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 Quand mourir transforme en poux [épreuve de vie]

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SeoSy
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MessageSujet: Quand mourir transforme en poux [épreuve de vie]   Quand mourir transforme en poux [épreuve de vie] EmptyDim 12 Nov 2023, 14:59

Epreuve de vie:



J’venais de me séparer de Pash’. Il était temps pour moi d’remonter jusqu’à mon camp. J’lance un regard vers le ciel. Je devrais rentrer un peu avant minuit. J’ai bien fais de prendre des réserves, je pourrais m’arrêter et grailler un peu. Je m’engage sur le sentier de retour. L’ambiance n’était plus la même sans la p’tite. Plus de chant, juste l’silence. J’soupire un peu, pas de Roth non plus pour m’tenir compagnie. Ça fait bien longtemps que je n’aurais pas fait un aussi long trajet en solitaire.
L’temps passe pas, j’marche en suivant les marquages qu’jai laissé sur plusieurs rochers. J’suis fier d’avoir songer à faire ça, sans ça j’pense que je pourrais pas rentrer. Bah ouais à trop chanter, j’ai pas fais gaffe au décors et au chemin, j’me serai donc d’jà perdu.

Au détour d’un sentier, j’vois une des pierres que j’ai gravé. J’regarde mon entaille en fronçant les sourcils. Cette poussière de roche est étrange, je relève la tête. Mon coeur de forgeron bat la chamade. J’sens qu’il y a un truc ici ! Alors j’quitte le ch’min, je m’engage sur les pans rocheux escarpés, j’peine un peu, j’souffre des coussinets mais j’continue. J’m’éloigne du regard de possibles curieux. J’sens qu’j’approche d’un endroit que nul loup n’a frôlé d’la patte. Un lieu encore inconnu. J’souris comme un gros béat, je continue et j’aperçois une ouverture dans l’flan d’la montagne. Hoho intéressant ! J’finis mon ascension et j’me retrouve d’vant la brèche. J’lance un regard d’où j’viens. Personne n’aurait l’idée de monter jusqu’ici. P’être qu’un loup ailé aurait pu s’y poser mais encore aurait il fallut qu’il voit cette ouverture. Bref j’m’en fous des autres, j’suis l’prem’s, j’en ai la conviction.

J’me défais d’mon sac sur la p’tite corniche, j’regarde ce qu’j’ai pris avec moi, soit pas grand-chose. Bon vu la gueule d’la faille, faut pas qu’j’tape trop fort. J’prends donc une pointerolle et j’attrape mon marteau. J’me dis qu’j’aurai dû prendre ma massette mais à défaut d’l’avoir, mon marteau f’ra l’affaire. J’commence à inspecter l’ouverture, j’remarque plusieurs veines. J’souris et j’glisse la pointe de ma pointerolle dans un trou, j’donne un p’tit coup d’marteau. La roche s’effrite. J’l’inspecte d’mon œil d’expert. Ohoh j’pense qu’j’ai trouvé un filon !

J’m’engage un peu plus dans l’trou. J’tapoe si et là, r’gardant c’que j’peux trouver. D’la poussière rouge qui r’ssemble fortement à d’l’hématite. J’en mettrais pas ma patte à couper vu qu’c’est qu’la poussière pour l’moment mais j’suis assez convaincu quand même. Bref j’me lance à l’aventure, oubliant presque qu’Roth doit m’attendre et qu’il va paniquer en m’voyant pas r’venir. J’continue d’extraire d’petits bouts. J’commence à baver en m’disant qu’j’aurai de quoi forger si j’tombe sur un méga filon. L’canon d’la mamie sexy ? J’pourrais l’faire alors les doigts dans la truffe ! J’ricane un peu. J’m’avance encore jusqu’à m’retrouver dans une cavité. Elle est large, assez ronde. J’vois deux ch’mins qui s’perdent dans l’noir. Faudra qu’j’revienne avec d’quoi m’éclairer pour les explorer. En attendant c’jour, j’me concentre sur les veines. J’continue mon taff de minot, j’récupère quelques échantillons qu’j’mets dans ma sacoche. J’sais globalement reconnaître des bons minerais mais l’expert, ça reste Roth ! Vu qu’un Crogon s’nourrit d’ça, ils sont très gourmets en minerai et savent les reconnaître en fonction du goût sur la langue. Bref ils sont méga utiles pour déterminer d’la qualité d’l’extraction. Roth a beau être quand même déréglé là-d’ssus, j’sais j’peux lui faire confiance. J’sens l’sol trembler.

Merde. J’ai brisé l’équilibre.

