Rêveries sous-marines [PV Mélissandre]

-Edessa-

Edessa dormait. Pelotée dans sa tanière, sa fille contre son ventre, elle avait sombré dans le sommeil comme un navire dans les profondeurs après un sale coup de canon. Avec délice, elle s'était glissée dans son uniforme de rêveuse, s'imaginant exploratrice ou forban, et laissant son esprit suggestif faire le reste. Elle n'avait pas eu le temps de réaliser qu'elle sombrait que déjà ...

Elle était sur Navire, truffe au vent et chant dans la gorge. Le son et la musique semblait venir de partout à la fois, ou bien de l'Océan lui-même, tant il était puissant et pourtant, elle n'entendait rien. Il résonnait dans sa cage thoracique mais ne sortait pas, cantonné à ce qui était sous l'eau. Il l'appelait, puissant, l'invitait à pénétrer ses flots, à se glisser en son sein et à s'aventurer dans ses Profondeurs. Sur la patte d'Edessa, la tâche sombre qu'était sa marque la brule.

Elle ne sait pas bien pourquoi, mais elle se retourne plutôt que d'entrer dans l'eau. Navire bat les flots, et le ciel est nuageux comme si une tempête s'approchait. Derrière elle, elle entendant un bruit.


Sa fille était-elle là ? Elle commence à la chercher. La marque de sa patte s'agrandit, lui dévorant l'épaule, puis le ventre, et la tentation d'aller chercher dans l'eau se fait de plus en plus forte. Et si elle s'était noyée ? Si elle la perdait, comme l'Océan l'avait déjà prise une fois ? Elle sent la peur et la colère lui prendre les tripes, et elle accourt par dessus bord pour crier, dans un son qui ne déchire pas l'air, coincé dans sa gorge comme si elle était sous l'eau :

Contre le ventre d'Edessa la petite louve s'agitait, bougeant ses pattes frénétiquement comme si elle nageait alors que de léger couinement lui échappait.

Tout était allé si vite. Quelques secondes plus tôt elle était confortablement lovée contre le ventre doux et chaud de sa mère adoptive et d'un coup elle c'était retrouvé sur une plage, les pattes dans le sable, petit à petit elle s'enfonçait, la dune semblait la tirer, l'engouffrer dans ses multiples grains reflétant le soleil. Elle était entrainée dans un tourbillon sans fin, immense. La plage c'était métamorphosé en un énorme maestrom, un tournoient sans fin allant de plus en plus vite, elle se noyait de plus en plus, s'enfonçant, la sable peinant à garder sa tête à la surface. Quelque chose semblait la tirer dans les profondeurs. La peur lui saisissait le ventre. Elle cria terrorisé. Alors qu'elle s'approchait de plus en plus de l'abime noir au centre, insondable. Elle se débattait, appelant à l'aide sans résultat. Elle tombât. Une chute vertigineuse qui lui soulevait la cage thoracique et lui coupait le souffle, les yeux écarquillés elle hurlait sans entendre le son de son de sa propre voix. Comme s'y elle était muette. Il était impossible pour elle d'obtenir la moindre aide. Elle sombrait de plus en plus profondément dans les ténèbres. Et soudain elle ne pouvait plus respirer. Elle était sous l'eau dans une mer violente et agité qui la secouait dans toute les directions comme une vulgaire feuille échoué à sa surface. Elle hurlait encore sans le moindre résultat. Battant des pattes avec frénésie, luttant pour rejoindre la surface. Quand elle semblait y parvenir une force inconnue l'entrainait à nouveau au fond. Les larmes lui montaient au yeux tendis que la détresse envahissait son coeur. Elle ne savait pas quoi faire. Cette ombre noir ne voulait plus la libérer, l'océan tentait de la dévorer.
Pourquoi
Pourquoi lui voulait-il du mal ?
La petite louve ne comprenait pas. Elle qui avait tant d'admiration pour lui, elle qui enviait tellement sa beauté sa fraicheur, son immensité. Que lui avait-elle fait pour déchainer ainsi sa colère. Elle pleurait en lui hurlant


Elle appelait désespérément tendit qu'elle était entrainé par les fonds, englobé d'une force invisible qui semblait vouloir l'attiré dans les abysses les plus profond et inexploré de l'immensité bleu.  

