Au dernier cri, le ciel devint sombre (Donatas, Calli, Clio)

Pandore

Les petites, avaient maintenant, 4 mois. Quatre foutus mois, quatre mois ou elle devait les supporter, leurs voix, leurs fourrures, leurs projets. Pandore ne les supportait plus. Plus elles grandissaient, plus elles étaient une ombre sur son tableau. C'était elle la princesse de la famille. Elle la fille parfaite et belle. C'était elle, bordel, qui était la plus belle des Raeders. PAS ELLES. Elle n'en pouvait plus d'entendre les éloges envers elle, elle ne supportait plus la voix de Donatas qui les idolâtrait. Pandore fulminait de trop.

Clio était en train d'essayer des robes, devant SON miroir. Elle chantonne, sur son air angélique. Elle tente le drapé bleu, la couronne brillante. Elle tente le maquillage qui embellit ses joues blanches avec un rose pâle. Elle coiffe ses cheveux blancs neiges avec sa brosse et ajuste le tout de petites fleurs. Brusquement, elle quitte la nouvelle maison qu'était la cabane.

C'était plus grand, plus spacieux, plus facile. Elle ronge son frein, et quitte les lieux. Clio, habituée des sauts d'humeur de sa maman, ne réagit pas.

Quant à elle, elle disparut dans la mer. Durant des heures.

Quand elle revient, le sourire étire ses babines bleutées. La voilà heureuse, soulagée et légère. Visiblement elle se sentait mieux de cet éloignement. Trottant, elle rejoint la demeure de la famille. Cherchant Donatas et ses filles.

Clio rongeait un os de lapin, se relevant vivement en voyant sa maman rentrée, allant vers elle pour lui faire des câlins. Pandore réagit, caressant sa tête blanche en cherchant Calliopé et Donatas.

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La vie sur l Atoll était paisible, même si il ne se passait pas un jour depuis le funeste présage où Donny s éloignait des filles plus de quelques heures. A peine le temps de chasser ou de passer sur morne œil pour ses obligations.

Aujourd'hui il prenait son temps avec ses filles. Les Gardant a l œil. Clio a porter d oreille et de vue. Calliope elle, jouait avec son père. S amusant lui sauter dessus pour l attaquer. Jouant un peu a la bagarre, enfin a sa manière.

Tout n était que jeu, grognement et grondement de petit claquement de mâchoire.

Le père la coinçant facilement avec sa patte. Cally elle s amuse en mordillant et profitait de l intrusion de sa mère qui avait fait tourner la tête a son père qui se devait de surveiller.
Un instant d inattention et elle voyait la une une manière attraper le grand brun. Grimpant dessus et mordille l oreille la tirant.

Pandore

Pandore élargit son sourire quand elle voit Donatas avec Calliopé. Lentement, elle s'écarte de Clio et s'approche du mâle, toujours hautaine, il ne fallait pas perdre les habitudes après tout.

"-Mon cher petit Donny! Ce soir, je voudrais faire un plat! Nos petites ont bientôt l'âge de partir sur Morne Oeil pour y vivre, et je voudrais qu'on fête notre départ pour demain! Cela ne te dérangerait pas d'aller dans la mer me chercher une variété de crabes, des crevettes, des poissons et...." Elle réfléchit. "Si tu trouves, des huîtres ou des palourdes!" Elle lui fait un sourire. Remuant la queue.

Ah...Et...

"-Je ferais une soupe! J'ai trouvé de belles choses pas loin d'ici!" Pandore se mit assise. Clio avait entendu et venait rejoindre sa maman et son papa en claquant des pattes de joie.

"-Owi! J'adore la soupe de maman et papa!" La petite louve blanche semblait joyeuse. Déjà affamée par le grand repas. Elle courrut chercher sa couronne pour la mettre sur sa tête. "J'ai hâte d'aller voir papi et mamie! Et tata! Et tonton! Et tout le monde!" Pandore la regarde, avant de reporter son attention sur le mâle.

"- Tu veux bien??"

Elle ne pouvait pas attendre...

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Donny poussera un grognement dans le mordillement sera trop fort, posant sa limite. Une fois l oreille libre, la frotte de la patte, écoutant Pandore qui venait de s'approcher.

