Premier cri

Il y avait quelques choses dans l’air qui annonçait un changement sur l’ile pirate. Donatas ne cessais de tourner à l’alentour de la tanière de Pandore depuis des semaines.

Faisant moulte aller-retour, pour lui tenir compagnie, lui rapporter de quoi manger.
L’aider il avait été au petit soin pour la bleu pendant qu’elle veillait à leurs surprise.

Comme toutes les autres matinées et malgré le temps pourri qui s’annonçait, le brun était aller chasser pour ramener une proie, elle qui lui avait refuser le poisson la veille. C’était une nouvelle tentative.

En arrivant à la tanière tremper. Nulle Pandore ! Regardant autour de lui, il verra que trop tard la louve bleu englouti par l’eau.
Lâchant la proie, il se carapate aussi vite que possible. Pris par la distance.

Ce sera en direction de l’atoll qu’il ira, foulant le sable, les cris de douleur lui parvient.
Grimaçant, le brun tentera de se faufiler vers la tanière comme il le peut malgré son apparence.

Il était arrivé peu après la naissance de la première boule de poils, figer par les cris de douleur il était proche de l’entrée, tétaniser et craignait même qu’elle attaquerait les petites si il s’approche pendant le travail.

Se mordant la langue pour se ressaisir, il devait assumer, secouant la tête.
Le brun pénètre la tanière, observant un instant mère et filles, parce que oui à l’odeur c’était bel et bien à deux petites que Pandore venait de donner vie.

Le regard du borgne allait des petites choses encore souillée à leur mère. Il ira la rassurer de sa présence d’un coup de museau tendre et lui lécher le front.
Je suis là.. navré du temps.

S’assurant qu’elle allait bien avant de se coucher à leur côté, faisant temporairement barrage de son corps au vent.

Elles sont magnifiques Pandore… Aussi belle que toi.

Ce compliment était sincère, un sourire heureux aux babines avant de s’occuper à nettoyer les deux petites, si elle ne l’avait pas fait, elle n’en avait probablement pas la force et il ne pouvait pas les laisser ainsi.

Rendant présentable les deux jeunes, la brune ne le surprend guerre. La blanche en revanche, elle contrastait parmi eux. Quand les filles seront propres et sures qu’elles respirent bien et soit en bonne santé, les posera doucement contre le ventre de leur mère.

Avant de reporter son attention sur la louve pour l’aider aussi, soufflant quelques mot doux et encouragent à la miss

Donny restait tout de même sur ses gardes, il connaissait les sauts d’humeur de Pandore et avec les petites peut être redoutait il quelques choses ?
ll l’avait bien entendu gronder en entrant. Une mise en garde qui plainait encore chez lui.

Aucun geste brusque ou déplacer ne venait de lui. Il regarde les petites un temps avant de bouger pour se mettre au mieux et ne pas déranger la jeune mère, ainsi qu’avoir l’extérieur du coin de l’œil en tournant un peu la tête.
Si tu veux… repose toi, je vous veille et ne bouge pas d’ici, j’irais te chercher de quoi manger ou boire quand tu le désire.

Hors de question de les laisser toute trois et risquerait de défendre sa nouvelle famille de toute menace extérieure, il faudra aussi voir à nommer les petites boules de poils il le sait mais savait aussi que Pandore n’était pas en état en ce moment.

En vrai il hésitait encore sur sa manière d’agir, il ne voulait pas étouffer la miss de sa présence et d’un autre côté ne voulait pas les laisser dans un te état de faiblesse

Alors qu’il veille sa belle et les petites. C’est un moment qui devait rester juste à eux, après tout personne n’avait été mis au courant de tout cela.

Ecoutant la bleue, il allait répondre qu’une inviter s’incrusta en beuglant. L’échigne du male s’hérisse un instant, les oreilles se plaquèrent directement sur son crâne, babines relever, grondant.

Si ça n’avait été que cela, il se serait calmé Mais non, Pash avait oser le pousser pour s’imposer, ça, c’était hors de question. Il se retourne directement sur la louve et mordra en direction de la patte, touchant ou non, une fraction de seconde où il n’avait pas réfléchi, où c’était même une trop grosse tension pour lui.

Hors de question de se faire évincer ainsi alors que ses filles ont quelques minutes. Tout comme Pandore qui était à bout de force et épuiser autant mentalement que physiquement.

C’était à lui de veiller que rien n’arrive, le regard du borgne la fixait sur le moment, essayant de réprimer le grondement qui lui vrillait la gorge, reprenant sa place d’origine. Oh c’était bien la première fois qu’il se retournait ainsi sur l’un des siens.

Peut être que plus tard il regrettera son geste, là, c’était la limite à ne pas franchir, sœur ou non.
Si elle voulait rester, une limite devras être respecter et les demande de Pandore appliquer.