* Wild running . Thought swindle / LIBRE

Invité

▀▄▀▄▀▄▀▄▀

* Wild running . Thought swindle / LIBRE
La nuit est mon royaume

▀▄▀▄▀▄▀▄▀

Une demi lune luisait sur les blocs de granit lisse , qu’elle teintait d’argent . Seul le doux clapotis des eaux sombres de la rivière et le bruissement des feuilles d’arbre de la foret proche venait rompre le silence . Le ciel était d’un bleu virant au noir , piqueté de larmes étincelantes que l’on appelait étoiles . Un vent frais et tiède parcourait le paysage , glissant sur l’herbe comme un fantôme , laissant derrière lui une brume douceâtre et peu opaque .

x. Il faisait très sombre . Piix vadrouillait une fois de plus dans la pénombre des sous bois , cette portion de territoire qu’elle pouvait se vanter de connaître comme sa poche . Les yeux mis clos , son corps fin et aussi souple que celui d’un chat se glissait entre les troncs , sautait par dessus les bosquets de ronces et les flaques de boue , souvenir de la dernière pluie , du dernier orage . Pourvus d’épais coussinets d’un rose délavé , les pattes puissantes mais fines ne faisaient aucun bruit , évitant avec agilité les branches qui auraient craqué , les épines qui l’auraient blessé . Sa longue queue fournie bougeait a un rythme lent , frôlant ses flancs avec une régularité de métronome , rythmant le temps , les secondes , la vie elle même . Son poitrail étroit chassait impatiemment les hautes herbes , qui parfois lui cachaient la vue , les écartant de droite et de gauche en une rangée ordonnée . Aussi sinueuse qu’un serpent , sa colonne vertébrale se tordait en tous sens , permettant a la noiraude de faire les demi cercles les plus serrés et rapide possible . En prolongement de son dos , sa tête pendait , a mi hauteur , laissant ainsi laisser son nez fin sur l’herbe humide de rosée , la laissant capter les effluves alléchantes du gibier passé quelques minutes plus tôt .

x. Pixy sentait approcher quelque chose . Ses paupières s’ouvrirent , dévoilant de grands yeux cacao piquetés de points dorés et argentés , et elle parcourut du regard les broussailles touffues qui l’entouraient de toute part . Elle savait vaguement ou elle se trouvait , mais ne cherchait pas a analyser la situation , les odeurs alléchantes la poussant plus loin encore . Les gargouillement incessants de son ventre lui rappelaient impitoyablement qu’elle avait faim , sa dernière chasse remontant a quelques jours déjà . Les effluves corsés de la foret lui chatouillaient les narines , tandis qu’aux relents moisis de l’humus se mêlait l’odeur d’une petite bête poilue . Soudain , un éclat roux passa en trombe , a sa hauteur . L’inconscient … False s’immobilisa , les oreilles aux aguets . Sa proie se cachait tout près , dans un amas de feuilles , a moins de quelques pas . Par habitude , elle savait que c’était un lapin . L’odeur de sa peur inhibait l’air comme si elle pouvait le sentir . Sa faim allait bientôt être satisfaite . Elle plaqua son corps fin contre le sol sec , tendant les muscles de ses postérieurs , prête a passer a l’attaque . Le vent était avec elle , empêchant le lapin de sentir sa présence . Ne prenant pas le temps de vérifier une dernière fois ou se trouvait le petit animal , le fantôme blanc bondit , soulevant sur son passage un tourbillon de feuilles . elle avait trop faim pour manquer ce lapin , si près d’elle . Elle se réceptionna en douceur , posant ses deux antérieurs des deux cotés du lapin , l’encadrant de toutes pars . L’animal désespéré fit un bond en arrière , se jetant tout droit dans la gueule tendue de la jeunette , qui le cueillit du bout des crocs . Rejetant violemment sa tête en arrière , elle envoya le lapin valser dans les airs , le rattrapant en plein vol , les pattes raides , le dos cambré , les oreilles rejetés en arrière sur un sourire carnassier . Sa mâchoire d’acier se referma sur le corps sans vie du rongeur , qu’elle décapita sans autre forme de procès . Son repas fut court , frugal . Quelques coups de dents et la bête fut dépouillée de sa peau , et quelques minutes plus tard il ne restait que les os , que la louve se fit a mâchouiller distraitement . Attrapant un os long entre ses crocs , elle repartit en route au petit trot , mordillant le cartilage osseux au goût amer .

x. Repartant a travers bois , les oreilles droites , ombres parmi les ombres , elle se distinguait parmi les broussailles a cause de son pelage blanc qui refleurir l’éclat de la lune , et l’auréolait d’un éclat fantomatique . Sa greule s’ouvrit doucement , laissant tomber l’os en piteux état sur l’herbe qui amortit sa chute . Encore quelques pas , et elle sortit de la foret . Une bourrasque vint s’engouffrer violemment dans ses longs poils crémeux , la faisant frissonner . Mais pas de froid . Partant au galop , la silhouette dévala la petite pente qui menait a une plaine . Au centre se trouvait un immense bâtiment , souvenir effacé d’une ancienne tour qui se trouvait la . la tour nuage . . .

Invité

J e . r é s e r v e !

P

iw`ki galopait. C'était la première fois qu'elle mettait ses petites pattes sur ces terres. Des terres aux odeurs souffrantes. Le coeur battant, l'animal continuait sa course. Personne ne la voyait, car qui dit galop pour Piw`dit vitesse de la lumière pour d'autres.Touchant à peine le sol, sa colonne vertébrale se contractant, se mettant en boule, à chaque foulée. La louve noire se mit à hurler, cette hurlement fit envoler tout pigeon, un sourire sadique s'affiche sur les lèvres de la belle. Sa queue de féline ne bougeait pas beaucoup, tout le travail était placé sur le dos et les pattes. Sa tête, elle aussi, mi-haute aider à foncer en avant. On ne voyait que les feuilles s'envoler, sous le vent qu'elle dégageait; que des traces de pas se former à toute vitesse, toute plus ou moins proches; que des oiseaux décoller sous une pression incompréhensible. La bête noiraude fonçait encore et encore, elle ne contait pas rester encore longtemps ici, sur ces terres ennemis. Même si aucune guerre, rien qui ne signifiait vraiment la guerre était déclarée. En effet, les deux clans étaient, normalement, en "paix". Mais tout le monde qui y vivait savait, qu'ils se détestaient. Seuls, les solitaires, étaient aux calmes, sans paix ni guerres.

E

lle fonçait encore et encore. Quand elle freina soudainement. La louve venait de se recevoir en pleine tête un squelette de rongeur. Plus précisément, celui d'un lapin. Piw`ki secoua sa tête et grogna. Quand elle vu à ce qu'elle avait à faire, déjà mort, et ça sentait le frais. Elle huma l'air, quand l'odeur d'une louve arriva à ses narines. Tête haute, museau redressée, antérieur gauche relevée. Elle sentait. Sa queue se secouait doucement, comme celle d'un bon chien de chasse. Puis elle baissa rapidement la tête et avança. Elle continua le manège assez longtemps. Quand elle émit un long grognement, et sauta pour reprendre son "galop". Elle fonça à toute vitesse pour joindre la louve. Quand elle arriva près d'elle. Elle qui n'avançait pas vite, comparée à l'animal noirâtre. Elle qui se retrouvait face à la tour; la tour des nuages. Elle qui ne savait pas encore qu'elle allait bientôt marcher sur des squelettes plus très frais. Elle qui avait l'air de connaître cette endroit comme sa poche. La louve noire à la queue de féline s'arrêta, quelques pas derrière elle. Comme un fantôme sans bruit, elle se glissa derrière une pierre. Elle leva juste la tête, et posa son museau sur le haut de la pierre. Juste un oeil, turquoise, apparaissait, et elle pouvait enfin voir. Cette louve, noire/rouge. Elle grogna intérieurement en voyant la couleur de son glowstick. Les feuilles se posaient enfin sous le choque du vent lourd qu'avait émit la demoiselle. Elle glissa sa tête pour la passer sur le côté. Encore son oeil turquoise, l'autre marron était caché par sa grosse et longue mèche grise accompagnée d'une barette. Elle s'assit. Et l'observa, l'avait-elle entendue ? Elle qui avait fait dans la plus grande discrétion, et dans la plus grande vitesse qu'on eu vu.

