Scum of love | Vekah

[00/10/17] #003366

Il respirait l'odeur salée et piquante de l'eau de mer. Observait les bourrasques du vent qui amenaient à lui des éclats d'écumes roulantes sur le sable. Pareils à des nuages, il visualisait cette texture si semblable à celle de la mousse affriolantes dans les sous bois, d'une espèce quelque peut plus albinos cependant. Il appréciait la sensation de ses imposantes pattes qui s'enfonçaient au contact du sol mouvant, tout comme sur un nuage il avait l'impression de marcher au delà du sol. Son museau rougeâtre frémissait aux attaques des effluves marines. Ses oreilles aux pourtours de sang vibraient sous les asseaux du fond sonore aquatique, les vagues venaient s'échouer sur les rochers dans un fracas semblable à ceux des éclaires pendant les nuits d'orage. Et la plainte des mouettes qui s'en donnaient à cœur joie, se disputant carcasses et autres squelettes de poissons ou de fruits de mer. Un véritable festin. Le grand loup de suie se surprit même à prier pour qu'elles viennent à s'étouffer avec une arrête. Il eut envie de leur courir après, afin d'avoir pour seul plaisir et satisfaction de les voire se disperser de leurs butins tout en s'égosillant d'avantage. Mais il ne fit rien, il continuait d'observer. Après tout il n'avait plus six mois, il lui fallait s'admettre qu'il vieillissait et n'était plus fait pour ce genre de choses.. Oh il était en pleine forme, ça oui. Mais l'esprit n'y était plus. Aarod n'avait - d'après ses souvenirs - jamais été l'aventureux petit louveteau qu'il aurait du être. La soif de réussir à tout pris avait été plus grande que le reste, et sois dit en passant plus vitale que la découverte de nouveaux horizons. Il avait tout donné à cette meute, et tout cela pour le rachat de fautes qui n'étaient pas les siennes. Diable, que la vie peut-être cruelle.
Mais mastodonte qu'il était s'en est pourtant sortit, comparé à d'autres. Il eut une pensée pour ses frères qu'il ne connaîtrait jamais. Puis, plus rien. Le fracas des vagues et de cet immensité bleuté revint à la charge sur ses souvenirs, le combat fut gagner d'avance par rapport à ceux-ci. Le passé appartenait au passé, il était inutile de se morfondre pour la énième fois. Aarod préférait dorénavant regarder plus avant. Sa situation avait bien évolué depuis. De simple Soldat il était passé à chef de Rang, puis fut ensuite nominé Bêta, il avait trouvé sa voix et, qui plus est, il avait trouvé l'amour. Le gros balourd à l'humeur platonique partageait dorénavant un sentiment bien plus profond que le reste. Plus important encore que ces mouettes qui braillaient à n'en plus finir, plus important encore que ce fameux bleu qui domptais les alentours, plus impressionnant encore que ces vagues rocambolesques et les algues gélatineuses qui dansaient en tourbillonnant dans cette eau salé infect. Mieux encore que les délicieux poissons stagnants dans les criques en compagnie de quelques araignées de mer et autres anémones non-comestibles.
Cependant ce lieu ne pouvait que lui inspirer un souvenir, un seul qui le fessait souvent sourire lorsqu'il y repensait. Cette plage n'était autre que le premier lieu ou il avait inopinément croisé le futur amour de sa vie.

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a nuit fut clame, aucun problème n'était survenu. Personne n'avait eu besoin de soin, pas de petit loup faisant un cauchemar et personne n'avait ronfler plus fort que le ronronnement général. Une bonne nuit de sommeil réparateur s'était alors offert à la Bêta, belle récompense d'un dur labeur. La belle louve crème dormait profondément, blotti comme le pelage sombre de son chère et tendre. Ainsi placer la fourrure clair et sombre formaient le Yin et le Yang, la force de l'intellect et la force du corps était réuni. Car Aarod et Hylda formait à eu seul un couple équilibré comblant chacun les lacunes de l'autre. Tout aller bien entre eux deux, mais pourtant, un besoin ou plutôt un maque étreignait Hylda...

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ne lueur éclaira ses paupières encore closent, le soleil s'était levé et un nouveau jour débuté. La louve émit un petit râle de mécontentement. Elle ne voulait pas se lever et restait égoïstement dans cette chaleur bienveillante. La louve resta un peut plus longtemps que d’habitude, elle aimait être enfouit dans le poils rude d'Aarod. Ses moments où ils dormaient l'un contre l'autre avait beaucoup de valeur pour elle. Hylda n'avait pas besoin de grandes déclarations mais juste besoin de petites attentions. Le femelle crème décida enfin à se lever, un nouveau grognement s'étouffa cette fois dans sa gorge. C'était dur de se lever avec des membres encore engourdi. La Bêta étira ses pattes avant de jeter un regard endormi à l'assemblée encore dormante. La grotte était embaumer d'une odeur sucrée et féminine, bien que moindre, les louves de la meutes étaient en chaleurs. Le fumé était moins fort car les chaleurs approcher de la fin. Hylda était étonnée de voir que leurs cycles hormonales étaient en marche malgré les conditions climatique encore médiocre. Dame nature faisait bien se qu'elle voulait après tout. Avant de partir vaquait à ses occupations matinal Hylda donna un petit coup de langue aimant sur le haut de la tête d'Aarod et lui glissa un "Je t'aime" audible uniquement par lui.

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e soleil réfléchissant sur la neige l'éblouit comme chaque matin en sortant du Creux aux Loups. Hylda s’apprêtait à sortir, comme d’habitude elle surveillait le stock de plantes, c'était toilettée et se matin là avait manger. Le contacte de ses pattes sur la neige était devenue une habitude, seul le vent gelé là gênait encore. La louve passa devant le veilleur de nuit et s’arrêta pour lui demander si tout c'était bien passer. Rien de particulariser ne c'était passer durant la nuit, elle le salua et s'en alla. Aujourd'hui, la louve avait décider de prendre un peut de temps pour elle. Un jour de repos si l'on veut, du moins pas de chasse aux plantes ou autres activités non urgentes. Hylda avait prévue de se balader et de changeait d'air. Ses pattes la menèrent ici et là, le Nasrin puis la Forêt Pluviale pour finir à la Criques du Soleil.

L

'air marin s'engouffra en elle comme une brise libératrice. Le sel lui piquait les narines, mais en un sens l'odeur lui plaisait. Il n'y avait pas à dire la mer la fascinait toujours autant. Son regard vert et bleu se mêlait aux algues et à l'eau. Elle s’arrêta un instant pour observer les mouettes se battant pour un bout de poisson avarier. Cela lui rappelait un peu son espèce en période de disette. La femelle continua son chemin, il y avait bien plus intéressant que de regarder ses pathétique oiseaux. L'eau salée lui lapait les pattes et le sable s'engouffrait entre ses doigts. Une sensations des plus agréable, bien que l'eau était froide. De plus le liquide salin avait des vertus thérapeutique, il pouvait soulager de l’arrose ou tout autres problèmes articulaires. Hylda se sentait bien et son esprit vagabondait sur chaque sursaut de la mer. Des vieux souvenir allaient et venaient, mais celui qui resterait à jamais dans sa mémoire était le jour où elle avait rencontrée le grand Soldat anthracite alors qu'elle n'avait qu'à peine un an. Elle n'avait pas était impressionner par le grand loup et déjà un certain lien les unissaient. Maintenant ils formaient un couple uni et sain.

[00/10/17] #003366

C'était tout de même une belle journée, malgré le froid qui régnait toujours les nuits étaient plus paisibles et quelques peu moins contraignantes, mais la chaleur des corps fessaient toujours plaisir autour de sois. Il se rappela son réveil ce matin, de cette douce silhouette sculptée dans la pénombre qui sommeillait à ses côtés, celle contre qui il était doucement blottis, à attendre que l'aube pointe enfin. Mais se fut sa compagne la plus rapide et la plus matinale cette fois-ci, il la sentie se détacher de lui et de son pelage fournis en douceur, quoi qu'un peu insistante aussi lors d'une éteinte, le réveil devait-être difficile, il s'était mis à grommeler gentiment à demie endormis. Il aimait savoir quand elle se levait, bien que ce ne sois pas tout à fait agréable que de se retrouver seul en plein milieu d'un tas de roches. Elle lui susurra un je t'aime qui le fit doucement sourire, elle avait toujours de mignonnes petites attentions au réveil, ce qui n'était pas pour lui déplaire... Puis le froid et le vide était revenu s'installer contre lui. Mais il n'avait pas tardé à suivre sa compagne et avait pointé le bout de son nez au dehors, avant de s'engager à aller faire une ronde de routine, celle-ci ne devait durée qu'un début de mâtiné.
Et il avait donc atterris ici, au départ sans trop savoir comment, mais les choses n'arrivait jamais par hasard. Et au loin une ombre lupine et bien connue du grand loup vint se profiler à l'horizon, l'odeur ne trompait pas non plus, sa chère et tendre moitié était elle aussi sur ce lieu si mémorable. Il se mi sympathiquement en route vers elle et signala sa présence par un aboiement quelque peu démonstratif, il était content, et ça se voyait. Aarod arriva en trottinant au chevet de la louve au pelage crème, en plus d'un sourire qui s’efforçait de faire apparaître toute sa dentition canine -digne d'une pub pour dentifrice- le mastodonte colla affectueusement sa tête contre celle de sa congénère, agrémenté d'une lèche à l'oreille, comme il aimait si bien lui faire. Il y avait toujours eu cette proximité là chez eux, depuis toujours, mais le faire en tant que couple.. Ces simples gestes changeaient tout. Et ce contact était très important pour le mâle, bien qu'il soit trop peu souvent expressif, cela lui mettait du baume au cœur que de pouvoir être aussi attentif envers une autre personne. Enfin il fini par s’asseoir à côté d'elle, il sentait le sable glacé et humide sous son postérieur en ravalant un frisson, l'écume des vagues venait lui lécher pattes et coussinets, bien qu'elle était plus que fraîche, c'était on ne peu plus agréable que de se les soulager avec cette eau salé. Mais il ne s'était pas pour autant empêché de continuer à la fixer. Puis, gentiment et espiègle, il lui glissa :

» Petite lueur de nostalgie et séance de pèlerinage au programme très chère ?

Il aimait la taquiner, comme à son habitude, on ne le changerait pas. Et certainement qu'elle comprendrait.

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e petites vagues lui fouettaient les pattes, maintenant l'eau n'était plus froide. Son corps s'était habituer à cette eau gelée. Le soleil lui réchauffait le reste du corps à en oublier que l'hiver était encre présent. Le bruyant vacarme des mouette lui était devenue sourd. Hylda s'était immobiliser sur la rive, debout, regardant l'horizon infini d'un regard absent. La cinématique de cette fameuse journée tournait encore dans sa tête. Tout lui revenait, les bruits comme les odeurs. Elle avait aimée cette journée et tout les autres moments qu'elle avait passer avec lui. En qu'elle que sorte son esprit faisait le bilan. Oui elle était heureuse, grâce à Aarod. Le grand mâle anthracite ne l'avait jusqu’alors jamais déçue ou contrariée. On pouvait dire de leurs relation qu'elle était parfaite, ou du moins sans problème. Peut être que même certains en étaient jaloux, qui sais? Qu'un porte les rabat-joies et les envieux, Hylda était bien avec lui, heureuse et comblé.

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n aboiement chaleureux viens alors troubler ses rêveries, tel un caillou qu'on lance dans un étang calme. Involontairement son cerveau grogna de perdre sa réflexion et sa tranquillité par la même occasion. Le loup qui s'était annoncer avait intérêt à avoir une bonne raison de venir la déranger. Machinalement la louve crème tourna la tête vers la provenance du bruit. Qu'elle ne fut pas sa surprise de voir Aarod accourir vers elle. Tout de suite l'amertume qu'elle pouvait avoir s’évanouit comme un château de carte sur le quel on venais de souffler. Elle fût surprise de le voir et surtout étonner de ne pas l'avoir senti plutôt. Il trottina vers elle tout sourire et doucement pausa sa tête contre la sienne. Hylda ferma les yeux à se contacte, c'était si bon, elle était bien. Une petite lèche à oreille lui fut apporter délicatement. Une douce chatouille là parcourue de l’oreille à la colonne vertébrale. Puis le mâle sombre se décrocha d'elle pour s'assoir sur le sable humide tout en la fixant. Hylda avait toujours se sourire nier quand elle était avec lui, un sourire heureux plutôt? La femelle ne pu s’empêchait de s'assoir près de son conjoins, pelage contre pelage. C'était tellement irrésistible, impossible de résister au faite de ne pas le toucher. Sa chaleur aimant irradiait, lui réchauffant tout le corps. Son nez se fourra dans la fourrure jais pour humait le doux parfum de son cher et tendre.

» Petite lueur de nostalgie et séance de pèlerinage au programme très chère ?

L

ui lançât-il d'un ton amusé et doux. La Bêta sorti son museau du pelage sombre. Un petit sourire malin se dessina sur ses lèvres:

"Oui, petit moment de nostalgie. J'aime beaucoup cet endroit, les vieux souvenirs y refonds surface. Je te retourne la question, tu es venu faire ton pèlerinage toi aussi?"

C

ela n'était qu'une pure coïncidence si les deux loups c'étaient trouver, ici ou il y a plusieurs années. Pourquoi se jour? Pourquoi se moment? C'est vrai, à une heure, voir moins, près il ne se serai jamais trouver. Le destin fais ci bien les choses, du moins pour eux. Hylda en avait conscience, elle avait de la chance. Une nouvelle fois elle s'engouffra dans le pelage du mâle en attendant sa réponse.

Sujet: Re: Scum of love | Vekah Dim 25 Oct 2015 - 22:53

{J’abandonne le rp. Merci d'archiver }

» a brighter love . pv noé
» 🍃 Piquante Ascendance | Vekah
» In the name of love | Ft. Thyara
» Love me again — Teddy
» Used to love | Pepper