[Recherche souterrain] La profondità del buio ☀ Stendhal, Hölzer et Libre

Il y a quelque chose d'important, là-bas, dans ces sous-terrains, et vous voilà désormais à l'entrée de ceux-ci.
Tu n'as pas eu peur, ni un soupçon d'hésitation, lorsque tu t'es rapproché de l'entrée. C'est que tu étais fils de bleus, toi, et quand bien même tu n'avais pas eu le désir d'en porter la couleur, tu n'en restais pas moins éduqué dans ces valeurs là.
Qu'est-ce qui aurait pu y faire peur, après tout ?
Tu n'avais pas la crainte de l'obscurité. Et puis, t'étais bien accompagné !
Il y avait avec toi Stendhal et Hölzer, dans ce trio improvisé mais qui n'pouvait que fonctionner.
Zag avait été laissé à Aiiro. Zig était dans ton collier.
(Lui aussi, il faisait parti d'l'équipe)
(L'oublier l'aurait vexé)

Y avait aussi la carte de Stendhal, dont la vision avait suffit à c'qu'elle soit imprimée dans ta tête, comme si tu la tenais encore entre les pattes. Aiiro t'avait doté d'une certaine mémoire, et dans c'cas, s'en devenait presque un pouvoir.
Et si les temples furent devinés, tu cherchais encore et toujours, c'que représentait ce tourbillon. Tu n'étais allé qu'une fois à la lagune, et n'avait vu que de loin ce cercle magique. Ton voyage en cette terre magique s'était surtout soldé par la rencontre de Liam, et tu n'y étais pas retourné depuis.
Si tu croyais à la magie, c'était un domaine que tu laissais à d'autres-
C'était juste drôle de faire des potions et d'y goûter, pour toi.

Mais tu t'égarais !
Tellement, que tu manquas de te prendre une patte spaghetti dans un rocher proéminent.

« Bon ! Par où va-t-on, pour commencer ? Si le danger n'est pas grand, raisonnable comme disait Aiiro, il existe tout de même. 'faudra qu'on fasse gaffe et qu'on explore avec prudence, sans se perdre. C'est peut être d'ailleurs le fait de ne pas en ressortir, le vrai danger. »

Tu penches la tête et plisses tes yeux, dans une réflexion intense.
Mmh..!
C'que c'était pas impossible. L'égarement, puis la faim et la soif que cela provoquerait, puis l'obligation de devoir s'manger une patte pour survivre, et garder l'autre pour demain..!
(ce serait une bien triste fin)
(Ou faim, pfrt)

En attendant, et de la pointe de Zig, tu marquas d'une flèche allant dans le sens de la sortie le mur à tes côtés, pour signifier qu'la sortie c'était par là.
Au cas où, pour n'pas trop galérer à vous repérer..!