« Que le vent t'accompagne enfant des Mers.»
Il était encore dans la grotte, quand Chimaera lui, était partit en trombe. Il avait bu tout son soul Ariitaimai, et le voici qui baille après être sortit en trottant de la grotte qui menait à la Fontaine des Damnés. La queue lourde traîne sur le sable, encore et toujours, tandis que le soleil réchauffait son pelage violacé. Il bâille encore et encore, il avait un peu, peut-être trop forcé sur la boisson mais au moins n'avait-il pas oublié l'énigme de la tante qui tournait en boucle dans son esprit.
Les pas nonchalant, le porte donc jusqu'à la plage où les yeux élémentaires ne virent personnes. Sans doute le fils d'Abysse était déjà dans l'eau, mais qu'importe. Le Prince prendrait tout son temps, car après tout ce n'était pas sa vie qui était en jeu même si sa liberté était tout aussi importante.
Les pas s'engouffre dans le sable fin, quand le voici qui s'assoit sur la matière sablonneuse. Le museau se lève vers le ciel, le voilà qui se balance doucement de droite à gauche, comme le ferait une fougère.
« _ Elle est couverte de trous. Et pourtant... Elle retient l'eau » Répéta t-il dans un murmure audible pour lui même. Quand le regards ce pose sur l'Océan, si belle, les vagues lèchent les pattes qui se trouvent sur la trajectoire naturelle. Elle lui parle, lui murmure des choses à Ariitaimai. Comme possédé, voici la masse violette qui se redresse, s'avance plus en profondeur vers l'immense étendu d'eau salée.
Se laisse engloutir par elle, qui lui parle encore. Prends une grande inspiration, lui demande d'être ces yeux, avant qu'il ne plonge. Il nage plus en profondeur, s'enfonce même volontairement, car la bête jaune s'y trouvait. Ayant une confiance absolu en la voix Maritime, c'est ainsi que le jeune mousse se laissa guidé dans les profondeurs marin. Mais il devait faire vite, car il n'avait pas de respiration illimité sous l'eau. La vision est flou, les yeux lui pique et le démange à cause de la quantité de sel dans ces profondeur, arrive quand même à distinguer une forme jaunâtre. Ce rapproche pour essayer d'un peu mieux voir, clignant plusieurs fois des yeux, pour constater des trous. Il avait trouver Ariitaimai.
Il ouvre donc la gueule, laissant échapper des bulles d'oxygène et le voilà qui remonte avec ça prise, sans ce presser d'avantage. L'alcool avait l'avantage de le rendre très serein, même dans un endroit qui n'était pas approprié, car il pouvait très bien ce faire bouffer. Là, maintenant. Quand sa tête immerge de l'eau, la respiration reprends court, lui fait cracher l'eau de mer qui c'était infiltrer en lui, et le voici maintenant sur le dos se laissant porter par les vagues, le rapprochant un peu de la rive.
Le temps que cela ce fasse, la nuit était tomber, et la lune ne tarderais pas à apparaître. Il soupire doucement, avant que les pattes longue touche matière. Il s'ébroue, déposant l'éponge de mer qui se tortillais un peu, bâillant encore, avant de la reprendre et chercher sa tante sur l'Île zigzagant par moment.