Une odeur de sel et de Provence (PV Makara)

CHARDON

Chardon rodait dans le coins depuis quelques semaine en quête de traces, du moindre signe qui pourrait indiquer la présence de sa jumelle. Il avait toujours l'espoir de la retrouver, même après deux ans. Un espoir de fou peut-être mais il ne comptait pas abandonner. il voulait au moins réussir sur ce plan. Peut-être aurait-il d'ailleurs du la suivre dés le début. Il aimait tous ses frères et soeurs mais Mimosa était particulière, c'était la première, celle de qui il était le plus proche et son absence avait créé un vide bien plus grand dans son coeur. Son odeur c'était petit à petit effacé de leur couverture jaune mais elle était resté au coeur de ses pensé chaque jours. Il ne l'avait jamais oublié et maintenant que plus rien ne le retenait dans sa vie passé il était bien décidé à faire tout ce qui était en son pouvoir pour retrouver la petite louve. Car il savait, il savait au plus profond de son coeur qu'elle était en vie. Et s'il devait passer le reste de son temps sur cette terre à la chercher alors il le ferrait.

Il avait déjà arpenté les montagnes sans grand succès alors cette fois il était descendu dans la plaine, prenant bien garde à contourner une terres qui semblait annexé par un groupe de loup. Il n'imaginait pas trop Mimosa se poser quelque part. Elle avait toujours était un électron libre comme lui peut-être trop libre même. trop courageuse d'être partie ou trop lâche de les avoir abandonné lui et leurs frères et soeurs. Sa gorge se noua. Lui aurait été incapable de partir sans elle mais elle l'avait laissé sans un mot sans un retour en arrière et sans regret. Et c'est ce qui lui faisait le plus mal. C'est aussi ce qui faisait vaciller son espoirs de la retrouver en vie. Au fond de lui il n'arrivait pas à concevoir qu'elle est pu le laisser seul de son pleins grès. Il y avait forcément une explication, il fallait qu'il y en est une.

Il serra les dents, une colère sourde faisait vibrer son coeur. Il avait besoin de réponse. Alors il repris ses recherches la truffe dans la brise pour capturer la moindre odeur portée par le vent. Mais celle qu'il sentit ne fût pas celle qu'il cherchait enfin pas tout à fait.

MAKARA
ψ Chapardeur Raeder ψ 6 ans ψ 10/13 PVs
F A E I

Ils avaient passé la rivière. Vaetua avait décidé de l'emmener plus loin que d'habitude pour le forcer à se bouger le fion. Forcément, ça le rendait ronchon. Déjà parce qu'il avait mal, parce qu'il était fatigué et surtout -surtout- parce que la petite louve à la queue de reptile lui courait sur le haricot. La pirate avait beau être médecin, elle était loin du serment d'hypocrate et en vérité, elle avait prit comme excuse le fait de lui aérer la tête pour s'éloigner du territoire Nakhu et aller cueillir des plantes à droite à gauche. Comme il ne pouvait bien sûr par suivre son rythme, elle l'avait planté là, à deux pas de la frontière en promettant de venir le récupérer avant le coucher du soleil pour retourner à la grotte du Sortcellier qui avait prit soin de lui jusqu'à ce que ses compères Raeder débarquent. Comme le danger rôdait partout avec le dragon et ses crises de colères, Cimerii avait suivi leur cousine pour lui servir de patte forte, tandis que l'hybride noir baillait aux corneilles... Sympa le frangin, sympa la cousine. Jvous jure. Vive la famille. Tu parles d'un équipage. Makara ricana, en vérité, il était bien content d'avoir un peu de temps tranquille à s'aérer l'esprit. Ces quelques jours dans le dédale le rendait fou... Les journées étaient longues à faire le tour des deux-trois couloirs qu'il connaissait maintenant par cœur pour ne pas se perdre, à attendre que la douleur passe, à aller voir si Mimosa se réveillait et la secouer gentiment quand le soigneur ne regardait pas -il n'avait aucune confiance dans la médecine des Nakhus, ils ne faisaient qu'attendre qu'elle se réveille !-, à se culpabiliser autant qu'il enrageait, à injurier le monde autant qu'il allait dormir, épuisé. Non, vraiment, drôle de vie pour un pirate au cœur libre, hein !

Boitillant sans trop râler, le loup grincheux longea la limite des terres d'accueil des Nakhus, avant de s'en éloigner un peu. Il voulait rentrer chez lui, il voulait revoir l'Océan... Et surtout, il voulait que la louve tachetée se réveille... D'ailleurs ! Un large sourire se fendit quand il la vie arriver là-bas, devant ! Puis il fronça les sourcils, suivi du museau. Jusqu'à soulever une babine et baisser les oreilles. Depuis quand Mimosa avait gagné en épaisseur, depuis quand Mimosa était plus haute sur pattes ? Depuis quand Mimosa était couillu ? Sacrebleu. On aurait dit la copie de la femelle, mais de l'autre bord. Le doute était quand même peu permis, ce gaillard là ressemblait à la solitaire autant que Susie lui ressemblait : ils étaient quasi jumeaux. Elle avait pas dit qu'elle avait personne la louve tachetée ? Sur le qui-vive et l'humeur plutôt massacrante, Makara s'arrêta pour observer ce loup qui venait droit sur lui. Bougre de merlan. C't'ai quoi encore qui lui tombait dessus là ? L'araignée l'avait-elle cogné si fort qu'il avait des hallucinations de Mimosa changée en mâle ? Était-il si fatigué que son cerveau rêvait tout éveillé ? S'auto-persuandant qu'il s'agissait d'un mirage, le pirate fit demi-tour sans un mot et reprit route vers le Dédale.

CHARDON

Chardon tourna vivement la tête dans la direction d'ou venait la senteur, les yeux dilatés c'était presque attendu à découvrir Mimosa. Mais à la place se tenait un grand loup sombre bien différents se sa petite jumelle tacheté. Loup qui après l'avoir vu se contenta de faire demi-tour et de repartir dans l'autre direction. Mais Chardon n'était pas fou. Même après deux ans sans nouvelle il savait reconnaitre son odeur entre mille, l'odeur de sa soeur, une odeur si proche de son odeur à lui. Alors il s'élança comme un beau diable à la poursuite du loup noir. Le rattrapant aisément il dérapa devant lui pour lui couper la retraite.
Complètement hirsute, l'expression déformé et les yeux écarquillé, on aurait dit un vrai fanatique alors qu'il grondait entre colère et espoir:

-Boudiou t'es qui !? T'as l'odeur d'ma frangine sur toi !

Il était hors de question qu'il laisse partir ce loup étrange sans avoir de réponse, sans savoir si sa truffe lui avait dit vrai. Il le sentait, il connaissait Mimosa. Il le savait, elle était en vie ! A cette simple idée sa queue se mettait à s'agiter dans son dos bien malgré lui, contrastant avec l'attitude agressive qu'il avait adopté, poil gonflé dents dévoilé et regard fou. Il ajouta sans aucune patience, presque à la suite de sa première agression verbale:

-P'tain répond malotrue ! Tu connais ma frangine !?

Il détaillait le mâle incapable de comprendre comment l'odeur de Mimosa avait pu se retrouver sur lui. Car maintenant qu'il était plus proche il la sentait et pas qu'un peu. Il semblait presque s'être frotté à elle. Elle même si son coeur battant explosait de joie à l'idée de la savoir vivante son instinct de grand frère protecteur ne pouvait pas s'empêcher de regarder ce loup noir d'un mauvais oeil. Pour qu'il sente autant sa soeurette sur lui c'est qu'il devait être proche. Qui était-il non de non !? C'est à cause de lui qu'elle l'avait abandonné et n'était jamais rentré à la maison ?

MAKARA
ψ Chapardeur Raeder ψ 6 ans ψ 10/13 PVs
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Son hallucination se rappela à lui bien promptement, lui laissant comprendre qu'elle n'en était pas une. Fichtre. Il y avait donc bien un mâle dépenaillé, au poil identique à Mimosa -en couleur et en texture si son œil attentif ne le trompait pas-, à l'odeur proche mais en bien plus musquée et surtout au même air bravache. C'était mignon. Presque. Ressemblait-il autant à Susie que c'louffiat là copiait la solitaire ?

< Aye ! Mais t'as la patience d'une huître sacrebleu ! >

Il aimait pas trop trop être insulté, l'pirate. Ni qu'on s'adresse à lui aussi farouchement. Bien que boiteux, algique et pas au meilleur de son énergie, Makara se redressa pour paraître plus grand de quelques centimètres, il posa sur l'autre mâle deux orbes d'or sévères tandis que sa truffe se plissa it de désagrément. Il n'était clairement pas en état pour dire qu'il était certain de ressortir gagnant d'un petit combat, mais l'envie d'ordre le fion de c'andouille lui démangeait les gencives. Enfin, s'il était bien l'fragin de Mimosa, il valait mieux marcher sur des œufs de cormoran. Elle n'était pas encore réveillée et il avait assez d'trucs à régler avec elle pour pas ajouter à la liste des ptits désaccords " baffe à son concombre de mer d'jumeau ". Puis l'autre sembla envoyer quelques signaux un peu contraire à son attitude, ce qui fût l'élément déclencheur pour le Raeder pour reprendre la parole :

< Si ta sœur c'est ton double court sur patte alors j'suppose qu'oui. J'la connais. >

Ils avaient même la même gavroche tiens, avant que Mimosa ne l'abandonne pour un style diablement plus attrayant et efficace. Makara hésitait franchement, allait-il faire mariner l'bigorneau encore un peu ? Vu son sang chaud, ça risquait d'être plutôt amusant. Sauf qu'il n'était pas en capacité de se défendre correctement, ce qui mettait un frein à son envie quasi-irrépréssible de jouer d'ironie et de mordant.

< Elle roupille dans la tanière. >

C'était tout à fait exact en étant tout à fait faux. Elle n'était éveillée, cela était juste. Elle était simplement prise d'un sommeil plus... Profond. Il se garda bien de préciser dans quelle tanière, juste pour pouvoir jouer un peu avec les nerfs déjà en pelotte du mâle qui lui barrait la route. La magie de l'usage des mots et des sous-entendus. Fallait croire que son envie d'être un peu cassant et ironique était plus forte que son besoin immédiat de calme et de sécurité. Quoi que, s'il jugeait bien son interlocuteur, il ne risquait pas grand chose tant qu'il gardait secret l'emplacement réel de Mimosa, ainsi l'autre serait forcé d'le garder au moins conscient s'il voulait la retrouver... C'était une forme d'assurance. Comment ça, pas vraiment ?

CHARDON

Patient ? Non il ne l'était pas et encore moins dans cette situation. Il n'avait qu'une envie sauter sur l'autre et s'assurer qu'il lui donne toute les informations le plus prestement possible. Les piques coulait sur sa fourrure comme de l'eau sur un rocher. Peu lui important ce que l'autre disait ou pensait, une seul chose occupait l'esprit de chardon MIMOSA. Mimosa qui semble-t'il était en vie !!! Cette révélation lui fit l'effet d'une décharge et son poil se dressa encore plus hirsute que d'accoutumé alors qu'il semblait soudain hébété par la nouvelle. Il cligna des yeux, repassant la phrase qu'il venait d'entendre en boucle dans sa tête pour être certain qu'elle était réelle et qu'elle voulait bien dire ce qu'il pensait qu'elle voulait dire. Son coeur bondissait dans sa poitrine alors que ses yeux s'humidifiait légèrement. Il l'avait retrouvé ! Elle était toujours en vie. L'autre n'eux même pas le temps de voir ces léger changement dans l'attitude de Chardon que déjà se dernier avait sauté en avant, envahissant totalement son espace personnel au point de l'obliger à reculer s'il ne voulait pas recevoir de postillons à la figure lorsque le tacheté lui hurla au nez:

-OU C'EST QU'ELLE EST !? Rép moi tout d'suite Bidonase !

A l'heure actuelle la raison pour laquelle il la connaissait et savait ou elle était lui importait peu. Tout ce qu'il voulait c'était la voir. Lui parler, avoir enfin des réponses. Pourquoi l'avait-elle abandonné seul dans cet endroit horrible ? Pourquoi était-elle partie sans un mot comme une lâche ? Pourquoi n'avait t'elle donné aucun signe de vie pendant ces deux longue années ? Il avait tellement de chose à lui dire mais par dessus tout il voulait revoir son sourire. Ce sourire qui lui donnait du courage quand il était enfant. Il voulait sentir ses caresse rassurantes. Les seuls qu'il était en mesure de supporter. Car elle était sa moitié et depuis qu'elle n'était plus là il se sentait tout bonnement incomplet. Comme si on lui avait arraché une partie de lui-même. Tout son corps tremblait maintenant. Cela faisait une éternité qu'il n'avait été dans un état de tension pareil. En faite depuis la dernière fois ou il c'était interposé entre sa soeurette et leur connard de père, prenant les coups à sa place.

MAKARA
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MAIS c'est qu'il étaut dérangé le petit père là ! Makara ne recula pas. Il ne reculait jamais. Par pure fierté évidemment. Même quand l'autre l'agressait ainsi à piétiner son espace personnel, même quand l'autre lui postillon n'a dessus, arrachant un grondement rauque au pirate et un air de dégoût féroce. Il avait beau être la copie de la solitaire à la truffe rose, la sensation de l'avoir si prêt de lui n'était en rien comparable, en rien agréable, en rien tolérable. Et parce que le mouvement dans ce sens là aurait fait hurler son épaule de douleur, il s'en gardait bien. Il déplaça juste ses appuis, muscles tendus comme un arc, prêt à sauter de côté ou en avant, selon les prochaines secondes.
Prêt à se défendre d'une part, mais aussi prêt à attaquer le premier si c'était là sa seule porte de sortie de ce minime conflit. Altercation qui n'était pas prêt de s'apaiser car, piqué au vif par le comportement du mâle, Makara se donnait à cœur joie d'embraser plus encore la conversation.

< Morbleu ! J'ai trouvé un gaillard qui palabre pire qu'mon frangin ! Quand j'vais lui dire ça. >

Oreilles et queues bien droites, tête haute et regard perçant, il rajouta :

< En sécurité. >

Et c'est tout ce qu'il était enclin à donner gratuitement. Autant jouer de la situation jusqu'au bout non ?

< Qu'est-ce que je gagne à te répondre, ptite frappe ? >

Jouer avec le feu est rarement une bonne idée...

CHARDON

Mais qu'il était agaçant à jouer de lui de la sorte. En toute autre occasion Chardon se serait plié au jeu avec plaisir surenchérissent sur le noir. Mais ne comprenait-il pas que la situation était d'une urgence extreme qu'il était déjà à bout de nerf et que sa patience déjà très restreinte était arrivée à bout depuis longtemps !? Il avait envie de hurler, de secouer cet étranger. Il avait plaqué les oreille sur son crâne et cette fois ses yeux fou lançaient des éclairs alors que ses crocs claquaient dans la vide:

-Arrêt de t'foutre d'moi bidiou ! T'vois pas qu'c'est important !?

Il voyait rouge et le sang battait dans sa tête il avait l'impression d'être au bord de l'explosion. Le fait d'entendre qu'elle était en sécurité le rassura et le calma très légèrement. Mais il n'y avait plus de faux semblant, c'est l'expression déformé par l'émotion qu'il poursuivit:

-Mène moi près d'elle par pitié !

Il serrait le dents de frustration et pour s'empêcher de craquer définitivement. C'était trop pour lui et le jeune caïd arrogant était bien loin maintenant. Et il s'en foutait. Il pourrait toujours recoller les morceau plus tard. Tout ce qu'il voulait c'est que ce loup noir arrête de jouer avec lui. Qu'il arrête de le provoquer:

-T'y gagne que j'te casse pas ta gueule d'boiteux

Par ce que oui l'état de l'autre loup ne lui avait pas échappé. Cette menace en revanche ne devait pas faire grand effet au vu du fait qu'il l'avait supplié juste avant mais son esprit était incapable d'être cohérents. Il passait du surplus d'émotions, à la colère à l'envie de garder contenance dans un tourbillon sans fin dans lequel il était emporté malgré lui sans parvenir à se calmer. D'ailleurs sa respiration se faisait saccadé, de plus en plus difficile alors que les tremblement dans ses pattes s'accentuait.

MAKARA
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En temps normal, Makara aurait délicieusement continué à se moquer du loup, à le voir ainsi passer du coq à l'âne en terme d'émotions. Toutefois, le fait qu'il puisse être -il y avait très peu de doute m'enfin !- lié à la solitaire tachetée et de ce fait qu'elle puisse ne pas apprécier que le pirate torture son jumeau... Cela lui fit réfléchir à deux fois. Et puis, l'autre semblait ne pas savoir si quel pied danser et on sentait bien qu'au milieu de ce capharnaüm de pensées et de sentiments, il était inquiet pour Mimosa. Probablement plus que lui-même puisqu'à preuve du contraire, il était le dernier à l'avoir vue. Le noiraud soupira et s'assit, maintenant nonchalent. Effectivmeent, le menace n'avait pas d'effet sur lui. Parce qu'il était un forban, qu'il était orgueilleux et nullement impresionné, et surtout, parce que même s'il avait eu une once de peur, il l'aurait dissimulée loin au fond de lui. Il se mit à lécher sa patte sans plus regarder le reflet mâle de la petite louve sur qui il veillait sans l'avouer.

< Moins haut sur les pattes arrières Marin d'eau douce, on dirait qu'tu sors du Caboulot. Jpeux pas t'emmener, jsuis qu'un invité chez les Nakhus. Mais jpeux t'envoyer quelqu'un -ou pas- avec qui t'pourras discuter si tu veux passer leurs frontières sans embrouilles. Mimosa, elle est... Inconsciente d'puis plusieurs jours déjà. On a fait une mauvaise rencontre, et les meutards du coin sont venus nous récupérer. Mais elle va bien, juste qu'elle s'réveille pas encore. >

Il n'avouerait pas qu'il avait prit une dérouillée, ni que Mimosa avait réussi à fuir et se sauver avant de r'vnir et s'faire dézinguer. Tout ce que l'autre avait à savoir c'était qu'on prenait soin d'elle pour le moment, et jusqu'à ce que ça aille mieux.

CHARDON

L'autres s'assois nonchallent et se met à lécher sa patte l'air de rien. Bidou que Chardon bouillait intérieurement. Le voir aussi calme alors que lui était aussi remonté n'arrangeait en rien les choses. Inconsciente !!! Comment ça inconsciente !? Quelle était encore s't'histoire !? Dans quel merde sa jumelle c'était-elle encore fourré p'tain. Voilà que Chardon se mettait à faire les cents pas la mine procuré et l'autre qui lui disait qu'il pouvait pas l'em'ner auprès d'elle !? Pour quelle raison diable. S'il savait ou elle était pourquoi ne lui disait-il tout simplement pas. Il n'avait que fair des sois disant règles de ces Nakhus. Aucune frontière aucun meutards ne pouvait le séparer de sa soeur. seulement l'ignorance et cette fois Chardon perdait réellement patience. Il s'immobilisa l'oeil fou braqué sur le noiraud et il hurla comme jamais il n'avait hurler :

-CONDUIT MOI A MA P'TAIN D'SOUER FISSA SALTE D'PINFRE !!!!

Mais il n'attendit pas la réponse sautant sur l'autre comme une bête enragé sans aucun préavis, le faisant basculer en arrière si soudainement que la tête de son interlocuteur frappa le sol avec violence le mettant dans les vapes sur le coup. Chardon se releva un peu désemparé. Et merde ! Comment allait-il avoir des réponses maintenant !? Qu'elle con il faisait à être incapable de conserver son calme ! Bordel de couille ! Il secoua un peu l'autre dans l'espoir qu'il reprenne conscience mais il ne réagissait pas. Il s'assura tout de même qu'il était en vie et après avoir fait plusieurs tour autour de lui en proférant tous les jurons fleurit qu'il connaissait il détala. laissa le corps de l'autre ou il était sans plus s'en soucier. Il fallait qu'il trouve absolument ou était ses soit disant Nakhus quitte à retourner tout le territoire. Il fallait qu'il retrouve Mimosa. Qu'il s'assure de ses propre yeux qu'elle était en vie et qu'elle allait bien. Et qu'il puisse enfin avoir ses réponses et retrouve la seule vrai famille qu'il lui restait.

( Makara va finir par fuir cette famille mdr )

MAKARA
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L'autre devint de plus en plus instable, sa rogne se battant en duel avec l'angoisse qui montait en lui. Cela faisait rire le mâle noir de voir un tel aliéné essayer d'lui soutirer des informations. Garder un calme apparent face à une brute épaisse décontenanc=çait toujours l'adversaire. Enfin... La plupart du temps. Ici, le solitaire villa complètement, se mettant d'une a beigler comme un veau, avant de se jeter sur lui sans crier -enfin si quand même, mais Makara n'écoutant pas- gard. Il bouscula le pirate qui avait déjà un équilibre en carton du fait de sa blessure. Il lui tomba donc dessus et le Raeder se fracassa le crâne au sol dans un grognement. Le choc le sonna complètement et il lui fallu plusieurs minutes avant de parvenir à retrouver son Nord et son Sud même si ses oreilles capturent encore le raffût de l'autre bougre d'idiot avant qu'il ne s'enfuit en jurant. Morbleu, ils étaient tous des couard dans cte famille de fou ?! Alors qu'il se relevait difficilement, une migraine venant le cueillir au passage, sa cousine débarqua queue haute et museau hilare. Elle avait vu de loin la scène et avait attendu que le solitaire dégage pour venir le récupérer. Elle se moqua de lui tout le trajet jusqu'à se piaule et il se laissa tomber en ronchonnant, dos à Vaetua pour dormir, maintenant qu'elle lui avait filé des calmants. Sale journée encore.

» Agilité sous-marine [Makara]
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» Une odeur de feu de bois [PV Lùgh]