Petit dejeuner .... MYSTERE ! [PV Polaris]

-Blizzard-

L'été, c'était trop cool.
Un épi de blé dans les cheveux, Liza reggane sa tanière où son ???? fils ??? l'attendait. Il était toujours un peu perdu, ici, oui
Elle s'identifiait un peu à ça

Elle qui avait toujours voulu devenir maman, ellle ne s'imaginait pas trouver son petit dans un champ de champignons!


Elle s'approche de son coin du dédale.


Et sort trois tomates, un peu écrasées.

Il avait été un peu malade après qu'il ai vu les deux louves étranges aux plaines stériles - celles qui se trouvaient à coté de la Sylve-
Quelque jours après cette entrevue, son corps était devenu lourd - manger n'était plus agréable- Et l'envie de dormir ?.. et bien, dirons nous qu'elle était devenu plus nécessaire qu'un simple plaisir.

heureusement, maman Liza était là. Elle ne lui en avait même pas voulu -au final- d'avoir sali la belle cape qu'elle lui avait offert. Enfin, même si bien sur, ça n'empêchait pas à Polaris de s'en vouloir - un peu.

Bonjour Polaris ! Comment ça va ?

Un œil s'ouvre alors que son esprit ballai un peu l'état semi léthargique dans lequel il s'était plongé depuis le début de la mâtiné. Il relève le museau, soulevant sa tête encore légèrement lourde afin d'accueillir sa si petite maman.

J'ai apporté le petit dejeuner !

un sourire doux se dessine alors sur ses babines et il hoche du museau -il allait bien- quoiqu'encore fatigué. Mais ça ne l'empêche pas - non sans peine- de commander à ses muscles de relever son imposante carcasse pour s'approcher de Blizzard. Il laisse alors sa truffe plonger affectueusement contre son encolure pour lui dire bonjours comme il se doit.
Puis son regard curieux se reporte sur les tomates.
Est ce qu'elle avait besoin d'aide ? Pour cuisiner ?

-Blizzard-

O était encore tout endormi. Elle l'aimait d'amour, lorsqu'il dormait - Il ressemblait à une énorme montagne de nuage, si grand et agité par le vent ! Et puis, c'était rigolo parfois de voir ses insectes pelucheux se former au grès de ses rêves.
Elle ne se lassait pas de le regarder.

Elle dépose ses tomates au sol, et en fait rouler une devant elle, et deux devant Polaris.


Il avait été malade, un peu. Rien de grave ! Mais Liza s'était inquiétée.
Qu'est-ce qu'on s'inquiétait quand on était parent !
Elle croque dans sa tomate.

Doucement, le museau suit les tomates lorsque ses dernières viennent rouler dans sa direction.

Mange, il faut grandir ! Pour être fort, et guérir plus vite !

Fort ? Grand ? Il n'avait donc pas suffisamment grandit ? Ou peut être que maman n'avait pas mangé assez de tomates lorsqu'elle était petite. Il cille avant de venir attraper l'un des fruit dans sa gueule, le croquant tout entier. guérir plus vite, ça oui, il voulait - même si il espérait ne pas devenir assez grand pour se cogner la tête contre le plafond. C'était.. parfois plus pratique d'être un peu plus petit.

Qu'est-ce que tu veux faire aujourd'hui mon grand ?

Ses oreilles duveteuses frémissent et il songe. Il avait... envie de dormir.. Encore et toujours un peu plus. Mais c'était certainement pas ce ue maman attendait comme réponse.
Une activité pas trop crevante alors.
La nuée qui s'échappe de son pelage vient alors prendre la forme de plantes, des plantes à fruit. ils pourraient s'occuper du jardin pour les autres Nakhus.
Ou bien.. cette fois c'est la forme d'un livre qui se dessine. Apprendre de nouvelles choses à la bibliothèque.
peut être qu'il pourrait se renseigner sur la maladie qu'avait la solitaire bizarre. Et l'aider.
Le regard curieux se tourne vers maman. De quoi elle avait envie, elle ?

-Blizzard-

Il croque ses tomates (bien ! Maman disait qu'il fallait bien manger) alors qu'elle finit aussi son petit-déjeuner. Elle avait pas autant grandi que son fil, qui était devenu un vrai GEANT mais maman disait que parfois, c'était aussi la chance. Et puis, elle aimait bien être petite-
Son fils lui explique, avec ses nuages, qu'il aimerait s'occuper des plantes, ou aller à la bibliothèque. Liza hoche la tête. Les deux avaient l'air bien ! Elle lève les yeux au ciel : ils avaient le temps de faire les deux, même.


Elle sourit, toute contente.

Pourquoi pas le jardin d'abord, c'est tout près ! Après, on pourra déjeuner là-bas et hop, à la bibliothèque. Tu veux lire des livres en particulier ? J'en connais plein sur les étoiles, si tu veux. Oh ! Tu sais lire ?

Il sourit.
A des idées simples, maman avait souvent des réponses simples. mais elles étaient toujours pleine de sagesse. c'est vrai après tout pourquoi pas faire les deux ?
Puis, voilà qu' elle lui parle des livres avec de étoiles et s'étonne qu'il sache lire. Polaris cille, la curiosité pour l'écriture lui venait d'elle et du carnet qu'elle lui avait autrefois passé avec des symboles. Il tourne un peu la tête et avec sa nuée, il vient toucher un gros livre rangé pour lui montrer là où il avait apprit.
Il avait demandé à mamie cloud et.. à plein de personnes en réalité d'apprendre à lire - Hormis ses mites, c'était le meilleurs moyen d'expression qu'il avait pu trouver.
Ecrire ne valait pas une voix, mais ça aidait - un peu.

