(Fini <3) Purkwa moi ? (Défi Rp & Pv)

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Purkwa moi ? (Défi Rp & Pv)

<< Solitude,
Crois tu que le vie est utile ? >>

<< Solitude,
Tu es un mot complexe. >>

<< J’ai décidée,
De me reniée.
Au lieu d’obtempérée,
J’ai optée,
Optée contre mon passé. >>

<< Pourquoi ?
Car. >>

<< J’ai choisie
Ma vie. >>

<< Guérisseuse
Maintenant je suis.
Ténébreuses,
Je me fuis. >>

<< Une louve de blanc vêtu, griffé d’or sauvage, roulement de reins, défoulement dans l’air, cheveux tourbillonnants, gouttelettes de sueurs perlant et giclant dans l’air gelé de l’hivers. Un jour froid parmi le froid. >>

Oh seigneurs, se défoulée faisait tellement de bien, c’était le cas de Maybe, qui en se jours de soleil bleu, soit de froid intense, avait fini par explosée, non pas de tristesse, mais de hyper activité, cette musique rock’n’roll la défoulait, elle bruissant dans ses oreilles, la faisant explosée physiquement, elle en avait marre d’être calme et posée, voilà, sa y est, la voilà qui change de caractère, devenant inqualifiable, c’était grisant, le froid ne faisait que l’excitée un peut plus… Vraiment grisant…

Les heures passèrent, les rayons congelés du soleil bleu et transi de froid luisant doucement, le soleil se plaçant au milieu des cieux, il devait être midi, toujours pleine d’énergie quoique un peut calmée, la louve Punk Wolfienne s’élança dans les plaines, les minutes défilèrent, que dire de plus ? Elle arriva au cimetière d’un tro calme, redevenant la Maybe à l’aura étrange, aux mystères si profonds, qu’ils formaient de la buée autours d’elle, comment imaginée un instant, qu’elle était guérisseuse ? Nul, Zero, Impossible, voilà se que la plupart de tout les loups se disaient en la voyant, et pourtant, sa voie divine et son intelligence médicinale avaient prouvées plus d’une fois qu’elle était digne de ses deux rang, Chanteresse’ et Guérisseuse, mais au fond, au plus profond d’elle, une voie se moquait, elle soignait les blessures morales comme physique, alors qu’elle même en était recouverte, elle annulait les malédictions, alors qu’elle en était éprise. Quel tragédie pour certain, et toutes ses rumeurs, ca foutait la nausée.

D’un pas si léger elle marchât, alors que quiconque, pensant à cela, se serait enfouit sous terre, auraient craqués, mais cette louve ailée portait son nom, un nom basé sur l’hésitation, et pourtant, elle était encrée dans la réalité si durement.

J’avançais dans le nul part, repensant à tout ses morts, moi aussi je m’étais battu contre ses seigneurs, et pourtant j’étais là, bien vivante, j’aurais du mourir à leurs place << Crotte >> C’était mon rang, et pourtant, il y avait ici tant de mort, elle aurait dut être à leurs places, elle n’avait put les sauvée, elle ne savait si elle, Maybe, devait se mettre en rogne, ou avoir les yeux humides… En tant que rebelle et non en tant que Guérisseuse, elle opta pour le respect, et baissant les oreilles en avant, elle fit une prière, marmonnant d’humbles paroles. Le temps passa, et Maybe quitta la tombe intitulée < Cheyenne >, allant vers les bosquets…

C’est alors qu’elle l’entendit… Ce bruissement ?

*A moins que ce soit le compte a rebours de ma vie...*

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J'espere que ça saura t'inspirer. Etqu'il n'est pas trop 'barbant' >.>

Elle savait qu’elle aurait du partir. Et pourtant Black avait tenu bon, luttant pour sa survie, autant que pour celle de White. Les coups n’avaient pas été échangés très longtemps. Le sang en revanche coulait depuis que sa patte avait été taillée par des cros puissants. Ouverte sur pratiquement toute la longueur. Les muscles avaient-ils été touchés? Combien de temps encore avant que son sang ne coagule? Combien de temps tiendrait-elle avant de sombrer dans un sommeil profond? La louve ailée ne pouvait plus se permettre d’accélérer la perte du liquide rougeâtre.