Il n avait pas encore été chasser ou même pécher pour aujourd'hui, alors pourquoi pas. Et puis Pandore était revenu elle allait garder les filles a l œil.
oh.. je..oui, je peux aller nous trouver cela. Une dernière soupe de l'atoll avant de retrouver la pèche de morne œil.

Pas qu'il n aimait pas. Mais il avait ses coins favoris là-bas. Il savait où trouver du bon poissons. Ou ses pièges fonctionnait le mieux et puis l arriver de Clio qui voulait la soupe.
Il ne pouvait plus refuser cela.. il brun soupire un peu
Et bien, ont dirait que je n'ai pas le choix~ le repas est donc choisi et cela donnera des forces a tout le monde pour demain.

Pour cela il allait ennuyer Calliope encore installé sur lui pour se redresser
"Et moi je peux aider ?! "

Elle regarde sa mère après avoir été un peu délaissé par le brun qui s' éloigne pour aller chercher de quoi transporter tout cela. Pas la peine d insisté sur le fait d accompagné a la pèche. Elle ne savait pas nager correctement ni respirer sous l eau ou retenir le souffle trop longtemps.. elle ferait plus perdre de temps qu autre choses et devait donc trouver une toute autre occupation

Pandore

Mmmh, oui. Une dernière soupe de l'atoll. Quand il accepte, elle élargit son sourire et se lève. Elle l'aide à se préparer, elle lui donne ce qu'il aura besoin, et lui redis les ingrédients qu'elle voudrait. De quoi l'occuper un petit moment sous l'eau, les huitres et les palourdes, c'était compliqué à trouver. Pendant qu'il finit de se préparer, elle regarde ses deux filles.

Dont Clio, assise en train de surveiller son père. Pandore tourne la tête vers son autre fille ensuite.

"-Non! C'est trop dangereux! Tu restes ici avec moi!" Elle fait mine d'être dramatique. "Par Paquot, vivement qu'on retourne sur Morne Oeil!" Dit la mère.

Clio se relève et remue sa fine queue pour aller faire un câlin à son père avant qu'il ne parte. Elle aussi aurait aimé aller avec lui juste parce que c'était papa, mais savait que c'était dangereux, et qu'elle n'aurait pas le courage de faire comme les grands. Elle préférait rester avec maman. D'ailleurs, elle sentait déjà la belle soirée avec ses parents, elle avait tellement hâte. Comme un jour de fête.

Pandore sortit déjà de la cabane et se mit à la tâche d'allumer déjà un feu. Son regard se tournait vers la jungle de l'atoll. Elle scrutait le coin avec méfiance et impatience.

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Donny prenait se qu'il fallait et récitait même tout les ingrédients demander. Une dernière check liste avant le départ surtout avec Pandore qui le lui rappelait en même temps.

Le brun se penchera vers sa petite boule de neige et lui rendra le câlin. Disant qu'il revient rapidement et qu'elle soit sage comme d habitude. Qu'il lui confiait aussi sa sœur, trop agiter. Même un peu frustrer de ce non catégorique lancer par sa mère. La queue brune frottant le sol. Elle ira saluer son père avant le départ et ira s assoir non loin du feu. Voir se coucher pour observer les flammes danser.
Et pas de bêtises les filles.. je reviens rapidement avec tout cela!

Donny s'éloigne de la petite famille pour sa pèche, s enfonçant dans l océan, laissant la forme marine prendre le pas avant de finir par disparaître dans l eau. Partant remplir sa mission du soir

Dernière édition par Sly le Mar 29 Oct 2024, 19:05, édité 1 fois

Pandore

Pandore regardait Donatas partir. Puis les petites qui retournaient à leurs occupations. Son sourire, aussi vite, fond comme neige au soleil. Laissant ses filles, elle quitte la cabane, prenant soin de s'occuper du feu. Elle fit de la fumée, qui volait dans l'air. Le temps passe. Il passe lentement. Et puis, elle tourne la tête. Jusqu'à ce qu'au loin, quelque chose de brillant la fasse sourire.

Pandore se lève et regarde les petites, derrière elle.

"-Mes chéries! Je sais que papa a dit de vous surveiller, mais il me manque encore beaucoup d'eau et de plantes pour la soupe! Je peux vous faire confiance pour que je m'éclipse deux trois minutes?? Je fais vite l'allé retour au lac!"

