-14%
Le deal à ne pas rater :
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 – RAM 8Go/SSD 256Go
799 € 930 €
Voir le deal

 

 L'aventure qui rapporte [Séchat - Défi RP]

Aller en bas 
AuteurMessage
Miklyëoth
» Important'
Miklyëoth

Féminin » Nombre de messages : 1542
» Age : 26
» PUF : Izaya Nohakin
» Date d'inscription : 18/12/2018
» Personnages : Six Personnages

Naïade
10 ans (MAJ Janvier 2021)
Médecin Readers
FOR : :
AGI : bulletred
END : bulletred
ING : bulletred bulletred

- - -

Skavelden
4 ans (MAJ Décembre 2020)
Readers
FOR : bulletred
AGI : bulletred
END : bulletred bulletred
ING :

- - -

Pierre
Mage Nakhu
25 Mars 2020
3 Ans (Janvier 2021)
Nakhus
Don Inné :
A des ailes holographique
Super Wolf
Vole a très grande vitesse.
For : bulletpurple
Agi : bulletpurple bulletpurple
End : bulletpurple bulletpurple
Ing : bulletpurple

- - -

Saqqarah
4 ans (MAJ Janvier 2021)
15 Tours contre le froid
Panseur Etelkrus Disciple de Kiro
Don Inné : Il vit la douleur d'autrui comme si elle était sienne.
For : bulletorange bulletorange
Agi : bulletorange
End : bulletorange bulletorange
Ing : bulletorange bulletorange bulletorange

- - - -

Meshret
4 ans (MAJ Décembre 2020)
19 Tours contre le froid
Epée Etelkrus Disciple d'Aka
Vivisection - Vous survivez sans séquelle à n'importe quel combat. (Pas de malus 0PV ni de membre amputé, toujours vous vous remettrez)
For : bulletred bulletred bulletred
Agi : bulletred bulletred
End : bulletred bulletred
Ing :

- - - -

Arkhanam
1 an (Janvier 2021)
Choeur Etelkrus
Personnage parfois un peu intangible
For : bulletred
Agi : bulletred
End : bulletred
Ing : bulletred

» Feuille de perso'
» Points: 25

L'aventure qui rapporte [Séchat - Défi RP] Empty
MessageSujet: L'aventure qui rapporte [Séchat - Défi RP]   L'aventure qui rapporte [Séchat - Défi RP] EmptyMer 01 Jan 2020, 15:45

Tout les objets trouvés par Séchat seront gardés par cette dernière est permettront la création de sa nouvelle image.

J’étais arrivée à destination, sur l’île des Readers, j’avais entendu tout au long de mon voyage que je devais m’éloigner de cette île. Que si je parvenais à en sortir, j’en reviendrais changer, métamorphoser même. Cela ne me  dérangeait pas vraiment.  C’est ce que je désirais même au fond de moi. C’était important pour moi de changer, de continuer sur la bonne voie. D’avancer, encore et encore, jusqu’à ce que je me sente vivante, et complète. Ce qui n’était pas encore le cas. Je me sentais égarée, perdue, mal dans ma peau. Je voulais changer, évoluer et me sentir utile.

J’avais traversé la mer, sans craindre ce qui se trouvait en ses eaux, et sans m’inquiéter de ce que je croiserais sur le sable.  La truffe dans l’eau, je me sentais bien. Depuis plusieurs mois déjà, quand je me prenais à regarder la mer, je me sentais nostalgique, noyée par sa noirceur et sa grandeur, perdue dans ses abysses, et bien dans son silence houleux. Secouant mon court pelage, je tournais la tête vers l’océan à qui je faisais dos, lui souriant avant de m’engouffrer sur le territoire ennemi. Alors que mes pattes foulaient le sable tiède et que mon corps séchait sous la douce lueur du soleil, un sourire effleura mes babines. Creek n’avait point menti, l’endroit était beaucoup plus lumineux et agréable que l’île Fantôme, même si j’aimais ce petit archipel gris, froid et inquiétant où j’avais grandie et errée comme une âme en peine. C’était ma vie, je n’y pouvais rien, j’avais fini par l’accepter.