Quand au sujet de lecture. Hm. Il aurait bien aimé en apprendre plus sur les étoiles c'est vrai, mais il avait aussi un autre sujet qui lui taraudait ces derniers temps.
Alors, il force un peu sur ses muscles pour se lever et va chercher son propre carnet qui se trouvait sous sa cape plié. Il l'ouvre à la bonne page et montre à maman.

Sur cette dernière se trouve le dessin approximatif d'une louve bleu nuit avec un coté gribouillé et les mots "maladie" "amie ?".
La solitaire qui était pas bien. Oui. elle avait été un peu bizarre et gênante, c'est vrai.. Mais elle était malade aussi -comme il l'avait été ses dernière semaines.
Alors il voulait l'aider.

Lorsqu'il lui tend son carnet, maman le regarde avec curiosité - prenant bien le temps d'analyser le dessin de son regard tordu. Polaris lui, penche le museau dans sa direction, les oreilles en avant.
Est ce que son dessin lui disait quelque chose ? Ressemblait à une maladie qu'elle avait déjà vu ?
Il attend.. attend la reponse.

Tu veux savoir comment aider une de tes amies malade ? On peut chercher, à la bibliothèque.

le loup blanc cille, venant doucement hocher du museau pour confirmer. Elle ne connaissait pas cette maladie là, mais elle pouvait l'aider.
à deux ils iraient deux fois plus vite c'était sur !

Surtout qu'avec son mal de crâne sous-jacent il se sentait un peu plus lent.
Surement pas aussi lent que la solitaire bizarre cela dit. Il grimace, les joues légèrement rouge en repensant à elle.
Elle pour le coup, elle devait vraaaaiment avoir mal à la tête alors c'était cruel de ne pas l'aider. Mais il espérait - un peu -qu'elle viendrait pas le toucher et le lécher partout comme la dernière fois si ils se revoyaient.
c'était heu.. trop bizarre et il était pas sur d'aimer ça hm..

Son regard cela dit quitte sa rêverie pour essayer de se re-focus sur maman. Oui, se concentrer sur une chose à la fois- c'était bien mieux.

Maman semble comprendre. Elle finit par se relever et s'exclamer:

“Allons-y alors !”

Polaris lui sourit avant de se redresser doucement. Il avance hors de la tanière, percuté par le froid dehors- pourtant il sentait encore sa tête - toute chaude. Et ses pattes aussi. Depuis quand étaient elles si lourdes ?
Soufflant par le museau il secoue la tête avant de suivre la petite silhouette blanche sautillante.
Bientôt, mère et fils finissent par arriver à la bibliothèque.
Encore plus rapidement, il trouvèrent le rayon dédié aux maladies.

“Pu ... Stulations. Mmh ! Ca ressemblait à ça ?”

Maman sort de la bibliothèque un livre pour lui montrer des images. le plus si petit loup penche alors le museau pour regarder les dessin de plaies. Rouges et blanche au bout.
beurk beurk.
Doucement Polaris fait un nom de la tête. Il vient à son tour chercher dans les rayonnages.
Ce qu'elle avait ça ressemblait heu.. a une sorte de cicatrice ? une peau sans poil, une brulure mais en marron et avec un oeil trop bizarre.
Concentré à la tâche, il sort plusieurs livre, cherche pendant de longues minutes parmi les images.
ce qui y ressemble le plus porte un nom étrange: nécrose.
Quand il finit par trouver, il penche la tête et montre à maman en tapotant le livre avant de sortir son carnet un crayon.
Il se concentre alors à s'appliquer une nouvelle fois à dessiner l'étrange solitaire- enfin, le coté "nécrosé" de son corps- celui avec l'oeil sur l'épaule.
Il y avait pas de dessin avec un oeil dans le livre- mais lui, il était sur d'en avoir vu un.

Quand Polaris lui montre le livre, maman semble rapidement décontenancé. Ses oreilles se couche et elle lève doucement le museau dans sa direction.

Tu es sûr ? La nécrose, c'est du tissu mort. Souvent, le tissu mort infecte le reste et ensuite ... Et bien tout meurt.

Les oreilles de Polaris restent droitent pourtant son regard se fronce comme si il semblait se perdre dans ses pensées. Du tissu..mort ? Pourtant elle était en vie cette solitaire.
C'est vrai qu'elle marchait pas très droit et sentait pas bon non plus.. Mais il aurait pas pu dire qu'elle était.. mourrante ?
...
Cette pensée le perturbe un peu - Pour lui qui n'avait jamais vraiment été confronté à la mort -autre que celle des personnes trop âgé- Ca lui faisait bizarre.
la voix de maman le sort de ses rêveries.

Il était nécrosé, aussi, l'oeil ?

Il cille un peu et lui répond d'un non du museau.
Il vient fouiner dans ses souvenir - Puis vient attraper un crayon bleu. Il sait plus trop à quoi ça ressemblait mais il y avait des sortes de dessin autour de l'œil alors il fait une sorte de gribouillis sans aucun sens pour montrer à maman.
Ses oreilles se baissent alors qu'il cherche dans ses pensées. La louve blanche avec des dents bizarres avait dit quelque chose aussi.
Un morbi ? Non. Un morbus. Elle avait dit qu'il avait pas de Morbus.
C'était peut être ça le nom de la maladie !
Il note ce mot "Morbus" et regarde maman avec un peu d'espoir.
Elle savait ce qu'était la nécrose. Peut être qu'elle savait comment on soignait un morbus ? -quoi que ça puisse être.

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