J’me rends compte qu’j’ai vraiment merdé et perdu la main. Deux ans loin d’galeries et d’mines que v’là à avoir perdu quelques réflexes ! J’me retourne pour voir l’chemin s’effriter. Des roches tombent du plafond et la lumière disparaît. Pas l’temps d’me barrer, j’suis prisonnier. J’regarde le dernier rayon du soleil se faire engloutir. L’éboulement s’calme et le noir est là. Partout. Mon rythme cardiaque s’accélère, j’viens de perdre tous mes repères. Plus une seule once d’lumière, pas même un reflet. Rien. J’frissonne. J’suis coincé. Mon souffle d’vient rauque. J’connais cette sensation désagréable, cette Peur qui d’vient ma compagne. J’sens mes membres trembler, j’recule et percute le mur. J’lâche mes outils, l’marteau tombe lourdement quand j’entends la pointerolle roulée et j’finis par perdre son bruit. J’essaye de rassembler mes pensées. Comment était disposée cette cavité ? Je crois qu’elle était assez ronde, il y avait deux chemins … Par là ? Non. De l’autre côté alors ? P’être. J’sais plus. J’ai merdé.
L’obscurité me pèse, j’suffoque. La poussière de l’éboulement commence à arriver. J’tousse. Ma gueule est pâteuse, j’me sens affaibli. J’vais mourir ici ? Loin d’tout, loin d’tenir certaines promesses ? Les pensées sombre se bousculent dans ma tête. J’peine à rassembler des idées claires.

Au secours.

La panique commence à m’enlacer. Ma respiration se saccade encore plus, mon coeur bat si vite qu’j’ai l’impression qu’j’vais le perdre. Bordel ! Aller Bastione concentres toi ! Et si je meurs, que va devenir Roth ? Non, n’penses pas à la Mort. Et Pash’ ? Elle risque d’m’attendre pour sa fête mais j’serai pas là vu qu’j’serai cané ! Des larmes me montent.

Non non non j’dois pas penser à tout ça !!

J’dois me resaisi-j’vais mourir. J’essaye d’bouger, j’sens la folie approcher. La certitude d’ma mort aussi. J’panique, j’m’agite quand ma patte tape un truc. Ca m’fait mal, ça ripe un peu l’sol. J’reconnais ce son. Du métal sur d’la pierre. Mon marteau. J’le récupère dans la gueule. J’sers les crocs sur l’manche. Mes muscles souffrent mais la douleur m’ramène à la raison. Un peu.

Je peux pas caner ici.

J’ferme les yeux dans c’noir épais. J’prends trois grandes inspirations par la truffe. J’souffle bruyamment. J’suis d’nouveau maître d’moi mais j’sais pas pendant combien d’temps. J’connais cette maladie, le Ronge-Esprit. C’est commun dans la Montagne Bleue que des galeries s’effondrent. On met alors plus ou moins d’temps à déblayer l’ch’min jusqu’aux piégés. Plus on tarde, plus on les r’trouve dans un sale état. Ils n’peuvent plus aligner deux mots, ils sont crispés, ils deviennent craintifs au moindre roulis d’pierres et hurlent quand l’noir les surprend. Une maladie qui nous inquiète. Une maladie dont on n’soigne pas. Et qui m’guette maintenant.
J’ai d’jà été prisonnier enfant mais mon père m’avait vite cherché. Là j’me r’trouve seul et j’sais pas trop comment procéder. J’ai beau r’garder à droite ou à gauche, j’vois vraiment aucune source d’lumière. J’me concentre sur mon poil. Aucun courant d’air m’chatouille. Rien. Non ne paniques pas. J’tente un pas, l’sol est toujours stable. Pas d’fossé apparemment. J’me remémore la tronche d’l’alvéole. Y’avait deux ch’mins mais j’doute les retrouver. Sûr y avait pas l’air d’avoir d’trou mais avec l’éboulement, peut-être qu’il y en avait un maintenant ? Non j’l’aurai vu ou senti quand tout s’cassait la gueule. Des pierres qui s’affaissent à côté d’soi, ça passe pas inaperçu quand bien même la montagne s’effondre plus loin. Au moins, j’devrais pas tomber sauf si la structure des étages inférieurs est branlante et s’affaisse avec mon poids.

Comment j’vais faire ?

Mais oui la pointerolle ! Quand elle a roulé, son échos s’est perdu quelque par par-là … J’tourne la tête à gauche. Vu l’son qu’elle a produit, d’vait y avoir l’entrée d’un des tunnels. J’m’avance vers cette intuition. J’marche à tâtons et lentement, veillant à m’assurer d’la solidité du sol avant d’mettre tout mon poids sur ma patte. J’finis par m’arrêter. J’lève une patte qu’j’tends d’vant moi, cherchant à toucher d’la pierre ou autre chose. Rien. J’continue mon avancée avec la même prudence. Heureusement qu’j’sais être patient bordel ! Rebelote même stratège mais toujours rien. J’r’commence puis encore et encore jusqu’à …
OH ma patte à toucher un mur ? Une pierre solitaire au milieu du ch’min ? Bon j’ai une piste. Avec l’marteau, j’donne un coup léger à cet obstacle. L’son métal contre roche monte rapidement et j’l’entends s’propager. Dans la cavité mais il s’éloigne aussi. J’souris. Une galerie. J’suis pas tiré d’affaire, faut voir où ça mène mais c’est d’jà une première avancée. J’range l’marteau. J’pose mes deux pattes sur la pierre et j’la tripote. C’est donc bien un mur et non une caillasse en plein milieu. J’me r’tiens debout, et j’me mets d’côté. J’avance en longeant l’mur, veillant à garder le poil frôlant la pierre pour pas me r’perdre.

Mes pattes foulent doucement l’sol. Parfois elles percutent une d’pierres qui m’fait lâcher un jurons. J’ai les doigts douloureux, j’sens qu’j’dois saigner. Quel enfer. Un bruit au loin m’fait m’arrêter. J’fronce les sourcils et j’aurai beau plisser les yeux, j’verrais pas la provenance d’ce bruit mais j’ai un mauvais pressentiment. Ca s’calme au loin et j’reprends. Quelque chose cloche, j’le sens au plus profond d’moi mais j’peux pas rebrousser ch’min et r’venir à mon point départ. L’mur que j’suis disparaît d’un coup. Merde une bifurcation ? Un croisement ? J’m’assoies et j’tends les pattes, cherchant une paroi. Rien. La panique r’vient.

Non non Bastione n’perd pas les boulons !

P’tit exercice respiratoire. J’me r’concentre et j’parviens à identifier la situation. L’ch’min se scinde au moins en deux. L’un d’eux semble aller tout droit donc j’retrouverai la galerie principale que j’suivais. L’autre semble être plus petit et aller dans un tunnel secondaire. Quel choix difficile et toujours pas d’courant d’air pour m’aider.

L’bruit retentit d’nouveau.

Cette fois j’sens une secousse. J’sais maintenant c’est quoi l’blem. Un effondrement encore. Un brouhaha suit l’bruit. J’entends que ça dégringole … VERS MOI !! J’lâche un juron. La galerie principale est en train d’s’affaisser. J’me r’lève et sans réfléchir, j’me mets à galoper dans la secondaire en suivant l’mur. Les secousses se rapprochent alors que j’m’éloigne ? J’me suis trompé ? J’comprends qu’trop tard qu’en faite un trou vient d’former d’vant moi. J’tombe tête la première d’dans. J’pousse un cri mais il est avalé par le rugissement d’la montagne. J’vois rien d’ma chute. J’sombre dans le noir. Dans l’Obscurité. J’ai l’impression qu’ce moment dure une éternité. J’pensais jamais trouvé l’sol quand ce dernier vient brutalement à ma rencontre. Mon souffle s’coupe, j’peux même pas lâcher un hurlement d’douleur tellement qu’mes poumons s’vident.

Et là c’est l’méga néant.

J’ouvre les yeux avec peine. J’tousse d’la poussière encore et encore. Bordel j’ai dû perdre connaissance. J’me relève avec peine. J’crache autant qu’j’peux d’poussière. Ma respiration est laborieuse, j’douille. J’me racle la gorge encore un bon moment avant d’vraiment prendre conscience d’où j’suis. L’Obscurité est toujours aussi pesante. J’lance instinctivement un r’gard vers l’plafond qu’j’vois pas. R’monter s’rait une perte de temps. J’sais pas comment sont les gravas mais j’risque surtout d’me coincer ou d’me péter une patte. Faut donc j’avance. Bon j’vais aller tout droit, j’cherche d’nouveau un mur. J’tatillonne et j’trouve la paroi. J’soupire d’soulagement et j’r’prend la route, en boitant d’une patte arrière. J’sens que j’me la suis foulé. Du repos s’rait pas mal mais une fois qu’j’s’rai sorti. Si je sors. J’chasse les sombres pensées.

J’dois continuer d’avancer. Pas l’choix.

L’temps dure des heures et des heures. Plusieurs fois l’chemin change de directions, y a des bifurcations alors j’reprends l’marteau. J’le tape sur l’mur et me dirige vers l’tunnel avec l’meilleur échos. Ça veut dire qu’il continue. J’fais p’être une boulette, j’m’enfonce p’être plus dans les entrailles d’ces monts mais au moins, j’avance. J’ai l’ventre qui grogne, j’ai mal partout, j’suis fatigué. J’peine de plus en plus à avancer.

Vais-je vraiment caner ?

J’commence à avoir du mal à ne plus pensée à cette morbide question. Est-ce que j’vais contracté le Ronge-Esprit ? J’ai l’impression qu’j’vais finir aveugle. Mes yeux me tirent. L’manque de lumière les pâtir comme mon moral s’fait grignoter. Aargh qu’j’aime pas avoir l’mouron ! J’essaye d’penser à des trucs drôles à d’faut de réussir à rester trop concentrer mais les idées sombres m’bouffent. Non, elles me rongent.

J’trébuche et j’m’étale par terre. Ca fait si mal. Faut que j’me relève mais j’y arrive pas. J’me sens si faible. Si épuisé. Mes yeux papillonnent. J’pourrais m’endormir, faire un p’tit roupillon non ? J’sais qu’je dois pas mais l’idée est vraiment tentante. Un p’tit somme, ça n’a jamais tué personne hein ? J’commence à m’laisser aller quand j’capte un truc. J’rouvre les yeux en grand, j’colle mon oreille un peu plus contre l’sol. J’me concentre. Un bruit. Oui ! Y’a du bruit dans la roche !! Régulier, même fréquence. J’commence à rire.

De l’eau !

J’me relève comme un fou. J’ai à peu près identifié la provenance alors j’m’y dirige à tâtons. J’ai envie d’courir vers elle mais j’sais qu’c’est une mauvaise idée alors j’me r’freine. L’temps m’semble encore très long mais l’bruit d’l’eau me réconforte. Ca coule, sans doute une cascade ? J’sais pas trop mais plus j’m’approche plus j’capte que l’Obscurité se meurt. De la Lumière ! J’ricane et là j’me permets d’accélérer, j’vois enfin où j’marche. Mes yeux peinent à capter cette lumière mais j’distingue l’tunnel, l’chemin et. Une source !!

J’boitille jusqu’à elle. L’eau est fraîche et bienvenue. J’plonge ma tête d’dans, chassant la poussière. J’me nettoie la gueule avant d’boire à grande lampée. J’explose d’rire. Non pas qu’ce soit drôle mais j’relâche la pression des tunnels. J’reste un peu béat avant d’chercher la provenance de la lumière. Il y avait un trou vers l’extérieur. Assez gros pour m’laisser sortir. J’vais donc être libre. Enfin !! J’regarde où j’me trouve. Une immense cavité, plusieurs galeries en partent et s’font engloutir par l’obscurité. La source n’est pas gigantesque mais assez grande. Une petite cascade l’approvisionne. Elle finit son bassin par un p’tit filet d’eau d’eau qui fait son p’tit ch’min vers l’extérieur. A c’moment là, j’comprends une chose.

Ma forge sera ici.

J’la visualise très bien. Les soufflets là, l’âtre ici. J’pourrais faire un autre p’tit bassin à la source pour un bac d’refroidissement. Des galeries pour m’donner de quoi forger. HAHA j’ai trouvé l’endroit idéal. Y’aura du boulot mais ma chère montagne, t’as voulu m’tuer, t’voilà avec un poux !!

J’me marre encore puis j’décide qu’il est temps d’sortir. J’mets la truffe dehors et prends l’air frais avec joie. Ça m’avait un peu manqué. J’grave la roche à l’entrée. Avec difficilté, j’retrouve l’sentier qu’j’ai marqué avec Pash bien des mètres au-dessus d’ma sortie d’la terre. J’rejoins Roth et avant qu’il m’demande ce que j’ai foutu, j’lui dis de tout remballer. J’remplis l’sac, j’me retrouve avec ma carapace et j’dis adieu à mon p’tit camp d’infortune. Mon pote comprend rien d’s’y passe mais il obtempère et m’suit, l’air suspicieux. J’guide mon ami dans mon état déplorable jusqu’à la cavité. J’lui raconte en ch’min toute mon aventure. J’vois qu’il ne sait pas trop s’il doit m’prendre pour un fou ou m’admirer. On finit par enfin r’venir. J’entre par l’entrée marqué d’un "B" et d'un marteau. Roth m’suit et s'retrouve émerveillé.


Bienvenue chez nous, Roth !

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