Le cimetière. Coin tranquille ou nul ne viendrait la déranger. White était à l’abri, Black n’avait plus qu’à se concentrer sur le mal qui s’infusait doucement vers son crâne, pale reflet de la douleur qui lui ceignait la patte. Immobile. La brise vient lui ébouriffer sa queue, fait onduler son pelage bleuté. Les yeux fermé, la louve affaiblie se concentre sur la chaleur qui pulse au niveau de la déchirure. Ne pas ouvrir la gueule, garder sa respiration régulière et serrer les dents.

Une heure s’écoule. Elle est toujours là, immobile telle une state, à la différence qu’elle respire. Difficilement, mais toujours, l’oxygène lui étreint les poumons, la poussant à se battre. Encore. Combien de fois White l’avait-elle mise dans des situations critiques? Inay ne pouvait s’en souvenir, le nombre était trop important. Une rencontre, un combat, un mort. Encore et toujours. Répétition éternel. C’était le chemin de Black et de White: condamnées à repasser la même scène avec des personnages différents. Respire, ne t’endors pas.

'Le froid commence à raffermir son étreinte mortelle sur toi. Bats-toi. Prouve que tu es plus forte qu’elle, que la douce caresse qu’elle infuse à ton cœur ne vaut pas le prix qu’elle demande en échange. Ne l’oublie pas ELLE. Si tu sombres Black, ton autre moitié sombrera avec toi. Et tu le refuses, sinon tu n’en serais pas arrivée à cette extrémité. Tu mérites peut-être de mourir, mais White doit continuer à courir, à sourire bêtement et à dire des inepties. Tu n’as pas le droit de la priver de vivre.
Un bruit. Est-ce ton imagination? Ou le bruit que répercute le cimetière est l’appel pour que la mort vienne te chercher? Ouvre les yeux. Observe et choisit ta voie.'

La louve bleutée n’arrive plus à se remettre debout. Elle se contente de tourner la tête vers la source du bruit. Menace? Qu’en savait-elle? Rien. Les grognements sortent de sa gorge douloureuse en continu. La louve ne s’entend pas. Son œil parme papillonne, incapable de garder une vision claire et nette. Des taches noires viennent parsemer son champ de visions. Tache blanches au milieux des noires. Elle s’avance vers la louve blessée. Qu’est-elle? Un age venu l’aider? Non, ils n’existaient pas, autrement ils seraient venus bien plut tôt. Alors quoi? Nouveau grognement. Plus grave, plus profond. Sa tête était lourde, mais cesser le combat revenait à mourir. Nouvelle pensée à White.

L’inconnue était là, juste à coté d’elle. Et Inay ne pouvait rien faire…

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<< Une louvé était la sa blancheur se fondant dans les quelques parcelles de neige bordant les lieux, son corps semblait tremblé quelque peut, des questions l’envahissaient, elle avançait lentement, à l’orée d’un buisson, ses pas quelques peux ‘flottants’, ils effleuraient à peines le sol. Le bruissement retentit, nos, la respiration profonde, la louve s’approcha, ses ailes frémissants nerveusement… >>

Je m’approchais peut à peut, quelque peut stressée, mais déterminée, ses bruits, cette respiration profonde et nerveuse, tout cela se trouvait derrière se mur de fougère ?

Maybe approchait des bruissons avec nervosité, ses pattes frissonnaient un peu plus fort dès qu’elles avançaient un peut plus de leurs buts. Cela était étrange, les bruissements n’avaient étés que souffles rauques, et quand Maybe franchit le buisson de houx, elle y découvrit une chose qui la stupéfia au plus haut point, une magnifique louve bleu à la crinière azur et aux ailes laiteuses se trouvait la, sa queue remuant à peine, son regard à demi clos, laissant percevoir des yeux mauves et intelligents, et pourtant, Maybe sentait quelque chose, elle finit par comprendre, son pouvoir lui murmurant les mots, deux âmes habitant un même corps, si l’une mourait l’autre la suivait dans son chemin vers les ténèbres. C’était bien triste. Passons, notre louve blanche ne pensait pas vraiment à cela, son regard c’était arrêter sur le membre antérieur de l’animal, il était béant de sang, comment cela était-il arriver ? La blessure était profonde, et si dans se froid mordant, la bestiole perdait conscience, elle risquait d’y restée, et << Crotte >>, en tant que guérisseuse, Maybe posa sa patte au pouls de l’inconnue, il semblait si faible ; et comme une réponse, cette dernière ferma les yeux, et pourtant, Maybe qui la sentait peut à peut sombrer, comprenait sa haine, il y avait la une louve intruse, elle, et la louve bleu, ne pouvait rien faire, se contentant de laisser échapper des grognements, mais peut à peut, ils se taisaient, ils mouraient dans sa gorge, et Maybe, impuissante hésita à la laisser partir, c’est la que son esprit, ou plutôt, cette voie relier à son passé s’éveilla en elle, son frère ? Sa mère ou son père ? Impossible à dire…

<< Merde, tu fais quoi là May ? Tu la laisses crevée ? Chaque personne à le droit de vivre p’tain, ressaisis toi bon sang ! T’es guérisseuse, et pourtant, t’assumes même pas… >>

Quel coup dans ma poitrine, cela faisait si mal, si froid, Maybe se perdait peut à peut, devenant comme une machine, elle ne voulait plus souffrir, cela suffisait, elle avait envie de hurler de leurs dire de partir, car cela n’était pas une voie, non, dans son passé sombre, il c’était passé la même chose, tout ses souvenirs, ses voies l’assaillaient, puis elle l’entendit :

<< Maybe, je ne te reconnais pas, qu’es tu vraiment ? >>

<< Une faible ! >>

• Ses deux derniers mots étaient sortit tel de la provocation, du mépris, qui avait dit cela ? Maybe ne s’en souvenait plus vraiment, voguant dans le néant de son corps, elle essayait de reprendre le dessus de son corps, elle essayait de se concentrée, son corps lui, faisait osn boulot, il parcourait le corps de la louve, essayait de comprendre le pourquoi du comment, mais il n’avait pas l’intelligence, peut à peut Maybe tomba dans une rage, elle se mit a hurlée intérieurement, pourquoi toutes ses malédictions ? C’était atroce. Puis dans un élan d’adrénaline, elle reprit le dessus de son corps, il ne lui restait pas une minute à perdre, et dans un bon… Elle abandonna la louve, ne lui laissant qu’un tat de feuille fait très vite pour sa tête. Et un simple mot.

<< Bat toi et attend moi. >>

• Le vent fouettait le visage de la louve blanche, le paysage défilait bien vite, son esprit vagabondait dans ses connaissances médicale, une bonne blessure comme cela… Il fallait bien des pousses de je ne sais quoi pour y guérir, pleins de graines de pavots pour la douleurs, dix, pas plus pas moins, cela risquait de se compliqué sinon. Il fallait une pousse de consoude, pour les tendons, et les os, fractures également. Elles poussaient plus particulièrement dans les fossés humides. De… L’ail ? C’était bon pour purger le sang… La fleur de valériane serait nécessaire peut-être, si la patiente était stressée et énervée, cela servirait à bien la calmée. L’aromathérapie serait aussi très utile, il faudrait de la lavande, des gousses de préférence, puis les mâchés et massée la patiente… Du théier aussi, normalement trouvée dans les endroits chauds et secs, elle tuerait toutes bactéries et les risques d’infections deviendraient minimaux, du miel et des toiles d’araignées pour la baume, empêchant la blessure de s’ouvrir, à changer régulièrement, elle mettrait fin à l’hémorragie. Bref, elle se mit au travail, cherchant pendant une bonne trentaine de minutes ses ingrédients, grâce à ses ailes, tout alla très vite, elles battaient si vite, le temps semblait s’arrêter, déjà, allant dans les fosses humides, elle trouva la plupart de ses ingrédients, puis, allant dans les terrains isolée par la neige envahissante, elle faillit baisser les pattes, que dire ? Elle n’avait pas le temps d’aller chercher tout ca chez elle ? Elle fit donc la pire des choses… Elle pilla une tombe. C’était la tombe qu’elle avait vue, et cette tombe sur la quelle elle c’était recueillît… << Cheyenne. >>. Que dire de plus ? Maybe se sentait atrocement coupable, mais ces voix moqueuses dans sa tête, son manque de temps, elle ne réfléchit pas trop, ne pensant qu’a la vie en danger de sa patiente, vite, attrapant son ballot d’ingrédients, elle sauta les buissons et atterrît aux côtés de la louve, cette dernière semblait être en état de transe, comme si elle était bloquer dans sa traversée du fleuve de la mort. Elle se battait.

• Ce fut long, Maybe commença à mâché la plupart des ingrédients, puis, prenant de force la gueule de sa blessée, elle l’ouvrit et lui enfourna le tout, il y eu un toussotement rauque, comme si elle refusait d’avalée sa, comme si elle n’avait pas compris qu’elle devait se battre, que Maybe essayait du mieux qu’elle pouvait de la soignée… Puis elle l’avala. Quel soulagement, alors Maybe commença son cataplasme ; elle mit d’abord une liasse de mousse des bois, puis les liquides, pour qu’ils ne coulent pas de suite dans la blessure, petit à petit, elle finit sa baume, et enfin, la recouvrit de toile, une bonne dizaine. Et la cerise sur le gâteau. Pour tuée la douleur, elle donna les trois dernière graines de pavots. N’osant pas regardé le visage de la louve bleu marine, elle murmura en sa direction d’une voie emplie de mystère :

« Est-ce que tu vas mieux ? Est tu capable de bougée ta pate ? J’aimerais, pour mieux te soignée, t’emmenée à mon antre. Cela te conviens ? C’est dans le sein de la tribu… »

Au fond… La louve avait-elle seulement le choix ?

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Inay avait l’impression d’être mise à nue. Que l’inconnue décelait des choses qui lui étaient interdites. Pourquoi avait-elle cette sensation? Aucune idée, juste cette désagréable idée qui la forçait à serrer les dents et fermer les yeux. Le contact chaud du canidé la fit tressaillir. Comment osait-il ou elle (Black n’avait pas les moyens de la distinguer clairement) la toucher alors qu’elle était à terre? Lâche.

La décharge. Être chaud contre une peau froide. L’espace autour d’elle diminuait, ses sensations s’éparpillaient. La mort rodait, mais la jeune louve ne pouvait que la regarder du coin de l’œil. Puis la présence inconnue disparue. Tentant faiblement d’ouvrir les yeux pour voir si elle ne se trompait pas, Inay comprit bien vite qu’elle était de nouveau seule. Soulagement.

Que lui avait-on dit? << Bat toi et attend moi. >>. C’état la combientième fois que la jeune louve avait entendu ces mots? Le compte, Inay l’avait perdue il y avait fort longtemps…

Iterminable. L’attente était si longue… Pourquoi son supplice ne prenait-il pas fin? Plus rien, seul son esprit voguer légèrement sur la vague que la mort avait lancée. Son corps n’était plus que membre inerte. Puis un écho vint la déranger une fois de plus.

« Est-ce que tu vas mieux ? Est tu capable de bougée ta patte ? J’aimerais, pour mieux te soignée, t’emmenée à mon antre. Cela te conviens ? C’est dans le sein de la tribu… »

Rêvait-elle? Comment pouvait-elle aller bien? Enfin, au moins sa patte ne la faisait plus souffrir: la louve ailée ne la sentait plus. Faiblement, elle se contenta de murmurer:

« Je n’ai pas de…Tribu. »

Et le sommeil l’emporta. Comateuse, une partie d’elle luttait pour ne pas sombrer totalement dans la toile chaleureuse qu’avait tissé la mort. Elle ne pouvait pas abandonner White…

Désolé, c'est vraiment à chier mais pas la tête à rp =/

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<< La solitude m’a tuée il y a bien longtemps. >>

>> Ai-je vraiment ma place dans ce monde ?

Ou tout simplement… Est-ce que je vous laisse le choix ? <<

<< Je ne crois pas. >>

Le vent soufflait fort en cette fin d’après midi, deux louves se trouvaient là, dans le froid glacial, il mangeait peu à peu leurs membres, les envahissants intérieurement de sa bise… Une des louves, allongée sur le flanc, dans la neige, semblait blessée, l’autre, continuait à changer les toiles antihémorragiques avec une vitesse impressionnante, murmurant quelques mots, sa voix fini par devenir sèche… Et autoritaire.

• Un murmure, voilà ce que j’entendis, je me trouvais là, assez fière de ma baume, et pourtant si triste de l’avoir faite, car elle signifiait toujours que quelqu’un en avait eu besoin. Un blesser. C’est donc à ce moment là que je l’entendis répondre à mon interrogation, ce murmure si délicat, et pourtant, il restait cette birbe de caractère que je voyais peu à peu en elle, c’était rare que ma malédiction ne se déclenche pas quand le croisait les yeux d’une personne…

« Je n’ai pas de…Tribu. »

• Mince, Maybe avait eu chaud pour ce coup là, tribu, qu’elle sotte, et pourtant, une vague de soulagement l’envahit, elle n’avait pas prononcé ces mots depuis trop longtemps, et pourtant, ils évoquaient tant de douleurs, de peines, ils résonnaient avec… Passé. Pas de temps à perdre tout autre fois, elle devait bien être Blessed, sinon elle ne se trouverait pas là, à moins qu’elle soit solitaire… Déjà. Un petit pincement au cœur, une pensée lui traversa l’esprit… Comme moi avant. Puis une détermination sèche l’envahit soudain, et crotte, chaque vie étaient précieuses, qu’elle soit Blessed ou pas, elle l’emmènerait dans sa petite communauté. Prononçant dit donc de sa voiex douce et pourtant ferme :

« Solitaire ou Blessed, tu dois venir là-bas, tu ne dois plus trop sentir ta patte, le froid et l’antidouleur que je t’ai fait administrer doivent faires effets. Essaye de te relever, ne laisse pas ton autre moitié mourir. Viens, debout, si tu ne te lèves pas, dans un quart d’heure tu seras morte, et je ne laisserais plus personne mourir. »

• Comment savait-elle ? C’était sorti tout seul et crotte, elle croyait ne pas avoir utilisé sa malédiction, et bas pour cette fois, c’était foirée, bref, tournons la page, oublions, ont a rien vus et rien entendus, pas vrais ?
C’est donc comme cela que Maybe tendit son épaule à la louve, attendant sa réaction. Mais elle ne la laisserait pas une fois de plus dans se pétrin.

(Sorry c’est pas très beau. :10: C'est trop chiant, la Georgia rétrécit vachement xD Ne t'aime <3)

Invité

« Solitaire ou Blessed, tu dois venir là-bas, tu ne dois plus trop sentir ta patte, le froid et l’antidouleur que je t’ai fait administrer doivent faires effets. Essaye de te relever, ne laisse pas ton autre moitié mourir. Viens, debout, si tu ne te lèves pas, dans un quart d’heure tu seras morte, et je ne laisserais plus personne mourir. »

Son autre moitié. Black se battrait pour ELLE. Ne pas abandonner, toujours voir au-delà de ce qui s’offrait à sa vue. L’abandon n’était pas dans ses habitudes et ne le deviendrai pas, du moins pas maintenant. Grognant pour elle-même, Inay se força à bouger. Chose compliquée étant donné que tout son corps n’était que glaçon. Il fallait qu’elle reprenne le contrôle.

