Ce matin, le fils d'Ajani venait de se réveillé d'un coma de quelque jours.
Il ne sait pas combien exactement, mais à la sensation des membres endolori il se doute, qu'il est rester un petit moment inactif.
Commence t-il par étiré les grandes et immenses ailes.
Puis les membres, dans un craquement qui lui fait serrer les crocs.
Pendant sa convalescence, il avait l'impression que ça faisait une éternité qu'il est simplement couché là.
Les voix de ses congénères se logeaient dans ses oreilles, pourtant les babines restaient définitivement close.
C'était une horrible sensation.
Si l'envie lui aurait pris de hurler, il n'aurait même pas pût.
Enfin qu'importe à présent.
Le voici qui traverse le Dédale, saluant toutes les personnes qui le saluait, avant de tomber sur son petit frère Nymeria.
Chacun demandant des nouvelles de l'autre.
Mangerons ensemble, avant d'aller vaqué à leurs occupations jusqu'à la fin du jour.
Continuant de se promener, il se souvient qu'il n'avait pas croisé le fils de son amie.
Combien de temps n'avait-il pas revu Umaïma ?
En tout cas dans l'air, il ne sent pas son effluve.
Ce qui l'amène à penser, qu'elle n'est pas revenue lors de son petit coma.
Mais peut-être que Mimë le saurait ?
Bien sûr qu'il le saurait, c'est sa mère après tout.
Alors la truffe hume l'air, captant rapidement l'odeur d'eau salé de l'enfant.
L'odeur qui lui indique qu'il avait quitté les terres Nakhus.
Donc il suit simplement, dans une marche qui ce veux être revigorante.
Débloquer les muscles rester trop longtemps dans l'inactivité.
Cheza s'éloigne de plus en plus, pour finir au Monts Célestes.
Ce fût bien la première fois qu'il escaladait cette dernière, car d'habitude, il la survolait pour mieux contempler sa beauté brute vu du ciel.
Dans l'état actuel des choses, voler serait dangereux pour lui, et pire dans cette zone.
Autant le prendre avec les pattes !
L'effluve de Mimë se précise, et bientôt verra une silhouette svelte, assis là.
« _ Ah ! C'est ici que tu te cache ? » La voix est amusé quoi qu'un peu épuisé.
Rien de grave cependant.
« _ Comment ça va ?
J'ose espéré que tu n'ailles pas aussi mal, pour t'isoler ici haha !» L'ailé s'assoit donc à côté de l'enfant d'Umaïma.
Il sait que ce dernier n'était pas friand de la compagnie, comme sa mère, préférait être seul et discret.
Cheza posera donc sa truffe dans les cheveux noir de jais de l'hybride.
Une simple caresse, comme quand il était enfant, avant de s'éloigner.
Les prunelles d'or se posant sur l’horizon.
« _ Enfin, si ça ne va pas tu peux m'en parler, si tu veux.
Je serais heureux de pouvoir t'aider.» Car après tout, n'étaient-ils pas amis ? ️ Jawilsia sur Never Utopia