Elle n'avait jamais compris, pourquoi elle et Lagherta étaient sans mère.
Et quand elle avait essayer de poser la question au paternel, ce dernier restait muet comme une carpe.
Comme si cette question et ce sujet, n'avait lieu d'être autour du dîner le soir.
Alors la louve reptilienne avait en quelque sorte laisser tomber d'en parler, sans jamais pour autant, arrêter d'y penser à chaque jour que les Dieux faisait.
Et l'idée que son père ait fait quelque chose de mal avait germer dans son esprit.
Leur mère n'était probablement pas une Etelkru.
Verose savait déjà que les gens d'ici avaient comme, du mal à procréée entre eux, où alors quand ça ce faisait l'un des deux n'hésitait pas à aller voir ailleurs.
Et c'est sans doute ce que sont père avait fait ;
Il c'était amusé ailleurs. Faisant des choses impie.Alors probablement qu'il à rencontrer leurs mère biologique en dehors des terres.
La charmer comme le serpent, pour mieux la conduire dans sa couche.
Rien que d'y penser, un frisson de dégoût parcouru son corps de long en large.
Les pas de la louve reptilienne se posaient sur les nombreuses feuilles craquante de la Sylve, et quand, elle entendait se doux craquement son esprit se plonge de nouveau dans ses pensées.
Ainsi donc, était-il probablement rester avec cette louve solitaire.
Tandis que celle qui l'aimait patientait bien sagement, attendant que le dit compagnon revienne.
Sauf qu'au vu de téléphone arabe qu'était la meute, aucune action ne restait secrète définitivement et sans doute, cela à finit par se savoir.
Et à quel point !
Papa, tu as été très vilain garçon.
Je connais les déplacement que tu as fait pendant cette saison, ou Gertha et moi n'étions pas encore née.
Vraiment un très vilain garçon.Et normalement, aucun Etelkru ne devait s'accoupler avec des solitaires.
Parce qu'ils les détestaient. Non ?
Mais comment détester si au final, la plupart d'entre eux allaient voir ailleurs ?
Allaient courtiser d'autres mâles et femelles venues d'ailleurs ?
Alors, à quoi servais exactement la « Haine des Solitaires » Mmh ?
Certainement pour avoir encore quelque chose à maudire, pour garder les forces intacte ?
Oui, mais à la longue, ne serait-ce pas épuisant ?
Le faite étant, que Verose n'était pas vraiment sûr que sa mère soit réellement partis.
Son père avait tendance à disparaître assez souvent, et parfois les laissait seules dans la tanière.
Certainement qu'il s'éclatait à prendre du bon temps ? Oui c'est ça.Au final, tout ça n'affectait pas vraiment la louve reptilienne.
Elle avait grandit dans un monde, où elle n'avait ni mère et quasiment pas de père.
Pour autant, elle ne lui en voulait pas tellement de cette pseudo abandon.
Mais dans l'esprit, il est sûr qu'elle ne serait jamais comme lui si un jour elle avait des enfants.
Ne les laisserait pas seuls, comme elle et sa sœur aient pût l'être.
Dans la nuit, les arbres avaient ces silhouettes sinistre.
Et la lueur constante de sa flamme d'un bleu cyan n'arrangeait rien à la situation, dessinant d'étrange forme sur les ramures sombres.
Pour un peu, elle serait presque entrain de voir des formes, comme des loups qui dansaient.
Une dense sensuelle, mais dégageait quelque chose de plus
érotique.Et si elle avait le mot, aurait dit : Strip-tease.
Elle s'arrête pour voir ces ombres danser sous la lueur de sa flamme.
Voit les corps se déhanché, se tordre dans tout les sens, comme incitant à ce qu'elle rejoigne la danse elle aussi.
Mais qu'est-ce qu'était l'érotisme ?
Qu'est-ce qu'était la sensualité ?
Qu'est-ce qu'était la tromperie ?
Pour ces questions là, Verose était dans le trou noir le plus complet.
Et au fond, essayait de répondre à ces questions, ses prunelles rosâtre fixant toujours les ombres danser.
À force, elle avait finit par croire.
Voir, que l'une d'entre elle avait plonger son regard enjôleur sur elle.
Semblait remuer les babines, lui disant quelque chose qu'elle n'arrivait pas à déchiffrer correctement.
C'en était assez. Louve bleue secoue sa tête, pour mieux reprendre sa marche au sein de la Sylve.
Elle savait cette endroit étrange, comme elle avait déjà pût entendre des autres.
Alors se disait que c'était l'ambiance de l'endroit qui lui donnait ces visions étrange, plutôt que de ces propres pensées refoulées.
Elle n'était pas louve qui s'ouvre facilement.
Était comme l'huître qui gardait farouchement sa perle rare.
Soupire, laissant échapper une buée blanchâtre de sa gueule entre ouverte.
Continuant à s'enfoncer un peu plus dans les bois.
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