Tremblements incontrôlables. Inay fermait les yeux, grognait et faisait tout son possible pour bouger. La douleur revint lui lacérer l’esprit. La douleur. C’était sur cela que la louve bleue se concentrait pour rester de ce monde. Elle finit par réussir à se mettre à moitié couché, moitié assise.

Ça faisait mal. Mais tant qu’elle avait mal, Inay savait qu’elle et White vivaient. Elle releva sa tête et regarda l’inconnue dans les yeux. Méfiance était requise, mais si elle ne se laissait pas aider, Black savait qu’elles seraient perdues.

« Il va falloir que tu m’aides, ma patte… Je ne pense pas pouvoir aller très vite non plus… »

Fierté. Elle n’avait même pas bafouillé en prononçant tant de mots d’un coup. Mais peu importait, il fallait qu’elles survivent et la louve aillée savait que les choix qui s’offraient à elles étaient maigres.

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<< Le froid, le vent, la solitude, la douleur. Blesser un proche amadouer un inconnu, la vie n'est à mes yeux... La vie à mes yeux n'est plus un fleuve tranquille ou déchaîné. Elle est inqualifiable... Elle n'est rien. Ou plutôt, elle n'est que le néant total. >>

• Le froid parcourt mon corps, je tremble comme une feuille, je n'y peux rien, tout ce que je sais, ces que mes tremblements ne sont pas externes, ils sont dans mon cœur, ils hurlent de désespoir, car quand je regarde cette louve, dans ses yeux, je ne vois plus son passé, je ne vois pas non plus le mien, je vois pire, je vois Le passé commun des loups de PW, leurs hurlements de peine et de douleur, je ressent le froid qui les envahit avant la mort, je perçois les étincelles de leurs pupilles, leurs douleurs et leurs solitudes, des millier de sentiments se déchainent dans leurs yeux de multiples couleurs, ils ne savent donc pas que les yeux sont la porte menant à l’âme ? Je souffre tellement, fermer votre âme, rendez-la inaccessible, je veux décéder, ne plus voir leurs sentiments, c’est trop douloureux, à chaque fois c’est pareil, et cette voie qu’y m’hurle en moi :

« Tu aurais du, tu aurais pus les soigner, mourir à leurs places. »

• Je m’entends hurler dans ce cimetière, toute haine et désespoir, cette louve qui essaye de se lever doit me prendre pour folle :

« Et j’aurais du être à leurs place, décéder à leurs places. »

• Quand j’entends soudain cette louve bleue me dire de l’aider, je reprends esprit, je n’y arriverais pas, elle non plus, le chemin était peut-être long, peut-être court, mais rien qu’en fixant son visage, je ressentais cette impression, comme si je savais pertinemment qu’elle n’y arriverais pas, il ne me restais qu’une seule solution, voler, en y repensant mes ailes faisaient bien le double voir le triple de ma taille déjà robuste, je pourrais y arriver, cette envie d’essayer me tuais à petit feu, je s’entais que je devais le faire, cela m’appelais, et je n’y pouvais rien, je le voyais, et l’empoignant par les aisselles, m’accrochant à ça peau du coup je battais des ailes, me concentrant un maximum, le temps sembla passé au ralentit, et peu à peu, je sentis enfin l’air fouetter mon visage, cela faisait combien de temps ? Je ne saurais vous le dire, mais comme un déclic je me sentis forte, cette louve allait guérir, et dans les jours à suivre, elle renaîtrait de sa blessure dix fois plus robuste. Comme un incendie, comme mon âme…

~ Fin

Je suis trop contente *O* Premier Rp que j'arrive à finir avec toi ma belle <3

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