que lui disait Yurai, il ne devait en aucun cas rester seul, il devait continuer à aimer les autres et surtout de s'aimer lui même aussi pour ne pas se perdre complètement. C'est important.
Elle lui fait comprendre que ce deuil ne s'effacera jamais, qu'il y pensera constamment, qu'il apprendra à vivre avec celui-ci et à composé sa vie avec. Surtout qu'il sait aussi que sa mère ne tiendra pas longtemps non plus, le Temps qui rattrape et vieillit les corps.

Alors il hoche simplement de la tête aux dires de la Déesse quand, elle penche sa tête sur le côté, lui avoue avoir vu son désir d'avoir le bleu d'Ao. Sur le moment il se demandait comment elle pouvait le savoir, puis la raison qui rattrape en lui disant simplement qu'il s'agissait d'une Déesse et qu'elle sait tout. Elle se permet de poser des objections en lui affirmant qu'il aime et qu'il à le désir d'aider les autres, la preuve en était qu'il travaillait toujours à restaurer la bibliothèque, celle d'avoir recueillis Grimalk qui était tout seul à la frontière Nakhus.

La Compassion était sa plus grande valeur.

Il n'aimait pas voir les gens triste, ne pouvait pas non plus abandonner les autres. Comme Emilitia par exemple. Toujours encore, il cherchait un moyens de l'aider bien que la tâche serait plus ardu au vu du faite, qu'elle voulait devenir un démon complètement.
Cheza note dans la voix de la Déesse qu'elle n'émet aucune interdiction car après tout ici, il y avait des disciples de Mido.

« _  C'est vrai...que j'ai penser récemment à devenir un disciple d'Ao. Onyx m'as dit qu'il fallait être très déterminé et ne pas avoir froid aux yeux, et je pense, que je n'en manque pas.» Parce que pour l'incendie, il n'est pas aller se cacher. Il avait essayer d'aider comme il le pouvait à l'aide d'Onyx, d'ailleurs s'inquiétant plus pour elle sur le moment que réellement de la bibliothèque. « _ Mais peut-être que finalement ce n'est pas assez.»

Ce n'était peut-être pas assez pour la Déesse Dragonne.

« _ Quand j'étais plus jeune, je me demandais qu'elle Divinité aurait mes valeurs, j'ai donc regarder dans les livres et toujours, je ne me reconnaissais pas en vous.» Il pose un regard sur la Déesse, avant de lever sa grosse masse et s'approcher doucement de celle-ci « _ Je pensais que c'était la seule voie que de choisir votre couleur. Et puis, plus tard j'ai vu que certains avait la couleur verte de Mido, celui-ci qui nous à rejoins après l'incendie. Et maintenant que je vous vois...»

Il avait continuer à s'approcher de la Déesse, il avait laisser une distance raisonnable entre eux, mais il était désormais bien plus proche d'elle qu'il ne l'avait été auparavant.

« _ ...Je me dis que finalement vous et moi ne sommes pas aussi différent. Vous auriez pût m'envoyer balader car vous n'êtes pas forcément d'humeur à recevoir des personnes au sein même de votre Temple, comme pour moi quand des personnes viennent me voir. Je n'ai pas le cœur à les envoyer sur les roses, ce serait bête et méchant. Surtout ; je risquerais de me renfermer et ce n'est pas ce que je veux.»

Non, il ne se voyait pas du tout être un Être qui méprise et être méprisé en retour.
Lui, il voulait être le loup dont le monde aimerait être en sa compagnie sans se forcer, venir se loger sous ses énormes ailes quand il fait froid où juste pour réconforter.

« _ Je sais que vous êtes une Divinité et que pour la plus part le soutiens des mortels n'est pas grand chose, mais pour vous Dame Yurai, je tiens à vous dire que si vous avez besoin d'une aile réconfortante ou une personne pour discuter je serais là. Si je suis ici, c'est aussi parce que j'ai ressentis votre peine...je me disais que vous deviez vous sentir bien seule..Alors, vous aussi, je veux vous voir sourire de nouveau, que vous alliez mieux.»

Un fin sourire qui se dessine sur le visage de Cheza.
Il est doux et n'est empreint d'aucune vanité, l'esprit qui n'est en recherche de bénédiction ou quoi de ce genre. Cheza s'en fiche, car au delà de la Divinité qui se tient devant lui, il voyait une âme.

Une âme capable de ressentir de la peine et de la tristesse quand un proche disparaît.
Une âme capable de ressentir de la joie quand un proche réussit.
Une âme capable de ressentir la compassion quand un proche n'est pas bien.

C'est tout ça, qui intéressait Cheza.
Ça et uniquement ça. Rien d'autre.
Et c'est pourquoi il comblera le reste de la distance pour mieux, enlacer la silhouette de la Déesse. Refermera ses immenses ailes pour la maintenir dans un cocon de bien être, de chaleur et bienveillance.

« _ Vous faites partie de la famille. Avant même d'être une Divinité vous êtes avant tout une âme qui ressent, qui prends soins de ses disciples et même ceux ne portant pas votre couleur.» Il sert un peu plus fort la silhouette de la déesse « _ Je ne vous laisserai pas traverser cette épreuve toute seule. Je vous le promet.»

Oui, je vous le promet.

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Quand il se permet le contact le corps fluide de a Déesse devint plus solide. Elle ne cherche pas à se défaire de l'étreinte donner au grand bonheur de Cheza, car au fond il sait qu'elle en avait besoin de cette simple étreinte et sans doute que Ao n'aurait as apprécier cette proximité, comme Mido.
La voix s'élève, elle semble loin quand le corps était pourtant bien entre ses pattes, lui affirme qu'en effet ils n'étaient pas si différent l'un de l'autre et puis le silence revint, ce fut plus long, le repousse doucement sans qu'il ne tombe.
Cheza ne le prends pas mal, car il estime qu'elle se sentait mieux un peu et preuve en était quand il entends de nouveau sa voix qui était plus sereine et bien plus présent qu'à son arrivé. Et sans s'en rendre compte, il avait passer l'épreuve de la Corneille dans ce moment de recueille, ce moment unique où ils devaient se soutenir pour un proche disparut.

Les rayons solaires qui illumine la pièce, les statues des anciens Oracle et de son père. Une patte brumeuse qui se tends vers lui, une douce lumière qui prends forme et montre donc un glowstick qui flotte simplement devant lui et sans manière, tends une patte pour récupéré ce Bien qui était le sien à présent.
Qu'il chérit déjà, se transforme pour devenir une plume qui se met à léviter autour de lui quelques instant avant de s'encrer dans l'une de ses propres plumes, puis la couleur qui prends possession transforme les plumes des deux paires d'aile, en une couleur uniforme ; Celle de la Déesse.

« _ J'en prendrais grand soins Dame Yurai. » Il s'incline respectueusement envers la Corneile. « _  Etant donner que j'ai mis mon savoir à la confection de nouveau livre pour la bibliothèque, je me suis dis que je pouvais aussi en faire un pour conter les histoires des Oracles de la Corneille. Un ouvrage qui sera le vôtre, qui voyagera de génération en génération pour que jamais, le Monde oublie qui ils étaient et ceux qu'ils ont été. »

Il se redresse, les yeux montrant une flamme nouvelle.

« _  Créons cette ouvrage ensemble Dame Yurai. Qu'il soit Nôtre Trésor à tout les deux. »

Qu'il soit, nôtre Lien.

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A sa proposition, le visage de la Déesse se tourne vers les statue. S'y déplace pour venir s'asseoir devant et ainsi, Cheza la suit et fait de même qu'elle puis lui propose même de faire des livres sous leur effigie, que tout le tout monde pourrait consulter ici.
En effet ce serait une bonne idée et ce n'est pas grave pour la charge de travail, car il était complètement intègre Cheza et voulait leur rendre hommage. A tous.


« _ C'est d'accord. » Dit-il en regardant la statue de son père « _ Il me faudrait juste savoir ce qu'ils aimaient, si ils étaient pour certains natif des Nakhus où autre horizons. J'aimerais faire un livre qui leur ressemble, par exemple pour mon père je vois l'ouvrage d'un bleu azur aux bordure nacrée quand les pages seront d'une couleur faible en or. Puis un coquillage dessus. »

L'esprit imagine rapidement. Oui ce livre irait bien à son père.

« _ Oui c'est vrai, mais le faite que vous preniez le temps de faire ces ouvrages avec moi change la donne. Parce que ça montre encore une fois, que vous êtes âme Divine qui possède la Compassion pour le monde qui vous entoure. »

Il fait un petit sourire à la Déesse avant de regarder une nouvelle fois la statue d'Ajani.
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Il écoute donc les dire de Dame Yurai sans l'interrompre et plus tôt que de sortir son carnet de note, il prends connaissance tout en fixant les statues chacune leur tours quand les informations son donné et se logent dans ses oreilles lourde. Sarcan enfant né Séide qui fût calme en toute circonstance face au conflit avec l'autre meute, un loup calme et dévouer aux Dieu, certaines des qualité qui ont fait la Corneille le choisir. Aimait beaucoup se promener car la nature lui rapportait une certaine fascination et sans doute du calme dans ses réflexion, et Cheza kui rendrait hommage en faisant cette ouvrage à son image.

Par la suite vint donc Volstein, un natif du territoire Nakhus qui perdit ses parents transformer en everbloom. Malgré ces pertes il resta loup avec compassion et mesure et pour ces qualités fût nommé à son tour Oracle de Yurai, aimait aider les autres ainsi que le contact quand la famille passait avant tout. Etrangement Cheza se reconnaissait en la personne de Volstein, même si il n'était pas vraiment proche d'Eldunari ou encore Nymeria, voir même d'Emilitia il serait prêt à tout pour eux dans le besoin. Ils devaient rester soudés à son sens et si il fallait qu'il devienne cette glu que peu de personne apprécie alors s'acquitterait de ce rôle sans honte. Pour lui réfléchira à quelque chose de plus spécial sans doute, et l'air qui se balaie pour que des couleurs apparaissent sur les statue et l'aideront certainement pour la conception de ces ouvrages, souffle un remerciement à la Déesse.

Maintenant, il était temps que chacun retourne à ses occupation, et ainsi la masse coloré se lève pour regarder la silhouette de Yurai reprendre place. Un sourire désolée sur son visage avant qu'elle ne le remercie et que l'Église ne retombe dans le silence, en lui il se sentait un peu plus léger car cette discussion avec Yurai l'avait calmer.

Avait calmer son Mal.
Pour l'instant.

Il soupire doucement.


« _ Merci à vous Dame Yurai, je vous promet de revenir tout les jours et non pas seulement pour les livres. » Le regard d'or brille d'une lueur bienveillante à l'égard de celle qui était à présent Sa Déesse, qu'il aimait déjà grandement. « _ Reposez vous bien, à bientôt Dame Yurai. »

Il s'incline en respect pour elle avant de tourner les talons, laissant donc sa silhouette massive disparaître ainsi que la lueur violette qui avait pris possession de ses ailes.
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