La force du médaillon [Tatch]

THE THING - ??? PV
FOR : ???
AGI : ???
END : ???
ING : ???
Capacité : Son regard vous tétanise, lorsqu'il le pose sur vous. Il empêche toute esquive et toute fuite...

Ils avaient réussie. Il y avait mis un terme et ils avaient conquérit. Ils étaient des conquérants dont aujourd'hui, tout le monde prononcerais leur noms, sur le continent, dans l'ailleurs, sur les autres terres. Il n'y avait que ça qui comptait, n'est-ce pas ? Et pourtant, au fond du coeur du maitre des rituels, il eu une pensé pour tout  ceux qu'ils avaient aussi perdu dans la suite de leur fonction. Et il se mis en colère après ceux qui n'avait à peine eu le temps de commencer leur vie et qui c'était tragiquement mis à perdre leur vie, au prix de quoi ? Un combat amère qui leur aura coûter plus cher que quelque breloque ou un glowstick brisé, volé. Les vrais voleurs, venaient du continent. Ce sont eux qui avait voler la vie de Safran...eux qui avait faillis coûter la vie à son frère, eux qui avait coûter la vie à Illidan...eux, toujours eux. EUX. Les griffes du maître du rituel vint fracasser les parois de sa tanière et firent tomber plusieurs herbes sur le sable. La colère l'empêcha de respirer correctement. Sa respiration saccadé, les yeux injectés de sang, la truffe humide, les crocs s'entrechoquant. Comment allait-il faire pour tous les sauver ? Comment ?!

Haletant, les pattes tournant dans le vide, sa barbe s'enflammant comme jamais, la fumé dans la tanière devinrent de plus en plus épaisse, plus éttoufante, plus étourdissante. Et d'un coup, tout s'arrêta. Une forme sombre s'abbatit sur lui et le sortie de son demi-coma. Glapissant comme un chiot, la gorge rauque du à toute l'alcool ingérer la veille, il se retourna et croqua dans la première chose qui croisa son chemin et croqua de toute ses forces. La tête se faissant aller dans tous les sens, il finit par retrouver ses esprits. Les yeux encore coller par le sommeil lui revinrent doucement et il contrôla de mieux en mieux son environnement. Les étourdissement s'estompère et avec elle, la folie un peu aussi. Après y avoir jeté un oeil, il n'y vu que Kéran. Agissant comme si absolument rien ne c'était passer et se frottant la tête d'une patte encore engourdi il jeta un oeil autour. Sa tanière était un vrai bordel.

-Hmfph....maugréa t-il avant de s'aventurer à l'extérieur et inspirer le grand air.

La gueule pateuse, tout semblait manquer de goût, d'odeur, de couleur. Tout était fade, moins brillant que la veille. Les cauchemars de la nuit lui tappait encore sur l'échine et l'empêcha de se concentrer totalement. Les oreilles engourdis, il les tourna l'une après l'autre en direction du nouveau capitaine qui avait fait preuve d'un énorme courage dans les derniers jours. Il était si fier de lui et leur mère le serait aussi. Quand serait-il de lui ? Lui qui n'avait pas fait grand chose...Faisait-il honneur au poste que sa mère occupait jadis ? Il ne le saurais jamais, puisque tout le monde de cette génération était mort, perdu à jamais, gardien des eaux brumeuses aux côtés de Céto. Le pirate pris une grande respiration et se tourna enfin vers son frère.

-Qu'est-ce qu'un niggot comme toi veux avoir affaire avec les gens comme eux ? Je croyais que tu avais peur du continent, hm ? maugréa t-il de nouveau sur un ton moqueur.

Bien entendu, il savait la vérité et il savait pourquoi il était venu le voir. Il allait recruter, il allait prêcher la bonne nouvelle sur le continent à qui voudrait bien l'entendre, mais le continent était dangereux, même pour un capitaine dont les forces ne faisait qu'augmenter.

-Tu connais la règle Kéran. Personne ne va sur le continent  si ce n'est pas pour y être accompagner...Nous avons perdus assez de vie dans les dernières semaines. Je ne porterai pas le poids de la perte de notre capitaine....ou de mon frère tant qu'on y est.

Un sourire tiré apparu sur son visage alors que le maitre des rituels s'approcha vers son frère.

-Tu viens me quémander de....

Un bruit étrangement similaire à celui d'un ventre qui gargouille retentit derrière lui. Les oreilles tapis sur la tête, il se retourna d'un bond, en grondant, mais il n'y vit rien, au premier regard. Plissant les yeux, remplis de questionnement il tenta de se retourner de nouveau vers Kéran lorsque le sable se mis à trembler à ses pattes. Quelque chose venait à leur rencontre. Il se tourna donc de nouveau et le vit. Le pelage souillés par les vagues, la mer, le sel et la haine. S'émanait de cette...chose un sentiment tétanisant. Son regard s'alterna entre Kéran et la bête.La bête n'avait de yeux que pour son frère. Dansant dans le sable, grondant, tentant d'effrayer la bête, même le plus menaçant des regards ne vallait rien contre lui. Les yeux injectés de sang, celui-ci se rapprochait de plus en plus.

-KÉRAN ATTENTION !

Et le frère se jeta sur lui, et s'acharna à détruire la chair à découvert qui n'avait pas de poil. C'était l'endroit le moins protégé et pourtant le mieux garder....Cette énergumène n'avait pas finis de leur donner du fil à retorde. Et il ne c'était pas tromper. Tatch n'avait pas calculer que, même si cette créature venait de la mer, que celle-ci pourrait aussi bien se débrouiller sur terre. Cherchant à ne pas se blesser, la bête se tourna vers le maitre des rituels en un clin d'oeil et l'envoya balader contre les récifs. Le dos momentanément paralysé par le choc, il ne pu rien faire, il lui fallait reprendre ses esprits et trouver une stratégie. Ou peut-être était-ce là, l'épreuve à passer pour obtenir le médaillon de Céto. Les possibilités étaient immense et rien ne justifiait encore sa présence sur l'île.

-Tu va me regarder tout faire à ta place, capitaine ? Ou devrait-je dire moussaillon, hahaha !

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Capacité : Son regard vous tétanise, lorsqu'il le pose sur vous. Il empêche toute esquive et toute fuite...

Connecté, prisonnier d'une terre qui ne semble plus être la tienne. Une terre qui semble si loin de toi. Une terre qui ne t'appartient pas. Quel est donc ce lien avec l'haut-delà ? La tête hurlant de douleur, les muscles paralysé, ton coeur semble s'enfoncer de plus en plus dans le sable et avec les traces de douleur, les souvenirs. Tu te réveille brutalement, tes yeux brûlant par la lumière qui te tappe sur la tête. Comme des flash, le soleil jaune et rouge change constamment devant toi. La mer qui cette fois-ci se retrouve si calme, d'une seconde à l'autre se déchaine et semble te repousser. Cette mer, ce n'est pas la même, ce n'est pas celle que tu aime tant. C'est celle d'ailleurs. Les images ne restent jamais bien longtemps, mais le lien continue de te pousser contre le sol. L'effet est si réel que tu a l'impression que la bête se tient sur ton corps et entre ses griffes dans ta chair maintenant endoloris. Le sang qui recommence à revenir dans tes extrémités te brûle, te pique comme des milliers de fourmis de feu te mordant, te pressant de te relever. Tu est celui qui ressent, maintenant.

Le soleil te réchauffe et t'empêche de réfléchir plus à ce qui se passe et tu t'évanouie de nouveau.


Le sable brûlant sur sa peau, dans ses plaies ramène le maitre des rituels quelque fois dans l'heure qui suivit son éveil, mais jamais complètement. Et l'angoisse le tétanisait. Il ressentait tellement d'émotion à la fois et juste là, sous ses pattes, l'émotion qui était innacessible. Ce sentiment de chaleur de tenir entre ses doigts la personne disparu qui lui était cher. Kéran avait disparu sous ses yeux. Les raeders était maintenant sans capitaine. Laissant tomber son sommeil comateux, le maitre des rituels pris toutes les forces qu'il lui restait pour se rapprocher du dernier endroit ou il avait vu son frère se tenir avant de sombrer dans la noirceur. Après seulement deux pas, une autre vision le tétanisa, ses pupilles devenant complètement dilaté. C'était l'ailleurs encore.

Le soleil de sang contrastait avec toutes les formes qui l'entoure. De la poussière flotte dans l'air, y danse, maléfique. Et tu ressent le regard de la bête, partout. Mais quelque chose en particulier t'attire...une tâche plus beige que rouge. Kéran. Le regard appeuré, le capitaine tourne en rond et cherche son chemin. La bête à avaler ton frère. Tu tente de parler mais la douleur te ramène tout droit où il se trouvait vraiment. Un grondement moins sourd qu'à l'habitude se transformant en hurlement mais pris toute les forces qu'il te restait....tu sombra de nouveau. Il cru entendre son frère l'appeler, en écho avec son hurlement, mais il ne put rien faire, il attendit. Le capitaine était maintenant retenu prisonnier d'un monde à peine réel.