406 mots

-Edessa-

L'air est flasque, vicieux, lourd. Il pèse sur les épaules de la louve frisée, l'empêche de bien voir, et surtout d'entendre les cris de sa fille, de Melissandre qui semblent venir de l'eau. Et soudain, sa voix transperce l'air, tranchante comme une épée bien acérée. Edessa se dresse par dessus la rembarre et glapit, alors qu'elle croit voir un éclat de peau lisse de la couleur de sa Meli. Elle n'hésite pas plus, en bondit dans l'eau.

L'Océan de ses rêveries était bien différent de la mer réelle. Comme si sa personnalité était exacerbée, il l'enveloppe toute entière, et elle revêt sa forme poisson pour le satisfaire. Il était Dieu, dans ses rêves- clément ou écrasant, doux ou dominateur. L'eau salée qui passe dans ses branchies est acide, piquante, oppressante. Edessa ne sait pas pourquoi mais aujourd’hui, l'Océan lutte contre elle. Elle plonge, et aperçoit sa fille tirée vers le bas. L'Océan grogne, la malmène mais d'un geste souple, elle parvient à se saisir de la peau de son cou.

Elle tente de remonter, mais l'appel des Profondeurs se fait entendre, chantant. Edessa inspire, et nage plus fort, plus vite, jusqu'à que sa tête ne crève la surface de l'eau. Soudain, la tempête s'apaise, comme un grand soupire étrennant la mer entière. Elle lâche sa fille, la garde contre elle en battant des pattes arrières, la rassure :

Le membre 'echapp' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'PC - Réussite' :

Alors qu'elle s'enfonçait de plus en plus dans les ténèbres, une lumière, une voix rayonnante qui semblait chasser les monstre de l'obscurité. Mélissandre pu à nouveau respirer alors que la silhouette d'Edessa se dessinait à travers les rayons de lumières qui avait percé la densité étouffante de cette eau noire. La force qui l'entrainait par le fond s'arrêta instantanément de la tirer alors que la rassurante poigne de sa mère se refermait sur son échine.
Elle se laissa porter, remontant à la surface sans aucun effort, niché dans le creux du poitrail de la louve d'ou elle sentait s'agiter ses muscles mais également battre son coeur.
Elle était sauvé.
Une fois à la surface, elle se sera contre Edessa, nichant sa tête dans sa fourrure mouillée. Cette fois elle n'avait pas été seule, cette fois sa maman l'avait sauvé, elle n'avait pas été livré en pature à l'océan. La sécurité que lui procurait la présence de la louve suffisait à détendre son petit corps jusque là stressé entre les pattes d'Edessa dans le monde réel. Il poussa même un petit soupire avant de retrouver une respiration normale.
Dans leurs rêve elle leva les yeux vers sa mère qui la rassurait d'une voix douce. Elle savait maintenant qu'elle n'avait plus aucune raison d'avoir peur, qu'Edessa serait toujours là pour prendre soin d'elle et cela même dans ses rêves.
Meli la sera à nouveau contre elle, bien heureuse d'avoir rencontré quelqu'un d'aussi bienveillant pour prendre soin d'elle, la petite louve murmura:

-Edessa-

Comme en réponse aux deux corps embrassés, l'Océan les enveloppe d'un courant plus chaud, comme une énorme patte sur posant sous elle. Edessa, toujours en train de nager sur le dos, garde bien contre elle l'enfant -son enfant- et lorsque Mélissandre lui dit qu'elle l'aimait, oh ! Son coeur de mère fond comme glace au soleil. Elle la serre contre elle, presque la larme à l'oeil (si seulement Dysis pouvait être aussi expressive !) et l'emmène au grès des courants. Elles étaient ensemble, en sécurité, et -


Elle lui lèche le museau, attendrie, avant de sentir doucement le courant de sa conscience quitter le rêve, non sans regret.
Et la revoilà dans le monde réel, ouvrant les yeux avec peine. Contre elle, le corps chaud de sa fille est paisible, et elle lui lèche le front avec tendresse. Encore toute chamboulée par la rêverie intense, elle souffle, comme si elle venait effectivement de sauver Mélissandre d'un grand danger. Elle se détend, mais sent qu'elle n'arrivera pas à trouver le sommeil : dehors, le soleil s'était levé, et même si le ciel était encore blanc, bientôt il faudrait se lever.

Le rêve se termina dans une bulle douce et réconfortante remplie de tendresse. Elle était avec sa maman en sécurité et maintenant elle était la pour prendre soin d'elle, elle ne serait plus jamais seul. Les parole d'Edessa raisonnait dans sa tête comme les douce note d'une mélodie apaisante et sa conscience se mit à dériver faisant apparaitre des belle créature multicolore. Elle nageait à leur côté, agitant les pattes dans le monde réel jusqu'à ce qu'elle arrive aux confins du monde ou la mer se jetait dans un océan de nuages. Pourtant Mélissandre ne tombât pas. Elle prit son envole et s'éleva de plus en plus haut vers la lumière alors que sa tête était carressé par les nuages.

Elle se réveilla bien au chaud contre le corps d'Edessa. Ses yeux s'ouvrirent doucement et elle bailla, se nichant un peu plus contre le fourrure de sa mère pour ne pas perdre ce cocon chaleureux dans lequel elle se sentait si bien. Elle n'avait pas envie de se lever tout de suite. Elle restait là à profiter de la chaleurs des première rayons du soleil que s'insinuait dans la tanière et le chant de mouette qui devaient déjà s'affairer sur la plage. Son cauchemar était presque oublié, remplacé par la douceur qu'Edessa avait apporté à la fin de son rêve.
Elle murmura:

-Edessa-

Contre elle, sa fille s'éveille lentement. Edessa lui caresse les cheveux -ils étaient frisés, un peu comme les siens, ce qui était étonnant- jusqu'à ce que Mélissandre émerge de son sommeil. Les oreilles de la pirate se redresse légèrement, et elle répond d'une voix douce :


Elle sourit, et penche la tête pour admirer les pommettes et les petites tâches de la jeune louve, contemplant son visage d'un amour tendre. Elle comprenait ce qu'avait vécu Séléné, alors, lorsqu'elle avait pu garder ses deux enfants près d'elle. C'était quelque chose de naturel et de bon, de pur et de plus magique que tout ce que cette vieille sorcière d'Ann pouvait faire dans sa tanière maudite.

La caresse d'Edessa fini de sortir la petite louve se sa torpeur, elle répondait:


Elle étirait ses petites pattes avant de chercher doucement les mamelles de la louve pour y boire quelques gorgée de lait chaud. c'était tellement bon et doux. Rien de mieux pour bien commencer la journée.
Une fois son petit déjeuné pris, elle se leva toute contente, réfléchissant à c qu'elle voulait faire. Elle porta sa patte à la petite perle qu'elle avait autour du cou. Edessa lui avait dit qu'elle lui expliquerait comment en trouver et maintenant qu'elle allait mieux et qu'elle c'était remis de ses blessure peut-être voudrait-elle bien l'y emmener ?


Elle se rapprochait de nouveau d'Edessa pour lui offrir un regard curieux de ses grands yeux rouges. Jamais aucune perle n'aurait plus de valeur pour elle que celle offerte par Edessa qu'elle portait chaque jour mais si elle aussi en trouvait peut-être pourrait-elle en offrir à d'autre loup et a sa maman surtout !

-Edessa-

La pirate penche la tête pour lécher le front de sa fille alors qu'elle prenait son petit déjeuner. Depuis qu'Edessa avait réussi à produire du lait, sa fille grandissait et grossissait d'autant plus. Il fallait dire qu'elle en était fière ! Et puis, sa tignasse frisée lui rappelait la sienne, comme si elle était sa fille de sang. C'était tout comme, après tout : elle se sentait même plus proche de sa Mélissandre que de Dysis, son autre fille qui était restée nakhus. Le regard ambré de la pirate vient chercher celui de sa fille, et elle lui sourit.


Elle s'étire un peu avant de se relever, invitant sa fille à faire de même. Elle était assez grande pour se frotter à l'Océan, à présent. Enfin, Edessa ne l'amènerait pas directement aux endroits les plus dangereux, mais la crête formait une zone peu profonde et sans aucune vague, ou presque, où les perles étaient les plus faciles à trouver. En plus, les huitres lui feront un bon petit déjeûner, à elle qui ne buvait pas de lait ! Elle s'avance vers la sortie, la queue relevée dans son dos :


Elle la mène au dehors, grimpant sur les roches avant de se diriger vers la Crête. Le temps était beau, bien différent de l'orage qui avait envahit leurs deux rêveries sous-marines, et la pirate se met à sourire aux nuages, et à la mer.

Edessa accepta et la petite se mit à sautiller de joie toute contente. Elle ne se fit pas prier pour la suivre, courant même toute autour d'elle avec toute l'excitation et l'énergie d'une petite pleine de vie. Elle regardait tout, sentait tout avec sa curiosité habituelle alors que la brise marine matinale venait ébouriffer ses cheveux.

Edessa l'emmena dans un endroit qu'elle ne connaissait pas encore, un endroit magnifique ou la petit ne savait ou poser les yeux. De grand rocher pointus émergeaient de l'eau et tout autour dans l'eau se trouvait une multitude de poisson coloré et d'anémone chatoyante. De nombreuses mouettes aussi qui semblaient se repaître de leur repas matinal. Mélissandre se mit à les courser courant dans les flaques en rigolant alors que les volatiles s'envolait non sans un crie de mécontentement. Les gouttelettes qu'elles soulevait dans sa course miroitait comme une multitude de cristaux dans les rayons chaleureux du soleil. L'accident de Méli semblait tellement loin maintenant. Elle c'était parfaitement adapté à cette nouvelle vie et l'absence de ses souvenirs lui pesait bien moins, comblé par l'amour d'Edessa.

Elle retourna vers sa père en s'ébrouant le sourire aux lèvres, la nageoires déployé toute son attention tourné vers la louve qu'elle observait de ses grand yeux curieux en demandant:


Elle avait regardé mais n'en avait pas vu parmi toutes les jolies choses qu'il y avait ici.

-Edessa-

Lentement, la mère guide la jeune louve sur la plage, à travers les flaques d’eau salée et les coquillages échoués. Elle ouve d’un regard attendri sa fille qui explosait de joie, galopant sur le sable mouillé en essayant de choper les mouettes. Edessa lui aurait bien proposé une course, elle les aimait tant plus jeune, mais elles avaient à faire. D’ailleurs, sa fille la rappelait à l’ordre !


Elle s’avance doucement, patte après patte, avant de s’arrêter pour ramasser dans sa gueule un coquillage très caractéristiaue : Une huitre. Elle la lance à Mélissandre pour lui montrer ce qu’elles recherchaient.


Elle lui lance un regard malicieux.

MELLISSANDRE

La petite louve trotta vers sa maman avant s'exécuta, rentrant doucement dans l'eau en étirant ses nageoires par réflexe. Comme c'était agréable. Elle suivit la louve qui se mit à fouiller le fond de l'eau entre les rochers. Bien elle en sortit la tête en tenant un coquillage fermée à la coquille grise plutôt laide qu'elle lui lança. Mélissandre l'observa de ses grands yeux curieux. Une huitre ? Qui en plus de refermer un trésors était bonne à manger ? Voilà qui plaisait à la petite. Elle commençait tout juste à gouter d'autre aliments que le lait maternelle et cela ouvrait tellement de possibilité de choses à découvrir ! Papipoisson lui avait déjà fait goûter le poisson frais et la bonne soupe cuisiné avec ces même poissons. Mais elle avait encore tellement de chose à découvrir !
Son attention se porta à nouveau sur la coquille grise à ses pattes. Il fallait qu'elle l'ouvre ? Mélissandre ignorai comment faire. Elle fronça les sourcils et observa comment la bête était faite pour trouver la faille qui lui permettrait d'accéder à son contenue. (réussite basé sur ING) Elle remarqua qu'un coté semblait verrouillé par une sorte de charnière alors que l'autre semblait seulement serré mais laissait entrevoir une fente. C'était ici ! Elle l'a pris entre ses dents, mais leurs forme carré l'empêchèrent de se glisser à l'intérieur pour fair levier, Elle ne firent que crisser sur la coquille de manière désagréable. Alors elle tenta avec ses griffes mais ne parvint pas non plus à l'ouvrir.

Frustré ses petits sourcils était encore plus froncé alors qu'elle s'assis agacé en demandant, déçu ne de pas avoir trouvé par elle-même:

-Comment on fait pour les ouvrir maman ?

Elle voulait voir l'intérieur, goutter le goût de l'huitre et surtout voir si elle contenait une perles aussi jolie que celle offerte par la louve !

Le membre 'Escapado' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'PC - Réussite' :

-Edessa-

La pirate observe sa fille découvrir l'objet avec tendresse. Elle regarde, se concentre, comprend le mécanisme et essaye avec ses petites dents carrées si étranges. Edessa appréciait chqaue minute du processus, voyant presque les idéees passer sur le visage de sa fille. Mais quand elle l'appelle à l'aide, elle vient immédiatement à son secour. Enfin ... Elle n'allait pas lui donner la solution. Ca serait trop facile, non ?


Elle la guide avec douceur vers un rocher soludement ancré dans l'eau, donc le bord tranchant dépassait de la mer calme. Cela étant fait, elle recule pour voir comment l'enfant allait se débrouiller avec ces pièces du mystère.

MELISSANDRE

Ses grand yeux observait la pierre que lui tendait maman. Un bout pointu un autre plus grand. Elle la prend entre ses pattes et la fait tourner, les sourcil froncé de concentration pour comprendre comment l'utiliser au mieux pour ouvrir le crustacé récalcitrant. Devait-elle taper dessus avec pour briser la coquille ? Ou alors parvenir à le glisser dans la fente pour faire levier ? Elle levait à nouveau ses yeux vers Edessa qui l'observait sans rien dire. Elle voulait sans doute qu'elle trouve seule. Alors Méli posa l'huitre entre deux cailloux et commença à tester des choses. Mais ses grosse pattes maladroite de louvette ne lui facilitait clairement pas la tâche. Elle avait du mal à tenir la pierre qui lui glissait entre les doigts dés qu'elle tentait de mettre un peu de force dans ce qu'elle faisait. Elle tombât à plusieurs reprise et la petite louve la ramassait inlassablement pour réessayer jusqu'à passer 10 bonne minute dessus sans que la coquille n'ait fait mine de bouger d'un millimètre. A se stade la petite perdait patience et elle se mit à frapper le dessus de la coquille avec la pierre rageusement alors qu'un léger grondement résonnait dans sa poitrine.

Cette fichu huitre l'agaçait profondément au point que des larmes de frustration commençait à rouler sur ses joues. Elle voulait y arriver seul, elle voulait montrer à maman qu'elle savait se débrouiller mais ce fichu coquillage n'en faisait qu'a sa tête. Elle fini par le prendre et le lancer au loin avant de s'assoir dans l'eau et d'en frapper la surface d'un coup de patte.

-C'est nul, cette pute d'huitre veut pas s'ouvrir !

Voilà en plus que son langage joliment fleurit par sa rencontre avec le poisson pourrit refaisait surface. Les oreilles baissé elle fixait ses pattes les crocs serré sans oser lever les yeux vers Edessa qui devait être profondément déçu de son échec.

Le membre 'Escapado' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'PC - Réussite' :

-Edessa-

La mère regarde sa fille galérer avec tendresse. Elle continue tranquillement ses recherches, trouvant des huitres et les ouvrant au grès du léger courant. Elle ne trouve pas de perle, encore : Elles étaient plutot rares. Mais ce n'était pas très grave, au moins, Edessa pouvait manger les huitres, et cela lui ferait office de repas. Elle revient voir Mélissandre au bout d'un moment, Mélissandre qui s'acharne toujours sur la même huitre. Son museau s'avance, curieux, et elle regarde sa technique. Pas trop mal, c'était brut, c'était fort, mais pas vraiment ce qu'Edessa lui avait montré.

Et puis ... ses oreilles se redressent. Et bien, un beau language fleuri ! Elle sourit. Sa fille était en train de devenir une véritable reader.


De derrière, elle tend les pattes pour les poser sur celle de sa fille, et guider ses gestes. La coquille est posée avec soin contre la roche, calée dans l'interstice. Et d'un coup sec .... Hop ! L'huitre est ouverte. Edessa sourit.

MELISSANDRE

Mélissandre était vraiment vexé de son échec mais la voyant ainsi galérer Edessa revint vers elle rapportant l'huitre lancé plus tôt et lui proposa de lui montrer. La petite louve releva le visage à l'expression boudeuse mais se re concentra sur la tête. maman replaça l'huitre dans le creux du rocher et déposa ses pattes sur celles de Méli pour guider ses gestes. Au bout de quelques secondes le crustacé s'ouvrit ! c'était donc ça il fallait mettre un coup sec ! Les yeux de la petites louve s'agrandir alors que la frustration et les pleurs étaient déjà bien loin.

Elle pencha le museau au dessus de la bestiole gluante, un peu déçu de ne pas trouver de perle. Comment une chose si moche pouvait-elle créer des choses si belle. Méli était un peu perplexe. Mais bon une huitre sans perle n'était pas tout à fait inintéressante non plus. ça sentait bon l'odeur iodée de l'océan alors elle s'assis et l'attrapa entre ses dents pour la manger. Son expression très concentré sourcil froncé elle resta ainsi plusieurs seconde avec l'huitre dans la bouche, explorant le goût et la texture pour savoir si elle appréciait ça et au fur et à mesure de la dégustation sont expression s'illuminait. C'était trop bonnnn !!! Sa queue se mettait à s'agiter dans son dos alors qu'elle levait les yeux vers maman toute ses dents sortie en un sourire lumineux, elle s'exclama:

-C'est trop trop bonnn !!! J'en veux d'autre !

Méli avait pourtant déjà pris un petite déj très copieux à base du bon lait de maman mais la découverte de nouveaux goût et de nouvelle choses à manger était bien trop excitante pour s'arrêter en si bon chemin. Elle affirma sûr d'elle :

-Maintenant je suis grande je mangerais plus que des huitres !

Et voilà qu'elle repartait en bondissant à la recherche d'autre crustacé. maintenant qu'elle savait les ouvrir elle avait bien l'attention de se remplir la panse.

-Edessa-

Melissandre prend son temps pour gouter, mais goute, et heureusement ! Que serait un pirate qui n'avait pas gout des choses de le mer, hein ? La louve frisée sourit, heureuse, la poitrine emplit d'une impression chaleureuse. Elle se sentait .... Fière. Elle n'avait jamais pensé se sentir aussi fière de voir une gosse manger une huitre, et pourtant, pourtant ! Ha ! La joie de l'enfant est contagieuse, et la mère lui emboite le pas pour l'aider à chercher les coquillages et les perles. Quelle belle matinée !

[Fini pour moi !]