Plutôt que de me battre sans arrêt contre les éléments qui me frappaient contre cette vie que je maudissais, j’avais fini par la laisser glisser sur mon corps, et me laisser porter par son courant. La force des choses et des rencontres m’avaient conduite ici. Et j’en étais heureuse, peut être qu’ici, je deviendrais une louve plus respectable, et plus forte aussi. Une louve qui ne craint pas la nuit, et qui n’a pas peur du jour. J’étais sur une île alors je craignais moins l’arrivée d’Oxomo. Je me disais qu’elle ne ferait pas tant de kilomètres et d’efforts, juste pour me tuer, surtout après tant d’années. Et puis même, peut être que maintenant j’étais capable de l’affronter, de lui survivre ? Cela me fit sourire, une pensée bien ridicule, je n’en serais jamais capable je pense, mais ce n’est pas grave, si je peux avancer, si je respire encore, alors il y a de l’espoir.

C’est ce que j’avais appris en rencontrant Iolite, elle était venue de si loin, affrontant tout ce qu’elle pouvait, pour rejoindre nos terres. Je devais prendre exemple sur elle, avancer, contre touts les éléments déchaînés contre moi, et rejoindre un endroit où je pourrais être heureuse. J’avais rencontré Creek et apprit que le monde extérieur était sans doute beaucoup moins angoissant que ce que mes yeux de louvette se souvenaient. J’avais retrouvé mon frère, et c’est comme si on m’avait redonné vie… On avait soufflé sur les braises proches de l’extinction, pour que je me relève et que j’avance.

Alors que je rêvassais à tout cela, j’aperçus une ombre au loin, croyant à un loup, je relevais la tête en reculant, avant d’apercevoir le cadavre d’un navire écrasé sur des rochers. Mes yeux pétillèrent d’intérêt. Voilà quelque chose que je pouvais explorer ! Un endroit sans doute plein de pièges et de cachettes. Ma queue s’agita vivement dans mon dos, l’envie de rejoindre cet édifice me poussant à courir vers les lieux. En arrivant en haut du récif où il résidait, je mis les oreilles en arrière, écoutant le craquement du bois sous le vent, et le claquement de la voile. Ce bateau semblait pleurer, comme désireux de retrouver la mer, mais incapable de s’y jeter de lui-même, abandonner ici comme une épave, un cadavre qui ne sert plus à rien, et qui n’a plus d’avenir non plus. Ce vestige de passé avait des allures de fantôme qui hante la mer. J’hésitais, avant de m’incliner, et de monter à bord.

Je sentis l’odeur de l’océan me frapper en plein visage, redressais la tête, j’appréciais son embrun avant de reposer mes yeux sur le pont. M’avançant entre des cordes couvertes de coquillages et de mousses. Un crabe me dévisageait, poser sur une poutre effondrée où se dressaient autre fois des voiles. Je lui tirais la langue, il eut pour réaction de calquer ses pinces en se décalant. Je me demande si ça à bon goût tient. Mais je ne sais pas du tout comment ça se cuisine, ni comment ça se mange. Ça doit craquer sous la dent cela dit. Je passais sous ce mât avant de me glisser vers le gouvernail, pour ensuite entrer dans la loge du capitaine. J’y découvris de nombreuses toiles d’araignées en premier lieu. Secouant la tête, quand une archnide se retrouva sur ma truffe je poussais un petit cri de surprise en reculant, secouant vigoureusement la tête avant d’entendre des mouettes ricaner, comme si elles se moquaient de moi.

« Oh ça va hein ! J’vous ai rien demandé à vous ! C’est pas un spectacle en plus, allez voler ailleurs ! »

Grognais-je en me précipitant vers l’une des vitres brisées pour gronder sur les oiseaux. Reculant, je tournais la tête dans mon dos, observant une couche où se trouvait un tissu, semblable à une cape que je récupérais dans mes crocs, retournant dehors pour le secouer avant de l’enrouler à mes épaules.  Retournant vers le centre de la pièce, mon regard se posa sur une carte des étoiles, et un compas. Je découvris également une boussole sur laquelle je soufflais. Elle ne marchait plus mais elle restait jolie. Il faudra que je la récupère en ressortant. Souriante, je continuais de flâner en cette pièce avant d’entendre un craquement. Je dressais les oreilles, cherchant d’où il venait, qui était là ? Quelqu’un m’avait suivit ? Un Reader en promenade peut être ? Je voulu faire un pas, mais le craquement fut plus important, et je sentis le sol s’échapper de sous mes pattes.

« Waaah ! »

J’avais traversé le planché, tombant sur un sol poussiéreux avant que deux latte de planché ne me tombe sur le dos. Je me relevais en les virant avant de regarder où j’avais atterrie. C’était une pièce remplie de canon et d’armes où je trouvais également un coffre au fond de celle-ci. M’approchant du trésor, je m’assis devant, hésitant avant de pousser le couvercle d’une patte. Mais il était fermé, et je n’avais pas les clés. Je mis les oreilles à l’horizontale, vexée !

« Stupide coffre » râlais-je.

En plus il fallait que je ressorte de cette pièce. J’avais sentis mon menton se frapper au plancher qui me servait désormais de plafond, et me doutais que je me l’étais un peu écorché. Et ma patte avant gauche me faisait légèrement souffrir, mais rien de bien grave. Mais comment ressortir, même si je bondissais de toute mes forces je ne pouvais pas atteindre le plafond. Je lançais un regard aux canons. Sur roulette hein ? Je haussais vaguement un sourcil en les observant. Le bateau est sur une corniche, est ce que déplaçais un canon ne ferait pas tout bouger ? J’hésitais une seconde, allant d’un point à l’autre de la pièce avant de voir un objet brillant vers un canon.

Trop curieuse, je ne pu m’empêcher d’aller vers l’objet. Une pipe, la ramassant, je la coinçais dans mon étole avant de repartir à la recherche d’une solution. Je crois que déplacer un canon, aussi lourd soit-il, est ma seule solution… Jeter mon étole et espérer qu’elle accroche au bois serait stupide, je risquais de la déchirer et de me retrouver coincée ici. Après je peux toujours crier au secours, mais pas sûr qu’on vienne m’aider, sans oublier que ça serait admettre que je ne suis pas capable de me démerder comme une grande fille !

Je pris une inspiration, rassemblant ma motivation, avant d’aller pousser un gros canon. Je glissais plusieurs fois sur le sol humide avant de réussir à faire bouger ce gros tas de métal. J’ai eus l’impression d’avoir bougé de beaucoup mais en fait il a bougé de quoi ? 2 centimètres. Je levais les yeux au plafond.

« La loose… » soufflais-je.

J’ignore combien de temps j’ai passé à le décoller du mur, mais une fois que j’ai pu être entre les deux, je me suis servie du mur comme appuie pour pousser monsieur vers le trou que mon gros derrière à fait ! Une fois cela fait je me suis laissé choir comme une étoile de mer, la langue pendante et le souffle court. Je ne refais pas ça tout les jours…. Quand j’eus repris un peu des forces, je grimpais sur le canon avant de sauter sur le plancher de la pièce du dessus. Secouant mon pelage, je m’éloignais du trou avant de commencer à sortir. Une fois dehors je découvris la nuit et les étoiles qui scintillaient. M’asseyant là où j’étais, je gardais la truffe levée vers les constellations. C’est tellement beau. Je retournais à l’intérieur, récupérant la carte des étoiles, ça plaira peut être à un Reader sinon ça finira dans la bibliothèque pour que tous puissent l’étudier. Puis, en me retournant, je découvris une casquette de marin. La trouvant trop belle, je la prise entre mes crocs avant de la jeter sur ma tête et de ressortir. Descendant sur le pont, je m’installais au cœur des cordages, me couvrant du tissus, gardant mes trésors dans mes pattes, je m’endormais là, décidant de repartir demain matin pour rencontrer les Readers.
Revenir en haut Aller en bas
 
L'aventure qui rapporte [Séchat - Défi RP]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Joli crépuscule [Pv Séchat] [Ne pas archiver]
» Aro - Coincé par la mer (Défi)
» Le défi d'une chasse [Défi RP Meshret]
» [DEFI] What does the fox say?
» defi rp - ao

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Punk Wolf :: 
Autres Univers
 :: Archives RP
-
Sauter vers: