» Nombre de messages : 5092 » Age : 29 » PUF : Auberjin » Date d'inscription : 09/09/2017 » Personnages :
Désastre
❙ Panseur Etelkrus.
15ans. Spécialité Archimage, +1PV/dé soin.
Aura du Héros.
Devient Quetzalcóatl.
Lien spécial avec Serpent.
Aura rouge si émotions fortes.
Comprends les poules.
En situation critique : Le Docteur et Tatouage magique.
Marty
❙ Nakhu lié au Refuge.
7ans. Célibataire. Zig&Zag, kayus magiques
Son papi en pouvoir.
Punkto!coke : +2AGI -1ING en situation critique
☉ Sajda
Solitaire, vit à l'Atoll.
4ans. Célibataire. Sang noir.
Attrait au chaos.
Arbre des connaissances
Basilic
❙ Épée Etelkrus.
3 ans. Célibataire. Lizard!boy
Craft amélioré.
Mini!Quetz' en familier.
Putain tu n'en peux plus, d'ici. Du gel qui se joue de ton poil si court, de l'humidité qui tiraille tes articulations. De tous ces loups autour de toi. Des odeurs qui te manquent.
Tu as le mal du pays et tu ne tiens que pour elle. Quand ton réveil, lui, n'est dû qu'à l'idée de le retrouver lui.
Il y a un souffle qui s'échappe de sa gueule entrouverte, se condense en une brume devant lui quand l’œil éteint regarde les étoiles qui se dissipe dans un ciel en fin de nuit. Sur ses quatre pattes, il se tient un peu fragile, pourtant reste seul debout parmi ceux emportés par le sommeil. Il serre les dents, pour ne pas qu'elle claque entre elles. Il tremble un peu, Désastre. Il a froid. Encore.
Un pas de côté.
Il est tard, ou plutôt très tôt. Il est fatigué mais il ne dort plus. Une nuit passée dehors, dans cette façon de contorsionner son corps pour dormir derrière les épines de roses aussi jaunes que celui qu'il se devait de retrouver maintenant. Pour sentir la rosée du matin et la brise mordante et ne pas trop longtemps se reposer sous l'effet du confort, pour ne pas se plaindre du réveil et le dépasser, car c'est à un moment précis qu'il devait partir retrouver ses terres. Tout était pensé et calculé, de son aller-retour qui se ferait en secret. Il avait quelque chose de nécessaire, presque vital tant il en étant devenu obsession, à accomplir et pour cela, se devait de partir quand les étoiles encore se voulait dominer.
Le dos qui se creuse.
Devant le temple de Yurai, il profite un dernier instant de ce moment sans douleurs, qui cesse de tirailler son cou et sa tête ; en silence la salue et la remercie. Il compense l'énergie qui lui manque de ses pensées qui sanctifient son esprit, profite de sa délivrance pour exalter son corps. Une inspiration. Il attache autour de son visage le bandeau blanc et devient aveugle. Et là, là...
Tu œuvres sous la nuit, étend tes ombres magnifiées par la lune.
Il se courbe le corps félin aux muscles puissants, se fléchit son rachis dans le sens des aiguilles d'une horloge à la parfaite mécanique. Il descend les marches, toujours précis pose ses pattes, jamais ne dérape. L'une après l'autre, les déroule avec grâce et souplesse. Il n'est qu'un soldat qui s'accorde le temps d'une valse, s'oublie panseur et se découvre danseur. Fait battre un peu plus vite son cœur, quand se porte contre une ennemie inconnue des attaques dans le vide en guise de chorégraphie, dont les esquives sont des entrechats et la mascarade en reste une. Il s'envoie sans ailes dans les airs et se retourne pour affronter toujours ce vide, qu'il défie d'un visage en partie masqué où on ne lit ni sourire ni crocs montrés. S'extend encore, baisse ses épaules pour creuser son dos jusqu'à sa queue qui dessine autour de l'astre une arabesque contrôlé. Pulse un peu plus vite, cette chaleur en lui. Et le souffle s'intensifie, l'adrénaline monte en même temps qu'il accélère cette valse en solitaire. Fantôme gris et noir sur fond d'argent, soudain antérieurs plaqués devant le temple quand en même temps s'étend les immenses ailes rouges.
Celles qui emportent avec lui, quand sur le côté il se chasse, quitte sa posture et se remet debout. Tourne sur lui-même, arrache le bandeau. Se courbe pour à nouveau le rattacher. Puis il se relève et se dresse vers le ciel. Que le porte une dernière fois ses forts postérieurs, avant qu'en arrière il se laisse tomber, que s'écartent ses antérieurs de son torse comme pour éteindre une dernière fois ce monde.
Et qu'il épanouisse les ailes rouges, elles se doivent maintenant de le porter. Et que l'étoile jaune l'irradie et le transforme.
Le loup n'est plus et Serpent à Plume prend son envol, dans un dernier tour vers lui même disperse des plumes rouges et disparaît. Il monte vers le ciel. Il quitte ces terres et vogue vers les siennes.
Le ciel est encore noir au départ. Ce fut un tempo calculé, pour trouver ces couleurs à l'arrivée.
Tu traverses la frontière de la Moère quand le soleil né derrière les monts Célestes. Et que sur fond d'aube s'illumine Quetzalcóatl.
C'est pour ça que tu es revenu. Pour t'offrir en spectacle, dans cette envolée artistique que tu destines à Kiro.
Les ailes rouges s'étendent et se dessine en flamme sur le ciel de jaune et d'orange. Le corps longs dont les écailles grises accrochent le soleil se colorent des mêmes teintes, il n'est plus qu'incendie qui se déploie au-dessus des cimes du marécage sans jamais les brûler. Et il tord son corps, le ramène contre lui. Des mouvements amples et précis, c'est ce que le serpent dessine maintenant dans le ciel. Il est dynamique, enchaîne ses figures en même temps que croit le soleil. Il dessine autour de lui des spirales et des cercles, maîtrise d'une vol qui éclate. Puis ses ailes se détendent, audacieuses défient les rayons. Se laisse tomber, comme en étant loup. Non pour le redevenir.
Il plonge vers sa moere d'un corps qui tout entier se courbe, ramène à lui toutes les ailes. Sa queue passe au-dessus de sa tête, ce n'est plus le ciel mais la terre qu'il regarde. Et soudain, là, les étend ses excroissances de plumes. Proche du sol reprend l'envol, sans craindre un instant de s'écraser.
Tout est maîtrise et contrôle, démonstration de vitesse et de souplesse. Les valeurs de l'Anaconda traversant le Quetzalcoàtl.
Il reprend la hauteur, une dernière fois brûle les plumes contre le soleil. Pique vers l'arbre cette fois-ci, trouve sa place entre les branches qu'il esquive. En colimaçon descend le long du tronc, sans jamais le toucher. Quelques centimètres, entre son ventre et l'écorce, de celui qui maîtrise ce corps pourtant si long. Enfin... Enfin il se tord en entier, se torpille dans l'entrée.
Et retrouve ses pattes, là, long qui revient quand les écailles disparaissent. Le corps et long, la pupille de l'unique oeil reste reptilienne. Encore, ces ailes derrières ses épaules. Il s'avance dans un corps dont le dos est trop long, se tord et se distend dans des derniers pas à la manière du divin, mi-serpent mi-lupin. Et s'abaisse enfin, Désastre, étend les ailes offertes par le pouvoir dont l'extrémité s'agite un peu et s'arque vers le ciel. Devant la fontaine.
Une seconde de silence. Un souffle tenu court et rapide, après ce fol effort.
La prestation pour son divin ici s'achève, et maintenant il lui porte ses mots. Désastre n'est pas venu ici pour lui demander cet œil perdu, pas plus qu'il ne veut faire taire ses douleurs. Il apprendrait à faire avec, à compenser et à les faire taire. Il ne veut tenir qu'à lui. Puis il y a ça, aussi. Kiro lui avait dit un jour que les mortels avaient toujours quelque chose à demander. Aujourd'hui, cela ne serait pas le cas. Il avait plus important, à lui communiquer.
« Je suis venu vous remercier, Kiro. »
Plus hautes, les ailes rouges. Plus hautes.
« Merci, pour ce pouvoir que vous m'aurez donné, et dont je vous offre aujourd'hui prestation en offrande. »
Et maintenant que le corps se sera fait maître de l'instant, c'est au cœur de parler, aussi sincère qu'à découvert.
« J'ai longtemps pensé qu'il me servirait à protéger. A attaquer, à défendre. A être un meilleur soldat. Comme avec Holly et Anita, devant le monstre des airs. Comme avec Pepper, pour la seconder haut dans le ciel, pour planter les crochets dans le monstre de l'eau. ... Je sais maintenant qu'il peut me servir à être un meilleur panseur. A sauver. »
Il n'a pas la même aisance à l'oral que sa mère, la voix grave et profonde ne sait enchaîner avec la même éloquence les phrases et les mots. Il essaye, pourtant. Désastre baisse un peu la tête, l’œil jaune absorbé par le liquide de la même couleur. Il repense à ce que lui a dit Anita, à ce qu'il s'est répété. Kiro est avec nous. Il poursuit.
« Merci, pour nous avoir accompagné. Tout le long de ce combat, où vous avez ressuscité l'espoir, dans nos esprits. Et sa suite, surtout. Vous m'avez soigné, m'avez permit de rester opérationnel. Plus encore. Vous avez sauvée Anita, avez épargné à notre nation bien des maux de l'esprit. »
Tout ne peut être que reconnaissance, pour tout ça. Il courbe un peu plus l'échine, se détache de la fontaine et ferme l'oeil dans une ultime marque de respect. Il se joue en même temps des ailes et de son corps gardé long, prêt à redevenir Serpent à Plumes, qui recule en de mouvements souples qui le font en entier onduler.
« Merci, de toujours être avec nous. »
Encore cette phrase. Encore, encore. Il aurait aimé lui cracher son amour, s'il avait eu plus conscience de ce sentiment. S'il avait été plus ouvert sur ses ressentis.
Mais c'est tout ce dont il est capable, Désastre.
D'exhiber l'acquis du pouvoir dans ce qui n'est qu'une prestation artistique, de quitter pour une fois la stricte utilité pour lui offrir ce qu'il pensait être le mieux. D’enchaîner ces mots, qu'il avait eu besoin viscéral de venir lui prononcer, jusqu'ici. A la moère qu'il se ravit de retrouver, qu'il compte maintenant traverser pour saisir toutes les odeurs, profiter un instant. Là, lorsqu'il se serait dérobé face à son dieu dont il n'attendait de réponse, tant il s'en sentait déjà entourer.
Tout ça, avant de retourner dans le froid. En ne pensant qu'à ce jour où il reviendrait ici, à nouveau. Et sentir contre le poil ou les écailles, le soleil jaune des marécages.
Kiro » Timid'
» Nombre de messages : 192 » Age : 58 » PUF : L'anaconda » Date d'inscription : 25/02/2012
Sujet: Re: L'envolée artistique ✡ Kiro? (&Libre) Jeu 05 Nov 2020, 23:54
L'envolée artistique
Il l'avait vu, cette danse -contrairement d'autre qui s'en excuse sincèrement-, de son début, jusqu'à sa fin, appréciant le soucis du détail à la lueur du jour, les mouvements agiles et précis, l'incarnation même ce que lui, Kiro, représentait dans ce monde. Il apprécia la forme de cette offrande, sa maîtrise, son originalité. On n'en recevait pas tout les jours des comme ça. Il y avait des loups dans cette génération de mortel qui indéniablement, restaient dans les esprits ou au moins, attirait un minimum d'attention. Le jeune mâle gris en faisait parti. Une danse pour exprimer un amour pur et sincère d'un fidèle à sa divinité, accompagné par des mots pour l'expliquer malgré des difficultés à se faire grand éloquent. Mais l'Anaconda n'en aurait pas tenu rigueur, il apprécia d'autant plus l'effort. Alors que le jeune mortel se retournait, prêt à déployer ses ailes et redevenir serpent mythique sans doute, ce fut le reptile divin qui apparu, se faisant anaconda géant glissant de l'ombre comme s'il y dormait pour venir à la lumière et plus proche de son disciple, relevant son corps pour l'arquer au dessus du loup qui avait copié sa tendance hybride et profitant de ce soleil matinal sur ses écailles comme si le dieu serpent comme l'animal qu'il imitait, avait besoin de se réchauffer après la fraîcheur de la nuit.
« A chaque nouveau disciple, je suis curieux de voir de quelle façon s'exprimera le lien qui se créer entre vous mortels, et la magie que je vous offre. Je dois avouer que le pouvoir dont tu as hérité est un de mes favoris... mais je ne dois pas être très objectif sur le sujet. »
Kiro n'avait jamais caché qu'au delà du fait qu'il en prenait la forme, il portait une grande affection aux serpents.
« Et je suis ravi de voir que tu as su aller au delà de la maîtrise bête, simple et attendue de ton pouvoir et créer quelque chose d'original. »
Et à l'entendre, même au delà de ce qu'on attendait de lui pour y dégager sa propre voie. Il s'enroula sur lui même, posant sa tête au sommet du nœud qu'il formait, ses pupilles fendues de serpent toujours sur le jeune mortel. « Les Dieux vivent dans la foi et le souvenirs que vous mortels, emmenez avec vous au travers des âges. Nous resterons à vos côtés dans vos cœurs temps que vous continuerez à croire et à porter nos couleurs. »
Il siffla un instant, laissant sa langue passer entre ses lèvres.
« Mais faites attention là bas dans le Nord. Il serait appréciable que vous évitiez de vous faire tuer si loin de vos terres. J'aimerais qu'il me reste encore quelques disciples à la fin de cette histoire. »
Daisy » Incrusté
» Nombre de messages : 5092 » Age : 29 » PUF : Auberjin » Date d'inscription : 09/09/2017 » Personnages :
Désastre
❙ Panseur Etelkrus.
15ans. Spécialité Archimage, +1PV/dé soin.
Aura du Héros.
Devient Quetzalcóatl.
Lien spécial avec Serpent.
Aura rouge si émotions fortes.
Comprends les poules.
En situation critique : Le Docteur et Tatouage magique.
Marty
❙ Nakhu lié au Refuge.
7ans. Célibataire. Zig&Zag, kayus magiques
Son papi en pouvoir.
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Craft amélioré.
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» Feuille de perso' » Points: 4690
Sujet: Re: L'envolée artistique ✡ Kiro? (&Libre) Mer 11 Nov 2020, 01:22
L'envolée artistique
▬ ft. Kiro
Été 2020. 2ans.
Il recule, se détourne de la statue. Hautes, les ailes. Toujours hautes. Leurs extrémités bruissent, se maintiennent en position alors que les pattes se jouent de pas précis pour mieux retourner le corps au rachis bien trop long. Et presque, presque, préparait-il autre échappée. Celle d'une liberté octroyée, au travers d'un temps à lui. Dans la moère, cette moère qu'il chérissait comme une terre sienne. Cette échappée que voilà en suspend, quand il vient.
L'Anaconda, celui presque père de Quetzalcoatl. Gigantesque et tout de jaune brillant, dominant d'une tête la sienne.
Il siffle des mots. Des mots forts qui se gravent dans le cœur taciturne. Fait fondre un peu cette glace qui le fige. Parce que le Dieu dit être ravi, et peut-être que comme avec Pepper, il court après ce même besoin de se savoir reconnu auprès de lui, pour un peu mieux exister ailleurs. Alors lui aussi, pour une fois s'autorise à l'être. Ravi. Au coin de ses commissures, un ersatz de sourire trop souvent repoussé.
Il ne rajoute pas, à quel point il n'est que fierté, que de porter sa couleur. Parce que les mots ne suffiraient pas et que l’omniscience se suffira pour cette fois. Car si tous cessaient un jour de croire aux dieux, lui ne pourrait faire table rase de leur existence, parce que d'attachement envers eux il possédait bien trop. Plus pour Kiro que pour les autres, certes ; il n'en oubliait cependant jamais aucun. Et qu'il sait, oui, qu'il sait Désastre, qu'il existe toujours dans les cœurs, Kiro. Dans le sien, au point de savoir lui redonner espoir et courage à chaque fois qu'il y pense, à chaque fois qu'il a peur. Dans celui des autres disciples, et ainsi viennent les mots qui galvanisent et qui rassurent en centre de bataille. Et, qu'encore ! S'il n'était plus ce même louveteau effrayé, venu un jour en son temple ; n'en restait pas moins un adulte jeune et aux faiblesses existantes. Celles qu'il faisaient disparaître, oui. En usant du glowstick, ou en pensant aux éclairs jaunes.
Alors, alors ! Quand elle siffle cette langue, lui d'un battement d'aile frappe le sol sans s'envoler, recule d'un pas et fixe de l’œil unique le regard du divin. Se fixe dans un, dans celui en miroir ; aujourd'hui il n'hésitera pas. Parce qu'il prend note. Plus.
« D'accord. » Même au dieu il ressort ce mot qui semble gravé sur ses lèvres. « Il vous reviendront tous. Une promesse. ... Oui. C'est promis. Je les protègerais et je les soignerais, vos disciples. Et je reviendrais, aussi. »
Parce qu'après ses échecs et ses erreurs au cours de la bataille dernière, parce qu'après avoir accepté l'idée que son sacrifice était une chose envisageable..non, normale... Il se fixait nouvelle quête, décidé par lui-même, soustraite aux volontés du divin. Il veillerait. Et se laissait gagner importance suffisante pour ne pas mourir maintenant.
Parce qu'il n'était pas un menteur. Et que toutes paroles ainsi promises se devraient d'être tenues, qu'importe en fusse le choix d'autres.
L'expression est étrange, il dévoile le bout de ses crocs dans une mimique de sourire plus marqué qu'il s'essaye avec trop de maladresse. Au moins aussi sincère que le furent ses mots, il prit envol sur cette dernière expression.
Kiro » Timid'
» Nombre de messages : 192 » Age : 58 » PUF : L'anaconda » Date d'inscription : 25/02/2012
Sujet: Re: L'envolée artistique ✡ Kiro? (&Libre) Dim 22 Nov 2020, 20:43
L'envolée artistique
Il cligne des yeux aux paroles du loup gris. Les mortels promettaient beaucoup mais il avait pleinement confiance en Désastre pour tenir la sienne. Ramène les tiens jeune loup et aide les porteurs du jeune à retrouver le chemin vers la Moere. Et sans rien ajouté aux paroles de son disciple, il disparu lorsque celui-ci quitta les lieux.