V

oilà que le temps se couvrait. L'orage se mit alors à gronder, d'épais nuages se mirent en haut de la haute tour. Annonçant un bombardement d'éclair. Et tout animaux ayant de l'intelligence, donc seulement les humains, savaient qu'il ne fallait surtout pas se mettre dans la tour, car l'arc de foudre qui allait si faire tuerait même 20 éléphants scotchés. Mais que voulez-vous ! Les loups n'ont pas spécialement un grand amour pour l'orage. Piw`ki monta sa queue et la mit au dessus de ça tête, de façon à rester à "l'abri" protégée par son épaisse fourrure. Elle se replia sur elle-même pour se tenir chaud. Elle continuait à observer l'ennemie. Ne voulant montrer sa présence, en aucun cas, certainement pas !

Invité

Invité

( Mon plus gros post de s't'année, ou d'au moins ces derniers mois x) I love you

)

Invité

Glissant sur le sol humide et riche comme un long serpent d’ombres , survolant la terre d’un trot céleste et cadencé , la jeune espionne vit rapidement se profiler , au milieu d’une plaine nue et grise , ladite tour Nuage . Tête haute , elle dilata légèrement ses pupilles , et se mit a détailler les alentours d’un regard expert . L’herbe ici n’avait pas repoussée ou elle avait été coupée , et d’immondes taches de verdure moisies donnaient un certain relief a la plaine bosselée . Morcelée par de longues fissures qui sciaient le sol tantôt meuble , tantôt ferme , la tour se dressait , immobile , tel un immense dragon figé a son envol , statufié dans une pose gigantesque et impressionnante . Amas de pierraille savamment tailladés et placés , la tour formait une sorte de cube élimé a raz de terre , avant de monter en spirale le long du bâtiment noirâtre . A la poussière crayeuse se mêlait le souffre et les os écrasés et pulvérisés par des années d’intempéries , qui recouvraient une grande portion du territoire , comme si une guerre avait eu lieu ici et qu’on aurait laissé pourrir les combattants au même endroit . D’ailleurs , le sol était veiné d’un rouge sanguin ou d’un vert sulfureux , comme si de grandes veines l’irriguaient comme elles irriguaient la peau de Pixy .
Cette dernière , assez pressée , accéléra le pas , sentant avec agacement un court d’air brûlant le frôler , tournoyer devant elle puis repartir en sens inverse . Le vent avait de drôles de manies aujourd’hui . Ignorant la présence de la louve aux pattes agiles , la futur espionne repassa au pas en une transition glissée du plus bel effet , qui fit voleter sa toison épaisse .
Ouvrant la gueule , Pixy aspira l’air dans un parfait silence , sentant l’odeur d’une étrangère s’infiltrer sous son palais . Ainsi donc elle n’était pas seule . Un rapide regard ne coin confirma sa théorie . Aussi discrète qu’une baleine dans un salon de thé anglais , la louve la zyeutait avec curiosité . Bon dieu elle savait qu’elle était belle mais a s’point .. 8)
Décidant de l’ignorer , la donzelle rentra dans la tour marbrée de noir , écrasant sous ses pattes épaisses les cadavres putréfiés qu’elle réduisait en une fine couche de poussière collante et suintant les effluves mordites annoncent le décès d’un canidé .
Tout autour de la tour régnait une ambiance sinistre qui plaisait assez a Pixy .. Jusqu’a ce que l’orage éclate . Afolée par une peur tout a fait rationnelle , elle s’engouffra avec vivacité sous une lourde table en piere , priant pour que son corps n’attire pas les éclairs comme un paratonnerre . après tout la roche était un bon isolant .. Non ?

Invité

J ' a i m e . t e s . R P !

La fine louve noire releva plus sa queue avant de s'ébrouer et de la remettre en place, plus bas. Elle se leva et regarda. L'autre louve venait de la voir, qu'elle idiote de faire un bruit pareil en s'ébrouant. Elle regarda ailleur l'air de rien, jetant tout de même un regard sur elle, un regard timide. Elle passa derrière la pierre en sautillant. Puis sauta dessus. Elle laissa balancer sa queue, quand le tonnerre gronda. Eclatant à quelques mètre d'elle. La louve apparut en blanc le temps de l'éclair. Et elle bondit alors plus loin par la fureur et la peur que dégagea l'orage. Et en une vitesse et une agilité folle, elle rejoignit l'autre fine et petite louve. Se glissant sous la table, elle se coucha, et plaqua ses oreilles en arrière. Enroulant sa longue et épaisse queue au tour de son petit corps. Elle mordit doucement le bout pour se rassurer, comme quand elle était encore qu'une simple loupiote. Elle avait une sale peur, voir une horrible peur des orages. Quand la table se mit à trembler. Elle leva rien qu'un peu le haut de son corps, écarta légèrement sa queue, tourna et leva la tête en direction de la table en bois. Un trou lui montra le haut de la tour. Elle laissa échapper un faible "Oh". Le toit c'était effondré, depuis des siècles surement. Elle se glissa plus loin, sous les marches, et continua à observer. Oreilles plaquées sur sa nuque. Claquant tout doucement des dents. Voyant les éclairs, et le tonnerre gronder au dessus de leur tête. Elle était assise et se recroquevilla sur elle même. Sa queue s'enroulant au tour de son corps, le bout tapotant nerveusement le sol poussiéreux. Quand elle écarta doucement un oeil, et vit une bestiole, très moche, aux milles pattes, avec des yeux de chiens battus, venir vers elle. Elle prit son courage à demain, et tendit sa patte avant droite pour la faire venir sur son épaule. Quand un arc de foudre se dirigea à une vitesse folle vers la table. L'autre louve "ennemie" était elle encore dessous ? Faite que non. Piw`ki releva sa patte gauche, se collant au mur, gueule grande ouverte, effrayée de voir temps de feu sur un objet si petit. Elle appela à l'aide tournent sur elle-même. Essayent de voir si l'autre était encore emprisonnée dessous. Secouant sa queue dans tous sens, elle écrasa l'araignée, peu importe. Elle ferma les yeux et gloussa. Puis leva haut la tête, poitrail en avant. Et hurla, la lumière de la lune éclairant l'endroit où les deux louves, ou peut-être, seulement Piw`ki, se trouvait, emprisonnée par le feu qui se propageait. Se collant aux parois, la seule solution ... Les escaliers, elle sauta sur la première marche, antérieur gauche relevé. Bougeant sa tête et ses oreilles à toute alerte de vie... Où était l'autre ? Où ?

Invité

(( moi aussi ))

A la vitesse de l’éclair , Pixy déboula dans la salle , formée d’immenses blocs de pierre grise et mouchetée de blanc et noir se superposaient dans une simplicité qui donnait un élan de force a l’immense salle rectangulaire . Avisant en son centre un bloc de pierre et de bois soutenu par des pieds en granit torsadé avec soin , elle se glissa dessous avec rapidité , s’enroulant sur elle même comme un chien devant un bon feu crépitant joyeusement . Simplement Pixy n’était pas la pour se détendre ou même dormir . Frissonnante , elle se colla au mur glacé et affreusement spongieux , ne cherchant pas a comprendre pourquoi la pierre était légèrement tiède et .. Humide , comme les boyaux d’un animal monstrueux . Secouées de spasmes fréquents , elle ferma brusquement les paupières et se resserra un peu plus sur elle même , plongeant sa tête entre ses pattes .
Dehors , l’orage faisait rage . Des torrents de pluie déferlaient sur la plaine morte , tandis que le tonnerre grondait comme un troupeau de chevaux aux sabots de fer lancés au galop . Toute la colère du ciel semblait être dirigée vers la tour qui résistait au temps et aux intempéries . ni la pluie , ni les éclairs , ni le feu n’avaient réussi a endommager la lourde pierre granitique . Maussade et angoissée , False ne fit pas une jeune louve noire la rejoindre sous la table - Oula le sous entendu xD Oui oui je sors - Celle ci s’éloigna bien vite , aussi stressée qu’elle même .
Soudain , le fracas de la pierre brisée fit sursauter Pixy , qui leva les yeux au ciel déchaîné . sa table qui abritait avait pris feu , du moins le bois qui la recouvrait . La loupiotte frissonna douloureusement . Si il n’y avait pas eu la table , l’éclair l’aurait touché … Grimaçant a cette idée , elle s’extirpa du magma brûlant et se réfugia sur les premières marches de l’escalier , juste a coté de Piw’Ki . Les éclairs fouillaient la pièce , semblant chercher quelqu'un , ou quelque chose ou décharger leur énergie .. Et Pixy savait exactement qui ils cherchaient ..

Invité

Elle vit alors celle qu'elle cherchait du regard la rejoindre dans un saut. Elle lui fit signe de tête, et à une vitesse foudroyante, la noiraude escalada les escaliers, un à un, ni saut ni galop, juste une marche rapide, très rapide. Pratiquement repliée sur elle même, elle courait, avançait. Le bout de sa queue balayait les escaliers. Les escaliers tournaient au tour de la tour, aucune pièce rien, juste ces escaliers grimpant jusqu'au somment, là où elles seraient libres. Les deux louves, encore trop jeune pour mourir se suivaient ?! Puis la première : Piw`ki se mit à sauter, deux marches par deux. Rasant les murs, quand une marche tomba sur sa patte avant gauche qui menait sa cadence. Dans l'élan, tout le corps suivit la patte. Chutant dans le vide. Quand sa patte avant droite réussit à s'accrocher au peu de roche qui restait. Elle accrocha l'autre patte, le reste de son corps se balançait dans le vie, et inutile de vous dire, que la queue était pire ! Voyant le feu grandir. La louve prit peur, et essaya de forcer, la seule chose qu'elle arriva à poser était sa tête. Un petit exemple de sa position ? Tout bête, Moufasa avant sa mort ! Elle commença à appeler au secours. Espérant, que même si elles étaient ennemis, elle viendrait gentillement la sauver. Venez vite l'aider. Avant qu'elle tombe comme une mouche au milieu des braises. S'il vous plaît...

S

es griffes laissaient apparaître de longues banderoles dans la pierre. La louve balança sagement son corps, et d'un coupe elle eu une poussée. Ca y était ! Elle avait le torse d'allonger sur la marche à suivre. Plus que l'arrière train, les postérieurs, et sa longue queue ! En parlant de pattes arrières ... Celles-ci griffaient la marche, d'une vitesse incroyable, cherchant à elles aussi revenir sur "terre", parce que basculer dans le vide ... C'était pas la première classe. La louve balança encore son fessier en arrière et réussit à s'allonger de tout son long sur les marches. Essoufflée elle se permit alors une pause. La queue balayant le vide, comme celle des chats quand il dort sur quelque chose de haut. Elle regarda les alentours, les flammes grandissaient, prenant soin de tout avaler avant de passer au niveau supérieur. Dans peu de temps, elles engloutiraient Piw`ki avec elles. La louve se releva, tremblant par faiblesse. Elle regarda l'autre louve, elle était partie, elle avait dû monter ? Ou alors, la vue de la louve, par le peu d'énergie, s'affaiblissait et elle voyait très peu. En effet, l'animal tomba lâchement dans les pommes. Son corps fin montrait qu'elle était allongée sur des marches par les bosses qui dépassaient. Puis le noir, complet, plus rien ... Quand une chaleur réconfortante toucha légèrement sa queue. Celle-ci se balançait doucement voulant encore effleurer se doux pressentiment de ... Brûler ! La noiraude se réveilla et vit le feu commencer à l'encercler. Les flammes partout, rouge, orange, jaune, rouge orange jaune, rouge orange jaune, rougoranjaune, rorane... Les marches ! Elle bondit, montant quatre à quatre, se repliant sur elle même pour avoir plus de vitesse. Mon dieu, aidez-moi ... La gueule grande ouverte, la tête se tournant quelque fois en arrière ... C'était horrible, comme dans ses pires cauchemars !

» WILD | Libre
» Wild is the Wind — Libre
» And flowers grew wild ♖♥ Libre
» I thought I had lost you | Ezhekiel
» Running in the 90s [Priam]