Calliopé et Clio hoche de la tête. L'une demande pour venir, mais Pandore lui dit non. Qu'elles devaient rester là toute les deux pour veiller l'une sur l'autre. Après quoi, Pandore prend son châle blanc, son panier, et quitte la demeure. Elle ne fit pas attention au bruit de feuille pas loin. Cela la fit sourire.

Chantonnant, elle trotte donc vers le lac, allant faire ses emplettes. Il était temps. Et il était mieux de le faire par quelqu'un d'autre, elle refusait d'être sur les lieux. Merci Astrid, de l'avoir prévenue.

Sorcière.

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WARNING - Mort des petites

Au dernier cri, le ciel devint sombre (Donatas, Calli, Clio) Assass10

Ref complète:

FOR: ••○ - AGI: ••○ - END: •○○- ING: •••

Le mâle avait été trouvé y a quelques jours de ça. Une louve bleue, qui cherchait de l'aide pour faire un sale boulot. Dénué d'émotions, il avait été présent. En échange de victuailles et d'argent. Aucune once de pitié et de remords, il se fichait du client et de la cible. Du moment qu'il avait de quoi vivre. La cliente était venue quelques heures plutôt. Demandant à ce que cela soit fait aujourd'hui.

Pattes de velours, il se faufille sur le territoire après avoir vu les signaux de fumée. Discret et furtif, il avance. Le signal était lancé. Il la voit partir de chez elle. La porte était ouverte.

Il retenait les ordres.

"Soit rapide. Propre. Et tu dégage!"

Ok.

Pas de boucheries, pas de tortures donc. Cela irait vite. Il était habitué chez lui.

Le mâle sombre se mit à courir. Il prit soin malgré tout de renifler autour de la cabane, les odeurs ne semblaient pas montrer la présence d'un étranger. Directement, il passe la tête, vif, il voit les deux louveteaux.

En une fraction de seconde, il cherche la première, la brune. La mère avait précisé que ce serait elle la première.

"la brune sera la première, elle est plus réactive, plus combative."

Ok.

Le mâle la voit se relever dans un regard de stupeur et de surprise. Pas de chance petite, il t'attrape avant de souffler ton premier grognement. Brutalement, il te saisit à la gorge, avec force, il te secoue comme un chiffon. Il entend tes râles, il entend ton agonie. Mais il n'en a cure. Il déchire ta trachée, te broie la gorge. Et quand tu ne bouges plus, il te lâche.

[Calliopé savait. Son regard dévie lentement vers Clio. Sa dernière pensée fut pour sa soeur, dont elle priait pour qu'elle puisse s'enfuir, même si c'était sans doute peine perdue.]

Tu soupires, avant de trépasser.

Sa tête se tourne sur l'autre. La blanche. Qui s'était collé dans un coin. De peur ou autre, elle n'avait pas crié.

[Clio avait vu la scène. Elle était tétanisée. Sa soeur venait de se faire tuer, et papa et maman n'était pas là. Quand elle vit sur elle le regard brillant, elle eut envie de hurler, de pleurer, de peur.

Maman n'aime pas quand je crie.
Maman n'aime pas quand je pleure.

Un hoquet de mort sortit de sa gueule.]

Le mâle vient l'attraper par la patte, il la tire de son coin. Elle tente de résister, mais c'était peine perdue. Une fois sa prise sur le sol, il attrape sa colonne entre ses mâchoires. La louve ne crie pas. Il écrase les os, les muscles, jusqu'à entendre le bruit fatidique. Il lui avait brisé la colonne, et la cage thoracique. La petite louve ne bouge plus et se laisse aller.

[Clio voit flou et se laisse partir. Non sans penser une dernière fois à sa famille. Une phrase, je t'aime Calliopé.. Le sang inonde sa gueule.
Puis elle pense. "Je t'aime papa, je t'aime grande soeur soleil, ..je....t'aime...maman"]

Le mâle s'assure que son travail est fait et puis quitte les lieux, disparaissant dans la nature.

Pandore

Pandore était penchée sur l'eau du lac qui était horriblement calme ce soir. Elle regardait son reflet, qui étrangement, lui semblait plus jeune. Avec moins de soucis sur le dos, avec moins de tracas, moins de haine, ça embellissait toujours les traits. Elle se recoiffe légèrement. "Elle sera toujours la plus belle.." Ainsi cette affirmation faite, elle se lève en soupirant.

Pour combien de temps, il en aurait ?? La louve regarde dans la direction de sa maison. Se demandant si c'était fini ou non. Il le devrait, normalement, il avait dit être doué. Elle l'avait payé. Pour être crédible, elle filait un peu plus loin, cueillant des fleurs, des plantes, des fruits. Des champignons. Elle avait même pris soin de remplir le pot d'eau.

Pour la soupe.

Ainsi son panier fait, Pandore décide de retourner chez elle. Quand elle arrive à la lisière, elle fixe la cabane. Au loin, les crépitements du feu, elle tend l'oreille. Pas un bruit, pas de cris, pas de rire, pas de jeux. Pas de mouvements. Rien. Elle hésite.

Un sourire intérieur la rend fébrile. Elle se mit à trotter, laissant tomber chacun des ingrédients de sa soupe le long de son parcours. Une mère inquiète s'en fiche de son panier.

Elle laisse tomber le panier au complet et se poste à l'entrée de la cabane. Ce qu'elle vit. Était parfait. Le mâle n'était plus là. Donatas n'était pas encore là. Au sol, ses deux filles. Ses deux pauvres petites filles. Un large sourire horrible, laissant paraître ses dents blanches, tremblait à l'envi de rire. Elle était libérée. Vivement elle rentre et se mit à vérifier qu'elles étaient bien mortes.

Oui. Pandore réfléchit vite. Elle ne les touchent pas. Car elle ne voulait pas avoir du sang, elle ne voulait pas les toucher. Ce n'était plus son problème.

La mère se prépare à crier. Elle force ses larmes à couler. Elle était douée. D'un coup, ses poumons se remplissent, elle se mit à hurler et quitte la maison en courant. Ses yeux humides, dont les larmes coulaient le long de ses joues, étaient parfaits. Sa voix, qu'elle brise à crier sa peine, tremblotait déjà.

"- DONATAS!!!!! DONATAS!!!!" Elle court, le long de la plage. Elle sue. Elle se mouille. Elle s'essouffle. Mais elle perdure, pour que ce soit réel. Elle crie, encore et encore. Elle fuit. Encore et encore. Faisant les pas, de la plage à la cabane. Comme pour vérifier à chaque fois si ses petites étaient encore en vie. Et ça dure.

Dans son esprit, c'était clair. Elle savait déjà quoi leur dire. Pour se défendre.

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Donny avait prit le temps qu'il fallait pour ramener tout ce qui avait été demander pour la soupe. Le plus dure était rester mettre la patte sur les palourdes.. ça lui avait pris le plus de temps. Qu'il pensait un moment a remonter sans.. mais bon.

Pandore serait probablement fâché de ne pas les avoir même si il avait attraper des crabes en plus. Ce n était pas ce qui était voulut.

Mais par Paquot il avait réussi a tout réunir et pris la direction de la surface. Reprenant une bouffer d air marin. Il nagera vers le rivage.

Foulant le sable c'est les appels de Pandore qui l interpelle, la louve courait le long de l eau. Un frisson parcours l échine du père. Elle était là mais pas les filles?!

Il filera la rejoindre essayant de garder son calme bien loin d' imaginer ce qui valait de tel cris. La voix casser de la bleu qui s' époumonne a l appeler ainsi.
Pandore! Je suis la!!

Il la rejoint en courant. Tempis pour le crabe qui venait de lui filer de la sacoche. Le brun signalé sa présence.
Que ce passe-t-il ?

Pandore

Elle crie, encore et encore. Elle espérait qu'il reviendrait vite pour le coup, parce qu'elle ne tiendrait pas hurler ainsi pendant encore des heures. Ca fatiguait sa si belle voix, elle n'en pouvait plus. Et puis, sans crier gare, il déboula proche d'elle. Ses yeux s'humidifièrent à nouveau quand elle le voit. Calmant ses cris alarmant pour une voix des plus brisées.

Parfait.

"-Oh... Donny.... les petites.... je..." Elle se colle à lui, tremblotante. "De l'eau..j'ai juste été cherché de l'eau...." Elle pleure, dans sa fourrure humide. Puis elle tourne la tête vers la cabane et pointe de la griffe.

"-Elles sont mortes!" Faussement dévastée, elle se laisse tomber sur le sable. La gueule humide à cause de l'eau et des larmes.

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Quel actrice le brun n'y voit que du feu. En un rien de temps la voilà coller a lui tremblante, il la serre un temps, qu'elle termine son explication.

Portant son regard dans la direction indiquée. Nan..nan ce n'est pas vrai! La bleu s'effondre après cela, il lui donne un petit coup de museau avant de s éloigner pour rejoindre la cabane.

Accélérant le pas. Au diable le ravitaillement, il avait bien plus urgent que cela. Et c'est en arrivant a la cabane que son rythme ralenti.

Un silence de mort y régnait seulement briser par le crépitement du bois dans le feu. Baissant les oreilles le père s avance vers l abris et y pénètre.

La scène qui se dévoilait sous ses yeux lui semblait fausse c était impossible. Son monde venait de s écrouler autour de lui. La sensation de la terre qui se dérobait sous ses pattes.

Il en sentait même son cœur louper un battement tellement ça lui prenait aux tripes. C'est deux petites était la étendue au sol inertes. Souiller par leur propre sang..

Il faudra un bon moment avant que Donny ne s'avance lentement dans la cabane, allant les pousser doucement du museau mais non... Aucune réaction. Elles étaient bel et bien parti...

Serrant les crocs. Fermant les yeux un temps encaissant la dure réalité. Il finira par pousser un hurlement mêlant rage, colère et surtout la peine qui le submergait telle un tsunami.

Il c'était absenter pour un repas, leur mère quelques instants pour de l eau qui n était pas loin de là et ce sont ses quelques instants d absence qui avait suffit...

Le mâle cessera finalement sa lamentation en s asseyant. Le regard allant de Clio a Calliope pour revenir sur la petite boule de neige.

La gorge se serrait alors qu'il sentait les larmes couler sur les joues. Bon sang c était deux petites qui n avait rien demander et encore moins fait de mal a qui que ce soit...

Prenant le temps de regrouper quelques idées.. il ne pouvait pas rester dans ce lieu remplie de l odeur du fer. Ni les laisser. Ainsi en proie a d'éventuel prédateurs ou charognards.. va défaire son écharpe et la poser au sol avant d aller prendre un des petites et la poser dessus.

Même si elles n étaient plus. Elles restent ses enfants et ne pouvait pas les manipuler brutalement.. et allait en faire de même avec la seconde. Changeant l écharpe en bandoulière comme l avait sa mère a l époque avec lui même.

Ils doivent rentrer sur morne œil... La créature qui avait fait cela devait encore être dans les parages. En d'autres situations.. il est fort probable qu'il aurait foncer la chasser.. mais la.. laisser les petites ainsi et leur mère en deuil... Non.. il reviendra plus tard et sûrement accompagné..

Pandore

Pandore le regarde s'en aller à la cabane sans rien dire, ni rien faire. Le visage encore humide, elle l'entend hurler à la mort ensuite, donc il venait de voir.

Vivement, elle se relève, il fallait qu'elle soit présente sinon ce n'était pas drôle, et vient l'observer. Comme sur "le choc", la louve le regarde en silence..

Il n'allait pas les emmener si?

Elle grimace.

Le laissant porter ce fardeau, elle le suit sans rien dire. Aux aguets. On pourrait croire qu'elle cherche un coupable, mais elle espérait bien que ce loup soit déjà loin.

Maintenant, elle allait devoir gérer Morne Oeil.

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Il prenait le temps de les mettre au mieux pour faciliter le transport. L odeur du sang et de la mort le collait mais il ne pouvait vraiment pas les laisser là. Finalement il sera rejoint par Pandore qui était silencieuse.

ont va rentrer a Morne Œil... Je ne peux plus rien faire pour elles... Mais hors de question de rester ici. La choses qui a fait cela pourrait revenir.

Et il avait bien assez a encaisser avec la perte de ses deux filles. Si la mère devait être attaquer en plus. Comme quoi.. l Atoll est certes belle mais pas encore assez sécuritaire.

Passant devant la bleu il de mettra en route pour rentrer chez eux. Et il y aura malheureusement l annonce a faire et redoutait déjà la réaction des un et des autres

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