Ca fait si longtemps maintenant ... [ Libre.

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L i b r e . à . t o u s !

Piw`ki était là, perchée sur le bord de la fontaine, comme un chat. Sa longue queue de félin touchait le sol. Elle pencha légèrement sa tête, comme si elle allait boire cette eau douteuse, et rose. Mais non, elle posa légèrement son museau et regarda son reflet. Sa longue mèche et son glowstick étaient plongés sous l'eau. Il y avait un faible soleil, pourquoi vous le cachez ? Les nuages commençaient à le recouvrir, promettant une fine pluie. Elle releva doucement sa tête, ne bougeant pas sa position, et regarda aux alentours. Reniflant, humant l'air. Puis un bruit, un battement d'ailes. La louve releva la tête. Elle se prépara, comme un félin, prêt à sauter sur sa gazelle, sauf que là, il s'agissait d'un oiseau. Elle montra ses crocs, et lâcha un faible grognement. Puis bondit, elle se posa sur la branche, qui je ne vous le fait pas dire, se secoua sous le poids lourd de la belle. Elle tendit sa patte et d'un coup, le chopa. Elle se laissa tomber au sol, sur ses pattes, s'ébroua et le posa au sol. Assise, elle le contemplait, souriante. Puis elle approcha sa gueule de lui et ricana. Tapotant le sol sec d'été de sa queue féline. Elle prit, entre ses crocs, le stupide oiseau. Qui n'était qu'un simple et idiot pigeon, il piaffait à l'aide. Elle se releva, avec dans sa gueule sa proie. S'ébroua et trotta vers la cascade. Elle fit un petit bond et se rassit au bord. Laissant tomber sa queue, qui touchait le sol. Elle baissa sa tête, puis son corps pour s'allonger. Le bout de sa queue tapotant légèrement le sol. Elle posa ses pattes sur le pigeon, une sur le cou, l'autre sur ses pattes. Puis elle ferma les yeux quelques secondes, et murmura des choses incompréhensibles. Puis elle ouvra ses yeux, et laissa échapper un étrange sourire. Puis sa gueule se jeta sur l'oiseau, qui hurlait de douleur, elle appuya avec sa patte gauche, là où il y avait le bracelet avec des piques. Et elle força sur le cou. Grondant, elle replanta ses crocs dans la chair fraîche de l'oiseau. Mastiquant sagement, et lentement, ça faisait bien 2 jours qu'elle n'avait vu de proies petites, rien que pour elle. En effet, elle n'avait vu que des élans, ou des cerfs, ou bien encore des lièvres, rien que ça suffisait au clan, pour elle, elle n'avait le droit qu'au petite proie, comme ce pigeon. Qui maintenant était bel et bien mort, déplumé au niveau de l'estomac, et toute la viande et les boyaux arrachés, mangés. Elle prit la proie dans sa gueule, se releva, s'ébroua, et sauta du rebord. Elle trotta vers la terre molle, se mit à creuser dedans, quand le trou fut assez large, elle lâcha le pigeon. Elle le mit bien en place, et le recouvrit rapidement de terre. Puis elle lécha la terre laissant le sang marqué le sol, ainsi qu'un trou, formé par son piercing jaune qu'elle avait sur sa langue bleue. Elle se secoua et marcha, regardant les autres fontaines. Elle s'assit. Et contemple. Elle se rappelait alors du soir de ses 1 an. On lui avait offert ce glowstick rose. Et par son mécontentement, elle s'était enfuie. Elle baissa la tête, honteuse...

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K

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Il y a beaucoup de louves aussi mignonnes que toi, au camp Acid ? Ca fait pas mal de temps que je ne suis pas allé vérifier . . .

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L

= P

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A h w . e n f i n ! H i .

La louve dressa ses grandes oreilles. Elle tourna simplement sa tête. Voyant un fou débouler. Elle écarquilla ses yeux. Et tapota le seul du bout de sa queue. Elle continua à le regarder, tel un détraqué, un mâle sans cervelle ? Elle ricana en elle et tourna légèrement la tête, lâchant un petit sourire. Puis elle leva la patte antérieur droite et commença à la lécher en toute élégance féminine. Quand elle entendit les pas lourd du mâle s'approcher d'elle. Elle releva à peine les yeux pour le voir. Elle lui accorda un beau sourire. Posa sa patte, s'ébroua et ouvrit grand ses oreilles. Quand sa phrase lui enleva son sourire. Voilà qu'il était dragueur ! Non mais laissez-la rire. Elle soupira et regarda plus loin, autre part. Le laissant alors terminer sa phrase. Elle était mignonne d'après ce qu'il disait. Et ça faisait longtemps qu'il n'avait pas vu de personnes de ce clamp. Hmm. Rien d'exceptionnel quoi. Elle se leva, pour se mettre à sa taille et secoua légèrement sa queue. Qu'est-ce qu'elle pouvait lui répondre ? Est-ce qu'elle devait, elle aussi, prendre son ton charmeur... Elle était déjà lassée. Elle préférait encore chasser que de charmer sans arrêt, mais bon dieu, pourquoi lui a-t-on donné ce glowstick ? Elle posa ses yeux dessus, et lâcha un soupir brouillant. Puis elle se secoua la tête, non non, la joie de vivre ! Allez, hop ! On se rabaisse pas, on sourit, la vie est belle, ce n'est qu'un tube coloré à près tout, m'enfin sans lui, Piw`ki n'était rien, vous entendez : Rien.

«Je crains que tu te trompes de personne beau mâle. Je ne regarde pas les femelles. Mais merci. Si ça fait si longtemps que tu n'as pas mis les pieds ici, permet moi de t'aider dans ta visite alors.»

Elle lui fit un clin d'oeil. La louve avait aussi soif. Elle le contourna, le frôlant tout de même de sa queue, comme les chats, lui passant sous le museau. Puis elle sauta doucement sur le rebord, pour la troisième fois, de sa fontaine, la rose. Elle pencha la tête, et plongea le museau dans l'eau, avant de laper légèrement. Cette eau était bonne, un léger goût, tout de même, de fraise, probablement ce qui permettait de faire cette couleur. Mais le rose était plus clair que celui dans le glowstick de la demoiselle. Elle releva la tête, fit volte-face, et s'assit. Plongeant sa longue queue dans l'eau. Elle mit les oreilles en arrière, l'effet que l'eau donna à son corps était désagréable. Elle ressentit un courant, comme une petit décharge. Elle se mit à sourire gênée. Et d'un coup sortit en vitesse pour se coller au mâle. L'eau était glacial. Elle se réchauffa contre lui, un petit grondement sortit de ses narines, comme un ronronnement. Mais plus canin ! Ah la chaleur qu'il donnait était agréable. Mais euh ... Ca le f'sait pas trop, hein ? Elle se décolla, et s'excusa en vitesse, honteuse.

» Bleu comme le ciel où elle est, maintenant - Libre (Ao ?)
» L'union fait la force. ○ BRETHENS & LIBRE
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» Partie depuis longtemps... ; Roy
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