Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

 

 Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité



Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps Empty
MessageSujet: Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps   Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps EmptyMer 20 Mar 2019, 14:49

LIEUTENANT

LE FAUCON



Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps Fv8SKPg


JAGUAR
Cette danse est terminée depuis longtemps et pourtant elle te manque. Elle te manque et t'arrache la gorge d'une douleur qui ne s'épuise pas, cette douleur elle n'en peut plus, elle se défoule sur toi car tu es le seul lambeau de peau disponible, ses griffes glissent sur ton corps sans s'arrêter, elle te manque. Tout te manque. Son odeur, les éclats de soleil dans le ciel, ce regard doux de ce père triste qui recherche son fils, l'odeur de l'argent et des toisons en soie qui entouraient ton être, cette place haut gradée que tu ne méritais pas, ce meneur sans courage et la disgrâce de ta mère qui pleure ton nom. Tout ça, aussi insupportable que ça puisse l'être, ça te manques. Et tu t'agenouilles devant un grand chêne, tu attends ton deuxième repos. Tu ignores pourquoi tu marches encore, au milieu des cendres et des regrets. Tu n'as plus ta place ici, tout est parti dans un immense incendie. Ta colère à tout détruit.
Qu'il doit être triste, ce faucon, à voler tout seul dans ce ciel nuageux. Qu'il doit être triste.

Lieutenant avance, il ne s'arrête pas, sa gueule est sèche et déglutir lui fait mal. Ses yeux débordent de larmes, il n'est pas rare de le voir déambuler en des terres inconnu, pleurant sous son masque, pleurant les âmes qu'il a vu s'effondrer sous ses pattes, pleurer les chants des amants, pleurer les rires des jeunes découvrant la neige pour la première fois. Il pleure le monde. Il pleure son temps. C'est une mélodie qu'on écoute de loin, on le voit passer sans rien dire, un marcheur des ombres, on le laisse avancer. Jamais il ne s'arrête; il ne doit pas s'arrêter.

Son chemin est illuminé par la faible lumière bleu de son glowstick. Le sommeil ne l'atteint plus, alors il faut bien que le borgne vide ses forces pour ensuite s'écrouler de fatigue dans un coin, se reposant malgré lui. C'était sa vie maintenant, et cela le met en colère.
Bien vite, devant ses yeux vint s'étaler la Plaie du Monde. Ces terres transpercées de souvenir, qui se déchire sous ses griffes. Un nuage de fumée blanche vint s'élever à sa hauteur, faisant soulever son pelage sombre dans un faible murmure.

C'était un amer sentiment, une madeleine de Proust hostile. Oui. Le bruit des crocs qui s'entrechoquent contre le sang, les hurlements d'une famille ravagée par un Dieu égoïste. La chute d'autres Dieux, et ces pauvres mortels au milieu. C'est si fertile dans son esprit et pourtant si clair à la fois ? Ce n'est pas de la nostalgie mais de la peur. Lieutenant craignait encore les foudres des divins, des monstres qui, chancelant, eurent tué bien des siens. Son souffle se fait plus court car sa patte venait de se poser sur un morceau de vitrail.

Lentement, l'ancien bêta d'une autre ère posa son attention sur ce verre abandonné. Un immense palais se dressait autrefois en ces lieux, maintenant, ce n'est plus que ruines. Elles n'évoquent plus rien à qui que ce soit. Tout comme lui, elle n'appartient plus à ces minutes, ces heures, ces secondes. C'est une erreur temporelle qui s'accroche.


— ... Oh Cronos. Parfois il se demande si ce Judas est bien mort, et s'il ne se moque pas de lui. Son foulard vint chasser ses sombres pensées, se laissant porter devant son visage par les faibles bras du vent.

Et cela lui cacha la vision l'espace de 5 secondes.
En 5 secondes, une créature vint se poster dans cet angle mort. En 5 secondes, l'animal bondit. En 5 secondes une gerbe de sang vint perler le sol asséché d'une ancienne guerre.

Pauvre Jaguar, tu dois être bien affamé. Ton corps élancé qui s'étire dans une colère qui n'est pas tienne, cette minceur inhabituel pour un tel félin. Ce regard fou. Pauvre Jaguar, tu dois être bien triste pour te jeter ainsi sur un mort. Pauvre Jaguar, tu ne feras pas long feu en ces terres, que ce soit le faucon qui t’ôtera la vie ou la famine, tu n'es pas là pour rester. Pauvre Jaguar, il pleurera pour toi.

Premier coup de patte bien placée sur l'épaule du canidé, cela lui arracha un grognement surprit. Puis la douleur arriva ainsi que la colère: c'est contagieux. El tango de Roxanne. Tout recommence. Sauf que ce n'est pas une danse aérienne du corbeau et du faucon, mais quelque chose de plus brutal, de la terre et de la poussière, du sang séché sur un pelage déjà sale. C'est un combat par une survie odieuse; l'enjeux est déjà tout tracé pour l'un, c'est cruel.
Les corps s'enlacent encore et encore, la peau est déchirée de toute part et les touffes de poils tombent sur le sol, le félin tenta à plusieurs reprise d'ôter le masque de sa pseudo victime pour atteindre son âme, et il réussit. Mais ce qu'il trouva ne fut pas sans surprise un spectacle d'horreur, une mine bien trop sombre et bien trop dépourvu de sentiments pour que cela ravisse le jaguar qui se chantait déjà victorieux.

Lieutenant est plus grand, plus fort, plus fou de rage encore que l'affamé. Il incline son corps en arrière, se dresse sur ses pattes arrières et dans un bruit sourd, dans un bruit macabre d'os qui se brisent, il claque sa mâchoire sur la nuque de l'animal.

Pauvre Jaguar, tu es mort en vain.


Lieutenant reprenait son souffle, la tête basse, devant le cadavre de son assaillant. Ses épaules se lèvent en rythme avec sa respiration, son épaule est en sang et son flanc est recouvert de griffures. Cela fait du bien et en même temps, c'est si faux. Son regard se pose lentement sur les yeux du félin. Même dans sa mort il semble désirer planter ses crocs dans sa jugulaire. Ah... Etait-ce nécessaire ? Sûrement pas. Il est fatigué.
Revenir en haut Aller en bas
Elle
» Fidel'
Elle

Féminin » Nombre de messages : 1103
» Age : 29
» PUF : Elle
» Date d'inscription : 17/04/2015
» Personnages : .
Tarot
2 ans le 22-JAN-2021
~ Diseuse de Bonne Aventure ~
Célibataire - Solitaire

» Feuille de perso'
» Points: 875

Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps Empty
MessageSujet: Re: Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps   Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps EmptyMar 26 Mar 2019, 16:46

Elle était fatiguée, déboussolée. Une fois réveillée du grand sommeil dans lequel elle avait été plongé, la femelle carmin n'avait cessé d'avoir peur du repos, d'avoir peur d'encore une fois plonger dans les bras de Morphée pour une période indéterminée. Elle avait peur de perdre du temps, de perdre de la vie. Sommeillant à peine la nuit, elle passait son temps à se réveiller en sursaut, tremblante, de peur d'être incapable d'émerger de ses rêves. Ses cauchemars se multipliaient, causés par le stress, et elle avait perdu un peu de poids. Cela finirait par passer, un bon jour, elle cesserait d'avoir peur de dormir. Mais, pour l'instant, c'était une dure période pour la louve. Le temps qu'elle passait avec son comparse hirsute la calmait, bien heureusement.

Sa gueule s'étira grandement alors qu'elle baillait à outrance, avançant sans même regarder où elle allait. Elle n'était pas vraiment intéressée par l'endroit où ses pattes la menait. Pour elle, il n'existait ni limites, ni frontières. Cette terre n'avait pas d'histoire à ses yeux, même si elle apprenait à l'apprécier de plus en plus grâce à ses contacts sociaux. Elle commençait à pouvoir mettre des mots sur les choses, aussi, ce qui rendait son environnement plus réel, plus vrai, plus attachant. Elle commençait à se sentir tiraillée par un début d'attachement envers cet endroit, et certains loups, et par son désir de retrouver sa famille et sa terre natale.

Roche, roche, roche, répétait-elle mentalement en regardant les rochers et blocs de pierre qui jalonnait son chemin. Son langage limité - qui ne contenait jusqu'à récemment qu'uniquement les mots " Oui ", " Fireheart " et " Manger " - se développait de plus en plus au fur et à mesure que son nouvel ami, Vydar, lui apprenait de nouvelles associations. Isolée de sa famille très jeune et élevée par un vieux coyote muet, elle n'avait malheureusement jamais appris le langage des mots avant ces jours et s'était toujours exprimée à travers le langage archaïque des loups : le langage corporel et les grognements.

Des grognements furent exactement ce qui attirèrent son attention. Des dents qui claquent, des corps qui se heurtent, l'odeur du sang. Pacifiste dans l'âme, elle s'inquiéta aussitôt pour les protagonistes de ce combat supputé, et s'élança sur leur piste. Elle surgit juste à temps pour assister à la mort du jaguar. Elle observa, un instant, le cadavre, avec une pointe de tristesse. Il était trop tard pour lui. Elle observa ensuite silencieusement le loup d'ébène qui avait affronté le félin déchu. Elle s'élança vers lui, un rictus d'inquiétude déformant ses traits.

« Oh non ! Tu mal ! Tu okay ?, dit-elle dans son français approximatif et peu fournis, inquiétée par les blessures du lupin noir. Elle n'éprouvait pas la moindre crainte envers celui-ci, ni se s'imaginait qu'il pourrait mal prendre le fait qu'une inconnue sorte de nulle part et se précipite vers lui en jappant de façon incohérente. Après tout, l'un des plus gros traits de caractère de Fireheart² était sa naïveté.
Revenir en haut Aller en bas
Daisy
» Indispensable
Daisy

Féminin » Nombre de messages : 4870
» Age : 29
» PUF : Auberjin
» Date d'inscription : 09/09/2017
» Personnages : Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps Dez
✡️ Désastre
Panseur Etelkrus.
13ans. Célibataire.
Spécialité Archimage, +1PV/dé soin.
Aura du Héros.

Devient Quetzalcóatl.
Lien spécial avec Serpent.
Aura rouge si émotions fortes.
Comprends les poules.
En situation critique : Le Docteur et Tatouage magique.


Agathe
Solitaire pure et dure.
12ans. Célibataire.
Sac à dos magique.
Pierres différentes chaque jour.
Pas de malus0PV.
Vois et parle aux morts en Automne.
Cursed!unicorn.


☀️ Marty
Solitaire quart Nakhu.
3ans. Célibataire.
Zig&Zag, kayus magiques
Punkto!coke : +2AGI -1ING en situation critique


» Feuille de perso'
» Points: 3090

Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps Empty
MessageSujet: Re: Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps   Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps EmptyMar 26 Mar 2019, 22:35

Et cette nuit fut tienne

ft. Lieutenant-Erebe ; Fireheart²

Printemps 2019.
7ans.


Toujours dans ces fourrés, toujours dans ces buissons.
Tu trainais ton ventre au sol, dépliais tes pattes jusqu'à ce que tes genoux caresse l'herbe. Tu te déplaçais comme le serpent, celui à la peau chaude (et rouge !) d'un corps qu'il quitte, sans que l'on puisse n'espérer que te voir. Au mieux t'entendre. Tu t'esquintes à le suivre, réduis tes muscles à des miettes de tension. Mais tu veux le filer, lui, lui.
Ce Perdu que l'on sent revenu, ou celui abritant le Perdu. Il est devenu ton occupation, celle d'aujourd'hui mais non plus de demain. Un fragment, bref, de ta vie que tu lui voue. Une journée réduite à sa personne, parce que ta curiosité s’épanchait au dépriment de ces autres. Les plus amochés, irrépressiblement attirant.
Tu es louve qui le suis, mâle en perdition.
Etait-il âme attendant qu'on l'arrache à ce monde ? Tu le suis, sans être lui. Une ombre qui ne colle à ses pattes mais lui colle à la peau.
Un jeu qui est tiens, qui dure et perdure à la façon des cascades intarissables qui mouillent ses joues. Cessera-t-il un jour de pleurer, Arastée se le demandait.

Il est triste, le revenu. Il est triste.
Il porte ses lourdes chaines, les fait tinter comme des grelots pour ne pas qu'elles dérangent.


Tu bouges encore, tournes. Regarde. Il passe et repasse. Moitié dans ses pattes, moitié à côté. Lui le triste porteur de lumière, qui marche et marche encore, comme si son cœur était calqué sur les battements de ses pas. Il parle, mais tu ne l'écoutes pas : de là où tu es, seul à lui appartiennent ses paroles.
Tu lui accordes tes yeux bleus, garde le silence lorsque rentre l'accusé. Tu sais, celui qui sent la mort, celui qu'on sait mourir. Sur lui ne s'acharne plus le destin, abandonné depuis longtemps pour cette tragédie que l'on sait d'avance.

Le voici, le jaguar.

Ce félin, qui rime avec famine. Il traine son corps maigre, mais lui n'est pas triste. Est-ce pour ça, que ce soir, il mourra ? Parce qu'il n'avait en lui le chagrin, refrain perceptible chez ce noir congénère. Noir en extérieur, noir en intérieur.
Tu le regardes se battre.
Tu le regardes se souvenir ce que ça fait, que d'être vivant.
La patte qui blesse son épaule, ouvre sa peau comme tu le fais avec ta gueule, pour mieux haleter. L'odeur t'excite, tu montes en pression. Tes flancs se soulèvent sous ta rapide respiration, celle qui ne se calme dans ce tango de lions. Il y a des blessures, qui font éjaculer du sang de ces plaies. Les cris résonnent dans tes oreilles, tu palpe les rages.
La poussière se lève, voile qui masque à peine le chaos de ce combat.
Tu sais qui va gagner, l'Araignée aussi. Il y a des combats que l'on sait perdu d'avance. Et le noir perdra tous ces combats : il n'y trouvera jamais sa victoire, tout est achevé depuis bien trop longtemps. La bête, elle, trouvera la paix, oubliera sa faim en même temps que sa fin.
Tes crocs se découvrent, un peu.
Il te font froncer tes babines. C'est une expression que tu portes souvent, Jolitemps. Celle de ta hargne, celle de ta folie. Tu n'es pas de ce monde, toi non plus : tu es d'un ailleurs bien plus loin encore que peut l'être ce porteur de lumière, que peut l'être ce mort.

Oui.
Le jaguar est mort.

Tes yeux désormais fixe ce cadavre. Et puis lui, à nouveau. Tu te lèves, fais lumière sur ton visage : c'est juste avant qu'elle arrive, la Petite Rouge. Alors, tu retournes dans ton obscurité, celle où tu peux mieux observer. Et tu la regardes, l'insolente, vouloir porter secours à celui dont les plaies n'est plus grande souffrance : il pleurait bien avant elles.
C'est là que tu te lèves.

Toi, Jolitemps.
Toi qui n'étais comme la petite rouge. Une pacifiste.
Toi, tu aimais le sang, la violence, la souffrance mais surtout la chaleur des corps qui se mêlent. Les cris, les gémissements, les souffles brûlants, ces gueules qu'on ouvrent et qu'on referme autour d'une lune qu'on décroche alors. Se battre était comme faire l'amour. C'était faire fonctionner son âme entière, laisser son corps réagir et non plus agir.
C'était ne faire plus qu'un. Avec l'âme sœur, avec l'âme que l'on crève : tout n'était qu'une même chose.
Tu sors de cette cache, allonge ta foulée pour marcher vers eux, faisant irruption à leur côté. Mais à son inverse, tu ne marches vers lui : tu ne lui porteras aide. Tu n'es pas faite pour soigner, petite faiseuse de mort.

« On ne soigne le mal, d'un cœur perdu bien avant celui du jaguar. »

Tu jauges la femelle, siffles. Qu'elle le laisse saigner : c'est ainsi qu'on oublie les maux de l'esprit, ceux qui font tant pleurer.
Et il ne pleures plus ! Il saigne.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps Empty
MessageSujet: Re: Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps   Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps EmptyVen 12 Avr 2019, 14:38

LIEUTENANT

LE FAUCON



Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps Fv8SKPg


JAGUAR
Tu ne t’attendais pas à avoir des spectateurs, tu ne t’attendais pas à tout cela, et pourtant tu te tiens debout, le souffle court, à fixer des visages que tu ne reconnais pas et des voix qui ne t’atteignent pas, mais tu souris. Tu souris parce que tu te sens soulagé, comme si un énorme poids venait de s’ôter de tes os, tes os qui deviennent petit à petit tas de poussière.

Le borgne arque un sourcil cependant à la remarque de la louve la plus âgée. Lieutenant les scrute longuement, il se demande ce que faisait une si jeune demoiselle et un étrange être sur ses pistes. C’est devenu si complexe d’avoir un moment de tranquillité - bien que dans ce cas là, la tranquillité soit devenu un grand mot -

— Ce n’est que superficielle, je vais bien n’ai crainte.

Puis son regard se perd sur l’étrangère à nouveau, et une esquisse d’amusement déchire son visage en deux, le tordant d’une expression étrange.

— Deux non croyant, je devrai montrer les crocs, n’est-ce pas ?

Tu plonges ton regard dans celui de Jolitemps, tu sais très bien que tout cela n’est que spectacle douteux, tu sais très bien que les Dieux se fichent de ces bouffons qui courbent l’échine pour posséder un pouvoir qu’ils ne contrôlent qu’à peine et qui parfois; les éllimine. Tu sais très bien que les meutes, c’est une plaisanterie, tu sais très bien que tu n’y crois plus depuis que tu es mort. Depuis que tu as vu le ciel se déchirer sous les caprices divins, depuis que tu as vu trop de sang. T’es en rogne, en rogne contre ces “ alpha “, en rogne contre ces règles à la con, tu veux arracher le pelage de ces imbéciles, tu ne les supporte plus. Mais t’es fatigué, t’es plus tout jeune pour une rébellion, mais putain qu’est ce que t’en as envie. Et peut-être que elle aussi; elle veut faire verser du sang.

Cependant, vu la façon dont la rouge s’est exprimée, il doute qu’elle ait capté la nuance d’humour dans cette phrase. Il tourna alors lentement la gueule vers elle et murmure un petit “ je plaisante bien sûr. “

— Que faisiez-vous là ?
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps Empty
MessageSujet: Re: Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps   Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Et cette nuit fut tienne - pv. jolitemps
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Cette nuit - Libre
» Hello, how low ? | Ft. Jolitemps
» Second ciel [Jolitemps]
» → Capricorne [Jolitemps]
» Mélodie Liquide | Jolitemps x Teddy

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Punk Wolf :: 
Autres Univers
 :: Archives RP
-
Sauter vers: